Numérique & Analogique : infos scientifiques et techniques.
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Dr Pouet
Les pédalier d'antan Moog Taurus produisait des infra basses atteignant des valeurs de 5 Hertz,alors c'est sur,ça s'entends pas mais à défaut ça se ressent...et pas q'un peu.
Le numérique étant incapable de restituer des fréquences au dessous de 20 Hertz,expliquer moi comment percevoir cet "instrument"sur CD ?
D'où sort cette blague selon laquelle le numérique ne saurait pas restituer des fréquences inférieures à 20Hz ? Le format CD (16bits 44kHz) peut restituer toutes les fréquences de 0 à 22kHz, avec 96dB de dynamique !
scare
Hors sujet :
Je reviens sur Chris Lord Alge : ce gars utilise ces racks d'une façon paticulière. Chaque rack à un reglage fixé qui ne bouge jamais. Si il a besoin d'un nouveau reglage il prend un nouveau rack.
En faisant abstraction du pognon, je trouve que c'est un concept trés interessant permettant des recall trés rapide et optimiser son temps de travail.
Ca me fait penser à des plugs analo.
J'aimerai bien arriver à ce type de config (exemple) sur ma console :1 GC PULTEQ 1176
2 GC eq red 3
3 CC eq Distressor
4 CC 1073 Red 3
5 T1 eq 1176
6 T2 eq 1176
7 T3 eq 1176
8 HH eq
9 RIDE eq
10 OVER L eq
11 OVER R eq
12 ROOM 1 eq 1176
13 ROOM 2 eq 1176
14 DIVERS eq15 GUIT L eq LA 3-A
16 GUIT R eq LA 3-A17 GUIT L eq LA 2-A
18 GUIT R eq LA 2-A19 GUIT Solo eq RED 3
20 GUIT Solo2 Plug21 BASSE MANLEY PHOENIX
22 BASSE Plug23 SYNTH Plug
24 SYNTH Plug25 DIVERS
26 DIVERS27 CHANT EQ 1073 1176 Blue
28 CHANT Manley PHOENIX29 CHOEURS Plug
28 CHOEURS Plug
29 DIVERS
30 DIVERS31 EFFETS
32 EFFETSBuss 1-2 Drums
Buss 3-4 Drums comp parallèle SSL comp
BUSS 5-6
Buss 7-8
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Dossier : Conversion analogique-numérique (pour les courageux)
[ Dernière édition du message le 30/12/2009 à 19:10:56 ]
Dr Pouet
ce que je veux surtout dire c'est qu'en analogique ces signaux non linéaire sont imprevisibles et ne peuvent (ou difficilement) être codés, prévus. Ils font partis intégrante des composants que tu utilises.
Prend par exemple le cas d'une distorsion à tube.
Oui on peux modéliser une diode, un tube, et faire ses simu sous Pspice pour voir le comportement d'un circuit. Mais que dire du rendu sonore ? Ce n'est pas dans ce domaine que le numérique excelle je trouve.
Ok, oui c'est plus clair là. C'est surtout le côté "imprévisible" je dirais.
Anecdote amusante : le prophet 08 bien qu'analogique est très stable parce-que contrôlé numériquement. Du coup on peut ajouter et doser de l'instabilité = de l'imprévisible !
Bon pour les débats sur le matos et la manière de l'utiliser ce serait mieux de créer un autre thread !
rroland
Quiconque bosse dans le métier sait que c'est un faux débat. Un préampli reste analogique (sauf percée des micros numériques, mais cela ne semble pas décoller), et les deux technologies sont complémentaires, c'est tout. C'est pas analogique OU numérique mais plutôt analogique ET numérique
Et aussi : des tas de gens ont comparé le son de matériel numérique "low cost" à des machines analogiques haut de gamme. La comparaison n'était pas analogique/numérique mais "pas cher" contre "cher"
Et c'est con à dire : le cher marche mieux que le pas cher
ric49
gregmartial
Un préampli reste analogique (sauf percée des micros numériques, mais cela ne semble pas décoller)
A mon avis un préampli numérique n'existe pas (ce serai un préamp en class D, moi pas connaître!) Dans ces "micro numérique", le préamp et convertisseur sont déportés dans le micro. Je n'en ai jamais utilisé mais, tu dois contrôler le gain via un soft qui pilote un VCA analogique. Tu n'attaqueras jamais un converto avec un signal micro.
SampleHunter
les deux technologies sont complémentaires
Oui, mais même si de force ou de gré, nous utilisons donc les deux technologies, dans la pratique il faut distinguer deux écoles (ou clocher
- ceux qui collent le convertisseur A/N au cul du micro
- ceux qui collent le convertisseru A/N au cul du master
(j'ai omis ceux qui emploi dans leur chaine audio des convertisseurs N/A, car on ne peut plus vraiment parler , dans ce cas, d'école mais de pensionnat ou d'asile
Trop de morceaux de musique finissent trop longtemps après la fin. [Igor Stravinsky]
[ Dernière édition du message le 31/12/2009 à 13:08:05 ]
SampleHunter
A mon avis un préampli numérique n'existe pas (ce serai un préamp en class D ?)
 et de toute manière, il n'y a rien de numérique dans la class D...Trop de morceaux de musique finissent trop longtemps après la fin. [Igor Stravinsky]
Anonyme
A mon avis un préampli numérique n'existe pas (ce serai un préamp en class D, moi pas connaître!
La classe D n'est pas du numérique.
J'ajoute que SampleHunter a mis le doigt sur une réalité. Cela dit Rroland a tout à fait raison de dire que dans 99% des cas, on compare des trucs pas comparables.
JM
Anonyme
Sample, tu m'as battu de 7s sur ce coup, mais à charge de revanche.
JM
Birdix
Moi j'aime bien ce débat où on reproche au rafalle de ne pas battre des ailes et faire cuit cuit et au faux cons de ne pas passer le murmure du sonBon avant d'étre ridicule et que tout ça parte en queue de poison je me converti en sous marant et je me cache à l'eau
.
Eternel apprenti assistant ingénieur du son sans ingénieur du son à assister...
Dr Pouet
Cela dit Rroland a tout à fait raison de dire que dans 99% des cas, on compare des trucs pas comparables.
Et en plus, c'est pas le sujet du thread.
La classe D n'est pas du numérique.D'ailleurs ça existait bien avant que le CD ne se popularise.
Cela dit, un ampli avec une entrée numérique, suivie d'une conversion PCM -> bitstream (=sigma-delta) qui piloterait l'étage de puissance ressemble beaucoup à un ampli classe D, tout en étant "largement numérique".
D'après ce que je viens de lire :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Classes_de_fonctionnement_d%27un_amplificateur_%C3%A9lectronique
https://en.wikipedia.org/wiki/Switching_amplifier
Il n'y a pas de dénomination plus précise pour des "amplis numériques" (au sens "amplis commutés, avec entrée numérique" ) : la classe T est une marque commerciale. On pourrait d'ailleurs dire que ces amplis numériques sont de la classe D, même si tous les amplis classe D n'ont pas forcément d'entrée numérique ni même de circuit numérique en interne.
Et un truc qui ne semble pas avoir de nom du tout, c'est le "convertisseur N/A de puissance", comme fait par la marque TACT.
[ Dernière édition du message le 31/12/2009 à 16:29:38 ]
SampleHunter
Cela dit, un ampli avec une entrée numérique, suivie d'une conversion PCM -> bitstream (=sigma-delta) qui piloterai l'étage de puissance ressemble beaucoup à un ampli classe D
Il me semble (à lire le lien Wiképédia sur les classe d'amplification) que l'amplification de class D c'est justement le contraire, à savoir un signal analogique d'entrée, qui subit une sorte de conversion PCM qui alimente et fait travailler les transistors en tout ou rien (0 ou 1).
Trop de morceaux de musique finissent trop longtemps après la fin. [Igor Stravinsky]
scare
J'ajoute que SampleHunter a mis le doigt sur une réalité.
+ 1
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Anonyme
Pour Tact, je n'ai pas suivi leur activité depuis quelques années, mais dans le temps, il s'agissait bien d'un converto N/A suivi d'un ampli classe D.
SampleHunter : lePCM suppose une quantification, ce que ne fait pas un ampli classe D. Un ampli classe D est un convertisseur tension/fréquence qui permet effectivement de faire travailler les transistors de sortie en commutation. Cela exonère des soucis de linéarité des transistors utilisés en amplificateurs de tension ou de courant, et permet d'obtenir un rendement élevé. D'ou une économie sur la puissance de l'alimentation et la taille des radiateurs (qui peuvent carrément disparaitre).
Mais on est franchement HS.
JM
[ Dernière édition du message le 31/12/2009 à 17:25:12 ]
Birdix
Il s'agit de faire des questions / réponses sur des points techniques quantifiables !
Le sujet s'applique t'il aux bonnes vieilles alims avec juste un transfo un pont de diodes et des gros condo de filtrage, comparée à une alim à découpage dans laquelle je ne veux pas mètre le nez, et pourtant l'une comme l'autre ne sortent pas une chose analogue à ce qui y rentre...?
Ou bien peut on comparer une simple DI passive avec des transfo qui ne sonnent pas toutes pareil bien qu'aux premiers abords on leur demande de faire la mèmme chose et sur le papier ça le fait, on ne quantifie que ce que l'on peut ou veut mesurer.
Et sur un sujet aussi subjectif que le son il ne faut pas trop s'attendre d'y trouver beaucoup d'objectivité, le jours ou les ingénieurs quantifieront la qualité de fabication d'un transfo ils auront peut étre compri pourquoi le mémme chéma cablé differrement sonne autrement; en un sciécle de son analogique tout n'a pas été quantifié et à peut prés tout a éte entendu, des amplis avec 2 ou 3% de DHT des haut parleurs à plus de 10% et qui te restituent un son comme si tu était en direct live sur des sources acoustiques, et des amplis et des "cartes son" avec des 0,00001 % de DHT qui te sortent un son honnéte sans plus, trop pure disent certains...
Des cartes son et de la distorssion harmonique Birdix mélange vraiment tout et n'importe quoi.
Aller c'est parti pour 2010 on quantifie le subjectif, objectivement on vas tout nummériser, c'est peut étre un peut tiré par les cheuveux mais depuis qu'existe le numérique on comprend de mieux en mieux le fonctionnement du cerveaux et pas que dans le médical...
Eternel apprenti assistant ingénieur du son sans ingénieur du son à assister...
Anonyme
-Post-production pour l'image : le switch vers le tout numérique est très avancé, et personne ne songe à revenir en arrière pour des raisons de coût, de puissance et de possibilités.
-Home-studio : très majoritairement numérique malgré l'aura de qualité de l'analogique. Le concept de mixage analogique est hors de portée de la bourse d'un home studiste, à qualité comparable avec un séquenceur. La messe est dite.
-Studio musique : Les plus riches ont et entretiennent des consoles analogiques pour les projets riches. Mais l'usage des magnétos devient de plus en plus rare, remplacés par Pro Tools. Dans ces conditions, l'usage de séquenceur dans le monde analogique mène à plusieurs générations de conversions. Nous sommes au milieu du guêt, certaines structures switchent en tout num, d'autres non.
-Sonorisation : Malgré les avantages de l'analogique en terme d'ergonomie, les consoles numériques s'imposent de plus en plus pour des raisons de poids, de coût et d'encombrement dans la salle. Sans compter l'arrivée en cours des réseaux et autres multis et patchs numériques. Entre ranger 50m de 48 paires en Cu, et un Cat5, le choix est vite fait
Actuellement seuls les gros studios proposent une alternative analogique digne de ce nom, mais à quel prix ? Vu la situation du marché...
Du coup, discourir sur les avantages et les inconvénients de chacun des deux mondes m'apparait une discussion d'arrière garde, voire une sodomie de Lucilia caesar.
JM
[ Dernière édition du message le 31/12/2009 à 17:28:05 ]
scare
Je remarque une fois de plus que c'est principalement le coût de production qui mène le schmilblik.
Ma question est donc, y'a -t-il un compromis (dégradation) fait sur la qualité sonore afin de bénéficier d'un coût de production moins élevé ?
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Dossier : Conversion analogique-numérique (pour les courageux)
Anonyme
Ma question est donc, y'a -t-il un compromis (dégradation) fait sur la qualité sonore afin de bénéficier d'un coût de production moins élevé ?
c'est la partie physique qui coûte le plus cher, autant en numérique qu'en analo, les coûts de dévellopement sont à mon avis sensiblement équivalent, donc au final, on peu tout à fait (pour moi) comparer un séquenceur multipiste à 50 euros et une table ssl à 200 000 euros, l'écart de coût étant très facilement justifiable rien que pour la partie physique de la table qui n'existe pas sur le séquenceur.
D'ailleur une table numérique ssl coûte le même prix qu'un table analo ssl (ou sensiblement).
Anonyme
JM
ric49
Citation de Jan :sodomie de Lucilia caesarj'adore..
Anonyme
Ah ? Elles doivent être grosses alors chez toi, les Lucilia caesar
JM
Birdix
c'est principalement le coût de production qui mène le schmilblik.
Ma question est donc, y'a -t-il un compromis
On est toujours obligé de faire des compromis le client n'a pas les moyens de financer nos délires les plus fou, car il ne sait pas ce qu'il pourai gagner, quand tu sonorise une salle tu fais des compromis avec les résonnances le larsen..
Entre ranger 50m de 48 paires en Cu, et un Cat5, le choix est vite fait
Tu l'a di c'est pour ça que je veu pas faire de la lumière, aujourd'hui je fais dans la photo, j'avais remarqué que sur toutes les prestation sur lesquel j'étais les premiers partis étaient les vidéoman aprés les sondiers ensuite les lighteux, et vu que je suis un gros flémar, par les temps qui courent je vais me remaitre au son.
Di Jan t'a des plan pour avoir une bonne sonorisation sans fils numérique et pas trop chére avec des tout petit HP qui sortent plein de Db une console dans un iPhone et des micros intégrés aux instruments
ça ces des point techniques quantifiables mèmme si la fatique n'est que subjective tout le monde ne mixe pas dans un fauteuil avec un assistant pour le café...
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Anonyme
Je vois que Dock's connais ses classiques. Mais je redoute le moment ou quelqu'un va se pointer pour demander une explication...
JM
Anonyme
Non, Birdix, mais déjà avec du Geo, et deux Yam en réseau, cela ne fait pas grand chose à transporter. Reste le plateau et les subs
JM
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