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Les trésors cachés des autres musiques.

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Sujet de la discussion Les trésors cachés des autres musiques.
Voila le but de ce topic, faire connaître des disques de musique différentes, expérimentales, musiques de films, dans n'importe quel style sauf rock (cf trésors cachés du rock) mais plutôt des trucs qui viennent d'être réédités, des trucs un peu cocasse pas connus, quoi.. (VF je compte sur toi)
Mettre la pochette de l'album, l'année de parution et un petit texte explicatif.
Je commence




Dorothy Ashby Afro harping (1968)
Dorothy Ashby a joué avec Steevie Wonder et Earth Wind and Fire, et c'est une harpiste. Ce disque, introuvable en vynile vient d'être réédité et c'est du jazz-soul typique de la fin des années 60... avec de la harpe. c'est très chouette, cool, à mettre à l'apéro le vendredi soir...
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Et tu vois c'est marrant je me disais "c'est la mm actrice au final!!" C'est elle qui est morte mystérieusement non?
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Connaissez vous SPIKE JONES?
c'est un arrangeur dejanté du milieu du 20eme siécle, qui faisait du jazz ezplosif.
il y a beaucoup de reprises delirantes( carmen, le danube bleu, le bourdon, chloe, an other drink)
il y avais meme des show tele parceque c'etait de la musique tres visuelle( solo de casseroles, bris de verre, chute de bidon en metal un mec planqué dans la contre basse, un autre qui joue du piano avec les pieds...)
si vous vous souvenez des musique de TEX aVERY he bien c'est ca

albums

SPIKE JONES MURDERER THE CLASSICS
SPIKE JONES AND HIS CITY SLAKERS
une compil en 10 CDs...
le son du spectacle hawien dans les bronsés1, c'est spike jones...

c'est un son qui a enormement de vie et qui montre que l'on peut faire de la musique drole avec des sons classiques et jazz (memorable the danube is green...)
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Hors sujet : yes, elle est morte à 27 ans...dans une histoire d'accident de voitures un peu zarb..

on a bien ri...

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Citation : Connaissez vous SPIKE JONES?

Oui et je confirme ce que tu dis :bravo:
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Scott WALKER – The Drift (2006)


Comment ça - vous allez me dire - un trésor caché qui vient de juste sortir ça n’a pas de sens !
D’une part, on peut s’attendre au bide commercial de cet album, comme le précédent.
D’autre part, il nous faudra bien 20 ans pour finir par le comprendre.

Ceux qui, comme moi, passeront des légendaires Scott 1, 2, 3, 4 à The Drift, seront forcément estomaqués.

Adieu les mélodies superbes, la voix au romantisme exacerbé. Certes, Scott Walker c’est noir mais c’est beau. On ne peut pas en dire autant de The Drift où ont atteint les tréfonds du glauque, du malaise, de l’incompréhension.

The Drift est une expérience sonore unique et traumatisante. Ca fout carrément les jetons. Les expériences sonores d’Einstürzende Neubauten ou de David Lynch sont des comptines à côté de cette œuvre dérangeante. Je n’avais pas reçu un tel électroc depuis "Franckie Teardrop" de Suicide.

Scott Walker nous balance là le premier disque ou il faut avoir des couilles pour l’écouter ! Une expérience dont on ne se remet difficilement... Mais un disque radical et indispensable.

A écouter le soir et au casque. Ne prenez pas le risque de l’écouter avec quelqu'un, au risque de se voir interner de force dans l’heure.
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D'ailleurs t'en oublie un mot sur deux :mdr:
Il doit arriver chez moi incessamment sous peu. :humm:
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Ah merde, je vais relire.

Tu vas halluciner. C'est effrayant, vraiment.
Le genre de disque ou tu ne peux pas dire si tu aimes ou pas, la question n'est même pas là.
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J'ai hate, je suis très curieux, t'es vraiment un bon teaser fred (et tiseur aussi, d'ailleurs)tu devrais faire de la pub.
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De mon côté, il faut que je complète les cases manquantes entre Scott 4 et The Drift.

Hier soir, je me suis endormi avec mon balladeur... Le titre "The Escape" (balancé par l'iPod de façon aléatoire et que je n'avais pas encore écouté) m'a réveillé en sursaut. Il m'a fallu 20 minutes pour m'en remettre.
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Ce qu’a écrit les Inrocks est très juste :

Citation : Son dernier album, The Drift, est un nouveau pas de géant, qui le met autant à distance de son œuvre passée que de la production de ses contemporains. Au mépris des conventions du songwriting, Walker crée ici une forme d’architecture musicale tellement insolite qu’elle perturbe durablement les sens et décourage dans un premier temps toute analyse critique.