VERY OLD SCHOOL : Avec quoi avez-vous commencé vos enregistrements ?
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Hit !
S'lut tout le monde !
On va parler d'un temps que les moins de 20 (j'arrête là pour pas avoir d'ennuis avec le super-grand Charles), donc : on va causer d'une l'époque où le GPS ou l'internet étaient strictement réservés aux armées, et le portable une douce utopie à laquelle accédaient seulement les chefs d'état, les (vraies) stars et les émirs.
Je propose ici d'énumérer nos galères ou nos réjouissances et moult autres anecdotes lors de nos premiers enregistrements amateur, époque 70-80 où il était parfaitement impensable de s'enregistrer dans de bonnes conditions at home ! Seuls les pros fréquentaient les studios, où avaient lieu des sénaces de coupe de bande tremblantes pour être certain de cutter au bon endroit sinon toute la prise était à refaire.
Enfin, toutes LES prises : rappelons en effet, pour se faire une idée, qu'il fallait avoir un nom comme les Beatles ou Presley pour pouvoir accéder aux premiers QUATRE pistes, début-milieu des années '60 si je ne raconte pas de bêtise. Avant ça, tout le monde jouait ensemble : un seul instru déconnait, et tout le monde devait reprendre.
Si l'humain est par nature de + en + exigeant (l'a pas totalement tort, du reste), il semble bon de rappeler parfois aux générations actuelles que leurs "grands frères" (modestie inside; just fraterie) ont démarré avec des bouts de ficelle sans être pour autant de la génération de Néanderthal !
... Et on y arrivait !
Djeeloo
Jamais eu de problème de vitesse me semble-t-il...
Les 4 pistes sur la même face, tout en live non séquencé (sauf la DR550MKII, enregistrée en premier).
L'esprit c'est comme un parachute: Il marche mieux quand il est ouvert.
Spacionot (ex Cola Verde)
Pas vraiment de multipiste avant le passage en ITB du fait que je compose de la musique à base de synthés/sampleurs et donc les pistes sont mutables en midi...
Au niveau sampleur j'ai commencé avec un Commodore 6128 et sa cartouche sampling 8 bits puis un akai X7000 puis un S900 puis une Sample-cell2 puis un Yamaha A3000.....
[ Dernière édition du message le 29/10/2014 à 23:59:41 ]
mathieujm
Après avoir galéré pendant des années a régler les niveaux et le bias de mes platines K7 successives, le DAT m'a fait entrer dans l'ère numerique. Vraiment génial ce support pour mon activité d'enregistrement de concerts acoustiques. Même si les platines Sony avaient une fâcheuse tendance à bouffer les bandes.
Dans les années 90 j'avais une platine de salon et un DAT miniature AIWA... Et je faisais du montage numerique entre les 2 !
Al1r
Pour beaucoup de gens, l'arrivée du premier PC avec graveur de CD a fait que le DAT a été boudé pour des solutions de selection "aléatoire" et moins contraignantes. Le Mini disc était une alternative pour ceux qui n'avait pas les moyens de se payer un PC.
Ceci dit, j'ai personellement vu peu d'utilisation du DAT en sonorisation, le CD et le MD ayant plus de succès.
J'ai troqué mon enregistreur et mon K7 pour un MZR-55 de SONY. Je l'ai gardé et j'ai acquis par après deux autres MD Sony. Ma seconde carte son était un Créative Lab Sound blaster "Live2" livrée avec un interface dédié au MD.
Elemmir
Jamais plus fort qu'à fond!
Nounoutt'
haa la maxi studio isis... après un premier crash de carte-mère et remplacement en garantie carrefour, ça n'a plus jamais fonctionné... Mais ça c'était déjà bien après le tascam 488 (que j'ai encore, soigneusement emballé avec toutes les k7 d'époques), 8 pistes K7 qui avait lui même remplacé le 4 pistes Fostex X 15...
et là... tout s'enchaine !
Warmy
Pro24-Notator-Cubase
Du câblage de merde et un magnéto 1/4pouce 4 pistes Hifi...
8oris
En 1992, Philips, avec Matsushita, a essayé de reproduire le succès commercial de la cassette en sortant la cassette compacte digitale ou DCC. Cette cassette digitale était du même format que l'ancienne musicassette, les appareils DCC étant capables de lire les cassettes analogiques. Leur qualité de son s'avérait assez moyenne du fait d'un mode de compression dénommé PASC, basé sur le MPEG1 qui était déjà bien dépassé par l'ATRAC, compression utilisée pour le MINIDISC de SONY, qui lui, a rencontré un bon succès du fait de sa qualité et de son format réduit, très pratique à utiliser. Le DCC n'a pas eu de succès commercial, le grand public s'orientant de plus en plus vers les disques compacts enregistrables (CD-R et CD-RW), MINIDISC et les professionnels étant déjà majoritairement équipés de lecteurs-enregistreurs DAT.
Djeeloo
- Chériii, il est où mon DCC
- DTC !!!
L'esprit c'est comme un parachute: Il marche mieux quand il est ouvert.
angus90
Super vintage de l'année dernière ! J'ai évolué maintenant... je suis passé sur ça :
Le tout venant a été piraté par les mômes... Qu'est ce qu'on fait, on se risque sur le bizarre ?
Mes enregistrements analogiques
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