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Où étaient passées mes cordes vocales ?

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Sujet de la discussion Où étaient passées mes cordes vocales ?
Bonjour . Antérieurement je chantais du rock métal et cela avec une voix appelée par les phoniatres : la voix des bandes . Cette voix puissante avait cependant un ambitus mélodique faible et donc je décidais de chanter avec mes cordes vocales , mais voilà , ce n était pas terrible car je ne savais pas utiliser mes cordes vocales . Après des cours de chant sans résultat probant et des lectures à propos du chant , puis la lecture décisive du livre :Voir la Parole , je me mis à utiliser pour me servir de mes cordes vocales mes yeux et cela par l intermédiaire d un accordeur . Après donc plusieurs mois d exercices je chante maintenant avec justesse 3 octaves . Reste à mémoriser les intervalles sonores . Après s il me reste du temps peut etre que je chanterais .
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2011
On m'a dit ça... je m'en étais pas aperçus.
2500 messages c'est bien trop... c'est pour ça que le 2499ème sera la dernier...




































































Bof et puis non en fait... :P:
2012
2013
J'ai monté de grade, ça y est, Postillon a fait un nombre de pages inimaginable... ça nous fait évoluer ce thread...
C'est vachement super beau n'empêche...
2014
Maloryp tu parles d'accompagnement instrumental et voix . Ok . Me concernant ma proposition est l'émission sonore vocale sans accompagnement instrumental .

Il est vrai que d'entendre un instrument accordé émettre une note mobilisera pour répéter vocalement cette note . Alors soit la personne reproduit vocalement la note qu'elle a entendue soit elle produit une note qui est harmonique à la note demandée . Oui il y a des cas . Ex : Il est jouée la note Do , la personne émet vocalement un Sol , et pour cette personne cette émission du Sol est juste . Alors que faire ? .

Et bien lui montrer que ce qu'elle chante n 'est pas la note demandée et la façon de lui montrer se divise en 3 phases : 1/ jouer la note Do , lui montrer que C s'allume . 2/ demander à la personne de chanter . G s'allume . 3/ Proposer à la personne sans support instrumental qu'elle allume la lettre C . Tâtonnement vocal , la personne y arrive après quelques essais . Ensuite s'armer de patience afin que l'écoute intérieure de la personne s'ajuste avec son émission extérieure et cela à l'aide de la visualisation par l'accordeur .

Alors il est vrai que l'exercice vocal avec accordeur ne place pas le rôle de l'oreille de la même façon que de reproduire vocalement une note entendue instrumentalement .

Entendre une note jouée par un instrument apprend à recopier cette note . L'oreille est l'intermédiaire entre l'instrument , l'intérieur ( de la personne ) , l'extérieur vocal de la personne , puis le rapport sonore entre l'intérieur et l'extérieur .

Emettre une note sans support instrumental est chercher en soi comment pouvoir émettre cette note . Il y a un apriori intérieur de la note . La note est émise: comment se situe-t-elle ? . Elle est presque juste visiblement ( l'accordeur) . Alors il faut à l'aide de la pensée agir sur le fonctionnement vocal afin d'ajuster visiblement la note . ça y est , visiblement la note est juste .

Alors il se passe un phénomène dans l'oreille . L'oreille n'est plus active , elle entend une note effectuée visiblement .

Donc , dans le premier cas , l'oreille est active car elle est l'élément principal pour ajuster l'émission vocale .

Dans le deuxième cas l'oreille est passive , elle entend l'ajustement vocal devenu possible par le regard . L'oreille entend le corps ajusté à émettre une note , il y a résonnance en soi , alors que dans le premier cas il y a la recherche par l'oreille d'un ajustage de soi avec l'extérieur .

Cet ajustage vocal est possible par les espaces sonores que développent le son instrumental et l'émission vocale , et cette rencontre des espaces sonores se trouve donc être différente musicalement de la résonnance précédente .

En somme l'une et l'autre des fonctions de l'oreille ne sont pas à opposer , elles sont complémentaires par les différents rôles demandés à l'oreille .
2015
:boire: Voilà, c'est exactement ça. Tu as compris ce que je voulais dire. Avec le travail de l'accordeur, l'oreille devient passive. Alors que pour travailler la capaciité à chanter juste, il faut que l'oreille dans le travail soit active.

On avance.

A partir de ce stade, ton argument suivant, c'est que la passivité et l'activité de l'oreille sont deux états complémentaires et aussi utiles l'un que l'autre.

Eh bien c'est là où je ne suis pas d'accord. :non:
Pour travailler la justesse, c'est-à-dire la capacité du cerveau à reconnaître quand c'est juste ou pas, et ensuite d'ajuster la note, la passivité de l'oreille ne servira à rien. Il faut absolument que l'oreille soit active. Malheureusement, avec la béquille de l'accordeur, l'oreille reste passive.
2016
On en reparle demain , car s'ajoute la mémoire .
2017
2018
Absent depuis 4 jours, quel dommage !! je vois que ça chauffe dans les couloirs de l'asile

Citation : Il est vrai que d'entendre un instrument ............... rôles demandés à l'oreille .



Ton développement est une somme d'inepties, ton propos repose sur un montage théorique étriqué, des contre-sens sans fondements, et une lecture tronquée des fonctions psycho-sensorielles.

Tu nages en permanence entre extrapolations, et diversions, confondant à volonté le signifiant et le signifié des mots (merci Roman !)

Je rapprocherai ton raisonnement de la musique abstraite.
En soi, elle est respectable, pour la forme. Pour le fond, c'est une autre histoire quand il s'agit de "jouer" à plusieurs.

Ton accordeur ne peut-il donc t'aider à penser moins faux ?

Pour en revenir à ton explication plus haut :
la seule et unique façon d'apréhender la hauteur d'une note pour l'oreille est de mesurer l'écart qui la sépare de la suivante et de la précédente.

Si une personne chante un sol quand on lui demande un do, le seul moyen de lui faire comprendre l'erreur et de la corriger, est lui de faire prendre conscience des notes qui les séparent graduellement.
Entendre = comprendre, comprendre = intégrer

Voir les leds s'allumer sur un accordeur fait voir l'erreur, mais ne donne pas la possibilité de la comprendre, et donc de la corriger.
Bref, hors l'utilité de prouver à un être aussi borné que toi qu'il est faux, je ne vois pas ce que cela peut apporter dans le travail du chant.

Je suis déjà un peu long, je reviendrai donc plus tard sur tes notions pour le moins pittoresques de la musique et de l'art, telles que tu les exposes dans ton post1964
2019

Citation : la seule et unique façon d'apréhender la hauteur d'une note pour l'oreille est de mesurer l'écart qui la sépare de la suivante et de la précédente.

C'est exactement ce que j'expliquais hier, et bien avant déjà. Chanter juste une note est toujours par rapport à une note de référence (l'accompagnement, la note précédente de la mélodie, ou pour les plus doués le diapason).
On excluera bien entendu les cas d'oreille absolue.

Il semblerait que Postillon comprenne ENFIN cet argument et commence à l'intégrer. Par contre, à partir de ce fait, il sort de son sac des arguments tous frais, tous neufs, qui sont à nouveau absurdes. Et que j'ai réfuté aussitôt.
D'ailleurs, Postillon, y as-tu réfléchi pendant la nuit ? J'attends ta réponse...
2020
Postillon, aurais-tu un site web ou autre où on puisse t'entendre chanter??? Parce que hein... c'est bien beau la théorie, mais sans pratique ça a rarement démontré quelque chose surtout dans ce que j'appellerais "les sciences inexactes", à savoir toute création artistique...