Aux amateurs de rock progressif.

C'est comme, Phantom of the Paradise, j'ai vue ça en 1979 dans une salle de cinéma montréalaise. Plus facile à digérer mais rien d'épatant.

Et le synthétiseur modulaire qui avait servi pour le film

Citation :

Cela dit pour moi le lien entre tout ça et le rock-prog est assez ténu.

C'est pas faux. Le seul point commun possible c'est que tout le disque "Tommy" raconte une histoire, assez déjantée ça va sans dire, ce n'est pas uniquement une série de morceaux alignés aléatoirement du début à la fin. Il y a pas mal de disques de rock progressifs construits comme ça.

Tiens, je note qu'il y avait derrière lui Lee Pomeroy à la basse, gaucher notoirement attaché au Prog, puisqu'il est aussi aux côtés de Steve Hackett dans ses œuvres comme dans les reprises de Genesis avec Nad Sylvan, et s'est même fait construire pour l'occasion une réplique de Shergold Modulator 4/12 left-hand.