Se connecter
Se connecter
Créer un compte

ou
Agrandir
Ajouter ce produit à
  • Mon ancien matos
  • Mon matos actuel
  • Mon futur matos
Native Instruments Molekular
Photos
1/23

Test du Native Instruments Molekular

Autre pack d'effets et multi-effets de la marque Native Instruments

Écrire un avis ou Demander un avis
Prix public : 149 € TTC
Test écrit
30 réactions
Au cœur de l’effet
9/10
Award Valeur sûre 2014
Partager cet article

Parmi les sorties en continu de Native Instruments apparaît un produit au nom qui intrigue, Molekular. De quoi peut-il bien s’agir ?

On n’ose plus comp­ter le nombre de produits sortis des cerveaux de chez Native. Chaque année nous offre un ensemble de synthés, biblio­thèques de sons, effets, sets, mises à jour, desti­nés aux produits phares de l’édi­teur (en gros, Maschine, Trak­tor, Reak­tor et Kontakt) ou dispo­nibles pour des logi­ciels moins emblé­ma­tiques, voire en tant qu’ap­pli­ca­tion ou biblio­thèque n’im­pliquant pas forcé­ment l’uti­li­sa­tion de logi­ciels maison.

Depuis quelques années, pour garan­tir le mael­ström créa­tif et commer­cial, Native Instru­ments a pris l’ha­bi­tude de faire appel à des éditeurs externes, à des artistes ou diverses person­na­li­tés emblé­ma­tiques du monde de l’au­dio et de la musique. On trou­vera toutes les réfé­rences de ces colla­bo­ra­tions sur le site de l’édi­teur, ou dans les tests ici consa­crés aux produits signés NI. 

Machine de test

MacPro Xeon 3,2 GHz
OS 10.9.2, puis 10.9.3
Logic Pro 10.0.6 puis 10.0.7
Reak­tor 5.9
Mole­ku­lar 1.0

Cette fois, pour le récent Mole­ku­lar, c’est à Denis Goek­dag (ou Gökdag suivant les diffé­rentes graphies) que l’édi­teur s’est asso­cié, une colla­bo­ra­tion qui n’est pas une première. On connaît en effet Goek­dag pour son travail actuel en temps que CEO de Zynap­tiq (voir les tests de leurs produits ici), mais il a eu (évidem­ment) diverses casquettes précé­dem­ment, et a entre autres produit et réalisé du contenu pour Native Instru­ments, notam­ment Puls­werk et Tran­sis­tor Punch, deux exten­sions pour ce qui est le fer de lance de l’édi­teur actuel­le­ment, c’est-à-dire Maschine, et Deep Freq, Deep Recons­truc­tions and Deep Trans­for­ma­tions pour ce qui se voulait le fer de lance de l’édi­teur naguère, la défunte (hélas…) plate­forme Kore. Et à en juger par les noms de certains modules inté­grés à Mole­ku­lar, les posses­seurs des trois dernières biblio­thèques ne seront pas tout à fait en terre incon­nue. Que propose donc Mole­ku­lar ? Revue de détail. 

Intro­du­cing Native Instru­ments Mole­ku­lar 

Mole­ku­lar est un ensemble pour Reak­tor, néces­si­tant donc ce dernier logi­ciel (à partir de la version 5.9). Fort heureu­se­ment pour les personnes ne possé­dant pas Reak­tor, l’en­semble est aussi compa­tible avec le Reak­tor Player qui est gratuit, à télé­char­ger ici. Les spéci­fi­ca­tions en termes de compa­ti­bi­lité d’OS, de logi­ciel hôte, d’exi­gences en ressources et autres infor­ma­tions, seront donc celles de Reak­tor, que l’on trou­vera sur le site de l’édi­teur.

Aucun problème d’ins­tal­la­tion ou d’au­to­ri­sa­tion, la procé­dure de Native Instru­ments via le Service Center est main­te­nant rodée et rela­ti­ve­ment trans­pa­rente pour l’uti­li­sa­teur. Une fois le numéro de série rensei­gné et validé, on retrouve l’en­semble Mole­ku­lar dans l’on­glet de Reak­tor (version complète pour ce test).

Du mouve­ment 

Native Instruments Molekular

Mole­ku­lar est un ensemble consti­tué d’ef­fets, de modu­la­teurs et d’une inter­face de routing des uns et des autres. Le tout est fourni avec une palanquée de présets, dont la dernière famille offrant chaque effet de façon sépa­rée, sur un routing simple, un bon moyen de décou­vrir ces effets, dont la plupart sont plutôt origi­naux.

L’in­ter­face présente dans sa partie supé­rieure les modu­la­teurs, qui sont de quatre types. Quatre LFO pour commen­cer, très puis­sants, puisqu’of­frant plusieurs types de formes d’ondes (triangle, sinus, carrée, pseudo-aléa­toire), dont on peut modi­fier la forme (passer de carré à rectangle, par exemple), la phase, la vitesse évidem­ment, la possi­bi­lité d’os­cil­ler libre­ment ou en synchro (avec le tempo de Reak­tor ou celui de l’hôte), de modu­ler la desti­na­tion de façon uni ou bipo­laire, de régler la profon­deur de modu­la­tion et d’as­si­gner de façon très intel­li­gente et ergo­no­mique la modu­la­tion à une (ou plusieurs) desti­na­tion(s) en une fois. Il suffit de cliquer sur Assign, et tous les réglages suscep­tibles d’être modu­lés affi­che­ront un petit curseur verti­cal dont on règlera l’am­pleur de façon bipo­laire. On affi­nera ensuite l’ac­tion de la modu­la­tion via le curseur hori­zon­tal dans le LFO ainsi que via le bouton Mod. En rappel, un petit point se déplace autour du para­mètre afin de rappe­ler un, qu’il y a modu­la­tion, deux, de quelle ampleur elle est. Les trois derniers LFO affichent de plus un bouton permet­tant de se synchro­ni­ser auto­ma­tique­ment au LFO1. Très bien vu, et une inter­face qui est cohé­rente avec celle des récents instru­ments spéci­fique­ment conçus pour Reak­tor.

Encore du mouve­ment

Native Instruments Molekular

On conti­nue avec des Step Sequen­cer, au nombre de quatre. Lecture, avant, arrière, avant-arrière, pseudo-aléa­toire, de un à 16 pas, calage au tempo (de 32 mesures au 96e de ronde !), déca­lage de la séquence créée, et les réglages d’en­voi de modu­la­tion, plus fonc­tion­ne­ment possible en mode bipo­laire. Bien conçus, là aussi. Puis on passe à quatre géné­ra­teurs d’en­ve­loppe un peu parti­cu­liers : d’abord les trois premiers, conçus autour de para­mètres tempo­rels habi­tuels de type Attack et Release, mais avec un Gate en lieu et place des Decay et Sustain, qui défi­nira la durée de chacun des pas du séquen­ceur inté­gré. Longueur, synchro et Shift (déca­lage) sont iden­tiques à ceux des Step Sequen­cer, y compris les réglages de modu­la­tion. La quatrième enve­loppe est en fait un suiveur d’en­ve­loppe, avec réglage du niveau d’en­trée, para­mètres Smooth pour adou­cir la réac­tion du suiveur, et Release (on ne va défi­nir ce qu’est un Release, si ?), et un indi­ca­teur de niveau d’en­trée. Celle-ci peut être choi­sie entre l’In­put, l’Out­put de Reak­tor, ou les sorties des quatre modules pouvant accueillir les effets (empla­ce­ments nommés DSP).

Native Instruments Molekular

Enfin on dispose de quatre modules Logic, permet­tant de sélec­tion­ner en tant qu’en­trées deux sources de modu­la­tion (X, Y, à choi­sir entre tous les modu­la­teurs ou le rota­tif présent, bizar­re­ment nommé Slider) puis de leur faire subir toutes sortes de modi­fi­ca­tions via huit modes diffé­rents, entre Step Memory (quatre pas avec posi­tion et déclen­che­ment), Random, Sample & Hold, Lag, Gate (And, Or, Xor, Nega­tive), Math (Sum, Max, Min ou AVG, moyenne), Scale et X-Fade. Le résul­tat de ces opéra­tions est ensuite utilisé comme source de modu­la­tions, y compris vers les modu­la­teurs ayant servi d’en­trée. On le comprend, cette simple section est déjà extrê­me­ment sophis­tiquée et, si les desti­na­tions sont à la hauteur, on peut espé­rer un travail sur le son assez puis­sant. Devant toutes ces possi­bi­li­tés, on pour­rait parfois se sentir perdu : l’édi­teur a donc prévu une vue globale pour chaque para­mètre, en double-cliquant sur le nom d’un réglage, ce qui ouvre dans la fenêtre centrale une repré­sen­ta­tion graphique affi­chant toutes les sources et leur taux d’ap­pli­ca­tion (on peut tout aussi bien y modi­fier ce taux). Bravo.

Seul reproche global à cette étape, la sélec­tion des para­mètres dans les menus se fait par cliquer-tirer, et non par l’ap­pa­ri­tion de menus dérou­lants, ce qui est beau­coup moins pratique. Dommage.

Toujours du mouve­ment

Native Instruments Molekular

Autre motif de réjouis­sance, la partie dite Morpher et les Macros. Ces derniers contrôles, au nombre de quatre (déci­dé­ment…) permettent de pilo­ter n’im­porte quel para­mètre (et n’im­porte quel nombre de para­mètres simul­ta­nés) dans n’im­porte quel module DSP ou modu­la­teur. Bien assi­gnés, avec un simple contrô­leur doté d’au moins quatre boutons, et on peut espé­rer de grandes plages d’ac­tion (au sens maîtrise de l’ou­til) en live, par exemple.

Passons à Morpher, autre petite merveille de modu­la­tion. On dispose de cinq « états » (Offset), l’équi­valent d’une photo à un instant donné de tous les réglages de Mole­ku­lar, Base, A, B, C et D. Ensuite, un curseur va permettre de passer de l’un à l’autre selon plusieurs possi­bi­li­tés. D’abord, le réglage Angle, en degrés, qui donne la posi­tion du curseur quant à sa révo­lu­tion autour du centre, et un autre, Radius, en pour­cen­tage, qui défi­nit la distance/proxi­mité du centre ou de la circon­fé­rence. 

Un clic sur le bouton Morpher permet­tra de spéci­fier quels modules DSP et quels modu­la­teurs seront touchés par le morphing. Une fois les sélec­tions et « sauve­gardes » de l’état de Mole­ku­lar dans les cinq Offsets effec­tuées, on pourra modu­ler les deux para­mètres Angle et Radius, pour para­mé­trer toutes les possi­bi­li­tés de dépla­ce­ment du curseur et donc toutes les varia­tions possibles de morphing. On acti­vera à cet effet la fonc­tion Motion (qui peut être assi­gnée à un contrô­leur via MIDI Learn ou OSC, comme quasi tous les para­mètres du logi­ciel). Ce qui permet aussi de prépa­rer des effets de morphing, et de ne les acti­ver que quand souhaité. 

On trou­vera des para­mètres supplé­men­taires dans la page Morph Quan­ti­za­tion, acces­sible dans la partie Routing. On pourra y régler la vitesse de morphing, avec Sync ou non, ainsi qu’une fonc­tion de Sample & Hold à régler grâce à deux menus de quan­ti­fi­ca­tion, assi­gnés respec­ti­ve­ment aux DSP et aux modu­la­teurs. Une réus­site de plus à mettre au crédit du déve­lop­peur.

Native Instruments Molekular

Toujours dans cette fenêtre Routing, un clic sur l’icône en forme de diapa­son ouvre la fenêtre de Pitch Quan­ti­za­tion, une petite merveille : on y dispose en effet d’un système de Patterns (huit en tout), dans lesquelles on peut déter­mi­ner les notes que devront igno­rer/consi­dé­rer tous les effets incluant des effets de hauteur de note, déter­mi­nant ainsi gamme ou mode (rela­tifs à la note ou la plage de notes choi­sies dans l’ef­fet) que devront adop­ter ces effets. On peut acti­ver indé­pen­dam­ment l’ac­tion des Patterns sur chaque module DSP, ainsi que forcer l’ac­tion des Patterns sur une grille ryth­mique selon les divi­sions déjà présentes pour d’autres para­mètres. De plus, la sélec­tion des Patterns peut être comman­dée par un des modu­la­teurs. Wooh…

Enfin, le Routing propre­ment dit : on y règlera le chemin du signal dans de nombreuses confi­gu­ra­tions en série ou paral­lèle, avec en plus la possi­bi­lité de placer les modules dans n’im­porte quel ordre, par simple glis­ser-dépo­ser. On y trouve aussi les volumes d’en­trée, de signal non traité et de signal traité, le tout de façon globale, ainsi qu’un limi­teur. Puis­sance encore. Tout cela est bien beau, mais qu’en est-il des desti­na­tions, à savoir les effets propre­ment dits ?

FX Galore

Native Instruments Molekular

Quatre empla­ce­ments DSP, donc, dans lesquels on char­gera un des 35 effets dispo­nibles, sachant que cinq sont dispo­nibles pour tous les modules DSP (Dual Delay, Equa­li­zer, Filter, Level et Meta­verb, oui, celle de Maschine), et que les 30 autres sont répar­tis dans les quatre modules de façon exclu­sive : pas de possi­bi­lité d’ou­vrir un effet dans un DSP pour lequel il n’est pas prévu. Mais peu importe, puisque l’on a vu que le routing permet de placer les modules dans l’ordre que l’on souhaite.

La plupart des effets communs remplissent parfai­te­ment leur fonc­tion et n’em­barquent pas de fonc­tion­na­li­tés ésoté­riques, à l’ex­cep­tion du Level qui, en dehors de ses para­mètres de base de volume et de pan, offre un séquen­ceur permet­tant de modi­fier volume, pan et largeur d’im­pul­sion, cette dernière permet­tant de créer des effets de gate, stut­ter, etc.

Il en va tout autre­ment des autres. D’abord, les para­mètres communs : quasi tous disposent d’un Mute, de réglages Mix, Wet et Out, d’un Bypass et d’un Solo. Ensuite, chacun regroupe des fonc­tion­na­li­tés que l’on peut parfois déduire de leur nom, avec toujours une touche inédite les diffé­ren­ciant des modules équi­va­lents chez d’autres éditeurs. D’autres sont tota­le­ment origi­naux. 

Prenons les effets ayant un air fami­lier : d’abord, le Dual Comb, qui regroupe deux filtres en peigne, pouvant être confi­gu­rés en paral­lèle ou en série, avec cross­fade et balance entre partiels harmo­niques pairs et impairs. Ensuite tout une série de délais, comme Angel Delay (de trois à 15 taps, avec diffé­rentes gestions de la chute des échos), Band Delays (huit taps, chacun passant dans un filtre band-pass avec gestion du pan et de l’am­pli­tude, le tout asso­cié à un système de patterns), Cloud Delay (un délai granu­laire, avec freeze, hauteur, longueur, rever­se…) et Dub Delay (délai stéréo avec voix indé­pen­dantes et de nombreuses fonc­tions de trai­te­ments sur les échos).

Native Instruments Molekular

Ensuite Free­zer permet de sampler le signal entrant sur deux canaux indé­pen­dants, avec fade In et Out variables sur les points de bouclage, Chorus utilise un délai stéréo et un déca­lage de phase jusqu’à 120°, Dual Filter est un double filtre réso­nant multi­mode (utili­sa­tion en série ou en paral­lèle), Filter­bank regroupe cinq filtres passe-bande 24 dB, Phlan­ger est un hybride entre phaser et flan­ger (jusqu’à 10 filtres all-pass avec délai dans la boucle de feed­back), Pitch Shift est un double circuit de trans­po­si­tion avec Reverse, accor­dages indé­pen­dants, et mode Weird (mélange des deux, sans garan­tie du résul­tat…), Lo FI offre un algo­rithme de réduc­tion de fréquence d’échan­tillon­nage, Frequency Shift est un double circuit de déca­lage de fréquence, avec inver­sion, feed­back et modu­la­tion, pouvant travailler en posi­tif ou néga­tif.

Rien que ça rendrait déjà heureux n’im­porte quel amateur de bidouilles sonores. Mais ce n’est pas fini. 

More FX Galore

Native Instruments Molekular

Même si les effets suivants sont basés sur des prin­cipes connus (ou moins connus), leur implé­men­ta­tion et la façon dont l’uti­li­sa­teur inter­vien­dra sur le son via les réglages sont la plupart du temps assez nova­teurs ou inédits dans du logi­ciel se voulant grand public. C’est d’ailleurs une des forces de la plupart des produits pour Reak­tor que de cacher des program­ma­tions parfois hallu­ci­nantes sous des inter­faces claires et simples (l’étude des patches et des niveaux de program­ma­tion des modules de Mole­ku­lar fait… très mal à la tête).

On ne peut conti­nuer à dérou­ler le détail de tous les modules présents, il faudrait, vu leur spéci­fi­cité l’équi­valent de ce qui a déjà écrit du début de ce test à l’en­droit où nous sommes… Prenons simple­ment quelques effets parti­cu­liers, et si l’on souhaite en savoir plus sur le reste, Native offre une version de démo incluant un manuel très détaillé.

Prenons Plagia­rism, par exemple. Un suiveur d’en­ve­loppe analyse le signal entrant, et la mesure moyenne en résul­tant déclenche à son tour 16 enve­loppes, gérant 16 sons dont la hauteur indi­vi­duelle est défi­nie en fonc­tion d’une réfé­rence et d’une répar­ti­tion des partiels harmo­niques à choi­sir entre ordre natu­rel, ordre inverse, pairs et/ou impairs, suite de quintes, expo­nen­tiel, mineur, majeur, septième majeure, septième mineure, octaves désac­cor­dés et suite de secondes. On peut forcer un côté pseudo-aléa­toire, déter­mi­ner le nombre de voix, choi­sir le mode de géné­ra­tion des voix (filtres band-pass, ondes sinus ou pulse, avec varia­tion de la largeur), trois modes d’ana­lyse et modu­la­teur en anneau. 

Voilà quelques exemples audio à partir d’une simple voix, et unique­ment le Plagia­rism, avec ou sans modu­la­tions. 

00:0000:00
Native Instruments Molekular

Il faudrait s’ar­rê­ter sur le module de distor­sion (Modulo Fry), sur le Track OSC, un oscil­la­teur déclen­ché par l’ana­lyse de la hauteur du signal entrant (ou comment produire le trafic vocal du « Lovely Head » de Gold­frapp), sur Itera­tron, permet­tant d’échan­tillon­ner le signal entrant, puis de modu­ler son ampli­tude via un géné­ra­teur de pas ascen­dant ou descen­dant, avec répé­ti­tion, filtrage, inver­sion, etc. Comme la place va manquer, voici quelques exemples de sons trai­tés par des chaînes plus ou moins complexes d’ef­fets, d’abord à partir d’une batte­rie.

00:0000:00

Puis à partir d’une basse.

00:0000:00

Bilan

Le bilan va être très rapide : Mole­ku­lar est devenu l’un des outils de sound design que j’uti­lise en prio­rité, en le complé­tant avec les plugs ou appli­ca­tions offrant les fonc­tion­na­li­tés absentes et néces­saires, comme la réverbe à convo­lu­tion, les proces­seurs de time-stret­ching, certains délais, satu­ra­tions, filtres ou compres­seurs. Le fait qu’il se comporte aussi bien dans un contexte de studio, par exemple pour fabriquer de la nour­ri­ture pour votre sampler préféré, ou sur scène, pour trai­ter de façon tota­le­ment sauvage n’im­porte quel son, est bien évidem­ment un plus, MIDI Learn et OSC le mettant en accès total aux contrô­leurs les plus variés, des smart­phones aux surfaces de contrôle, en passant par tous les claviers de commande, les Leap Motion et autres Wiimote.

Une véri­table réus­site, méri­tant parfai­te­ment son Award Valeur Sûre.

Télé­char­gez les fichiers sonores (format FLAC) 

  • Native Instruments Molekular
  • Native Instruments Molekular
  • Native Instruments Molekular
  • Native Instruments Molekular
  • Native Instruments Molekular
  • Native Instruments Molekular
  • Native Instruments Molekular
  • Native Instruments Molekular
  • Native Instruments Molekular
  • Native Instruments Molekular
  • Native Instruments Molekular
  • Native Instruments Molekular
  • Native Instruments Molekular
  • Native Instruments Molekular

 

9/10
Award Valeur sûre 2014
Points forts
  • Tout, sauf...
Points faibles
  • ... le principe de sélection par cliquer-tirer
  • Attention à la consommation CPU !

Vous souhaitez réagir à cet article ?

Se connecter
Devenir membre
cookies
Nous utilisons les cookies !

Oui, Audiofanzine utilise des cookies. Et comme la dernière chose que nous voudrions serait de perturber votre alimentation avec des choses trop grasses ou trop sucrées, sachez que ces derniers sont fait maison avec des produits frais, bio, équitables et dans des justes proportions nutritives.
Ce que cela veut dire, c’est que les infos que nous y stockons ne visent qu’à simplifier votre usage du site comme à améliorer votre expérience sur nos pages et vous afficher des publicités personnalisées (en savoir plus).

Nous tenons à préciser qu’Audiofanzine n’a pas attendu qu’une loi nous y oblige pour respecter la vie privée de nos membres et visiteurs. Les cookies que nous utilisons ont en commun leur unique objectif qui est d’améliorer votre expérience utilisateur.

Tous nos cookies
Cookies non soumis à consentement
Il s'agit de cookies qui garantissent le bon fonctionnement du site Audiofanzine. Le site Web ne peut pas fonctionner correctement sans ces cookies. Exemples : cookies vous permettant de rester connecté de page en page ou de personnaliser votre utilisation du site (mode sombre ou filtres).
Google Analytics
Nous utilisons Google Analytics afin de mieux comprendre l’utilisation que nos visiteurs font de notre site pour tenter de l’améliorer.
Publicités
Ces informations nous permettent de vous afficher des publicités qui vous concernent grâce auxquelles Audiofanzine est financé. En décochant cette case vous aurez toujours des publicités mais elles risquent d’être moins intéressantes :) Nous utilisons Google Ad Manager pour diffuser une partie des publicités, des mécanismes intégrés à notre CMS pour le reste. Nous sommes susceptibles d’afficher des publicités provenant de notre propre plateforme, de Google Advertising Products ou encore de la régie Adform.

Nous tenons à préciser qu’Audiofanzine n’a pas attendu qu’une loi nous y oblige pour respecter la vie privée de nos membres et visiteurs. Les cookies que nous utilisons ont en commun leur unique objectif qui est d’améliorer votre expérience utilisateur.

Tous nos cookies
Cookies non soumis à consentement

Il s’agit de cookies qui garantissent le bon fonctionnement du site Audiofanzine. Le site Web ne peut pas fonctionner correctement sans ces cookies. Exemples : cookies vous permettant de rester connecté de page en page ou de personnaliser votre utilisation du site (mode sombre ou filtres).

Google Analytics

Nous utilisons Google Analytics afin de mieux comprendre l’utilisation que nos visiteurs font de notre site pour tenter de l’améliorer. Lorsque ce paramètre est activé, aucune information personnelle n’est envoyé à Google et les adresses IP sont anonymisées.

Publicités

Ces informations nous permettent de vous afficher des publicités qui vous concernent grâce auxquelles Audiofanzine est financé. En décochant cette case vous aurez toujours des publicités mais elles risquent d’être moins intéressantes :) Nous utilisons Google Ad Manager pour diffuser une partie des publicités, des mécanismes intégrés à notre CMS pour le reste. Nous sommes susceptibles d’afficher des publicités provenant de notre propre plateforme, de Google Advertising Products ou encore de la régie Adform.


Vous pouvez trouver plus de détails sur la proctection des données dans la politique de confidentialité.
Vous trouverez également des informations sur la manière dont Google utilise les données à caractère personnel en suivant ce lien.