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Test du Native Instruments Molekular - Au cœur de l’effet

9/10
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Parmi les sorties en continu de Native Instruments apparaît un produit au nom qui intrigue, Molekular. De quoi peut-il bien s’agir ?

On n’ose plus comp­ter le nombre de produits sortis des cerveaux de chez Native. Chaque année nous offre un ensemble de synthés, biblio­thèques de sons, effets, sets, mises à jour, desti­nés aux produits phares de l’édi­teur (en gros, Maschine, Trak­tor, Reak­tor et Kontakt) ou dispo­nibles pour des logi­ciels moins emblé­ma­tiques, voire en tant qu’ap­pli­ca­tion ou biblio­thèque n’im­pliquant pas forcé­ment l’uti­li­sa­tion de logi­ciels maison.

Depuis quelques années, pour garan­tir le mael­ström créa­tif et commer­cial, Native Instru­ments a pris l’ha­bi­tude de faire appel à des éditeurs externes, à des artistes ou diverses person­na­li­tés emblé­ma­tiques du monde de l’au­dio et de la musique. On trou­vera toutes les réfé­rences de ces colla­bo­ra­tions sur le site de l’édi­teur, ou dans les tests ici consa­crés aux produits signés NI. 

Machine de test

MacPro Xeon 3,2 GHz
OS 10.9.2, puis 10.9.3
Logic Pro 10.0.6 puis 10.0.7
Reak­tor 5.9
Mole­ku­lar 1.0

Cette fois, pour le récent Mole­ku­lar, c’est à Denis Goek­dag (ou Gökdag suivant les diffé­rentes graphies) que l’édi­teur s’est asso­cié, une colla­bo­ra­tion qui n’est pas une première. On connaît en effet Goek­dag pour son travail actuel en temps que CEO de Zynap­tiq (voir les tests de leurs produits ici), mais il a eu (évidem­ment) diverses casquettes précé­dem­ment, et a entre autres produit et réalisé du contenu pour Native Instru­ments, notam­ment Puls­werk et Tran­sis­tor Punch, deux exten­sions pour ce qui est le fer de lance de l’édi­teur actuel­le­ment, c’est-à-dire Maschine, et Deep Freq, Deep Recons­truc­tions and Deep Trans­for­ma­tions pour ce qui se voulait le fer de lance de l’édi­teur naguère, la défunte (hélas…) plate­forme Kore. Et à en juger par les noms de certains modules inté­grés à Mole­ku­lar, les posses­seurs des trois dernières biblio­thèques ne seront pas tout à fait en terre incon­nue. Que propose donc Mole­ku­lar ? Revue de détail. 

Intro­du­cing Native Instru­ments Mole­ku­lar 

Mole­ku­lar est un ensemble pour Reak­tor, néces­si­tant donc ce dernier logi­ciel (à partir de la version 5.9). Fort heureu­se­ment pour les personnes ne possé­dant pas Reak­tor, l’en­semble est aussi compa­tible avec le Reak­tor Player qui est gratuit, à télé­char­ger ici. Les spéci­fi­ca­tions en termes de compa­ti­bi­lité d’OS, de logi­ciel hôte, d’exi­gences en ressources et autres infor­ma­tions, seront donc celles de Reak­tor, que l’on trou­vera sur le site de l’édi­teur.

Aucun problème d’ins­tal­la­tion ou d’au­to­ri­sa­tion, la procé­dure de Native Instru­ments via le Service Center est main­te­nant rodée et rela­ti­ve­ment trans­pa­rente pour l’uti­li­sa­teur. Une fois le numéro de série rensei­gné et validé, on retrouve l’en­semble Mole­ku­lar dans l’on­glet de Reak­tor (version complète pour ce test).

Du mouve­ment 

Native Instruments Molekular

Mole­ku­lar est un ensemble consti­tué d’ef­fets, de modu­la­teurs et d’une inter­face de routing des uns et des autres. Le tout est fourni avec une palanquée de présets, dont la dernière famille offrant chaque effet de façon sépa­rée, sur un routing simple, un bon moyen de décou­vrir ces effets, dont la plupart sont plutôt origi­naux.

L’in­ter­face présente dans sa partie supé­rieure les modu­la­teurs, qui sont de quatre types. Quatre LFO pour commen­cer, très puis­sants, puisqu’of­frant plusieurs types de formes d’ondes (triangle, sinus, carrée, pseudo-aléa­toire), dont on peut modi­fier la forme (passer de carré à rectangle, par exemple), la phase, la vitesse évidem­ment, la possi­bi­lité d’os­cil­ler libre­ment ou en synchro (avec le tempo de Reak­tor ou celui de l’hôte), de modu­ler la desti­na­tion de façon uni ou bipo­laire, de régler la profon­deur de modu­la­tion et d’as­si­gner de façon très intel­li­gente et ergo­no­mique la modu­la­tion à une (ou plusieurs) desti­na­tion(s) en une fois. Il suffit de cliquer sur Assign, et tous les réglages suscep­tibles d’être modu­lés affi­che­ront un petit curseur verti­cal dont on règlera l’am­pleur de façon bipo­laire. On affi­nera ensuite l’ac­tion de la modu­la­tion via le curseur hori­zon­tal dans le LFO ainsi que via le bouton Mod. En rappel, un petit point se déplace autour du para­mètre afin de rappe­ler un, qu’il y a modu­la­tion, deux, de quelle ampleur elle est. Les trois derniers LFO affichent de plus un bouton permet­tant de se synchro­ni­ser auto­ma­tique­ment au LFO1. Très bien vu, et une inter­face qui est cohé­rente avec celle des récents instru­ments spéci­fique­ment conçus pour Reak­tor.

Encore du mouve­ment

Native Instruments Molekular

On conti­nue avec des Step Sequen­cer, au nombre de quatre. Lecture, avant, arrière, avant-arrière, pseudo-aléa­toire, de un à 16 pas, calage au tempo (de 32 mesures au 96e de ronde !), déca­lage de la séquence créée, et les réglages d’en­voi de modu­la­tion, plus fonc­tion­ne­ment possible en mode bipo­laire. Bien conçus, là aussi. Puis on passe à quatre géné­ra­teurs d’en­ve­loppe un peu parti­cu­liers : d’abord les trois premiers, conçus autour de para­mètres tempo­rels habi­tuels de type Attack et Release, mais avec un Gate en lieu et place des Decay et Sustain, qui défi­nira la durée de chacun des pas du séquen­ceur inté­gré. Longueur, synchro et Shift (déca­lage) sont iden­tiques à ceux des Step Sequen­cer, y compris les réglages de modu­la­tion. La quatrième enve­loppe est en fait un suiveur d’en­ve­loppe, avec réglage du niveau d’en­trée, para­mètres Smooth pour adou­cir la réac­tion du suiveur, et Release (on ne va défi­nir ce qu’est un Release, si ?), et un indi­ca­teur de niveau d’en­trée. Celle-ci peut être choi­sie entre l’In­put, l’Out­put de Reak­tor, ou les sorties des quatre modules pouvant accueillir les effets (empla­ce­ments nommés DSP).

Native Instruments Molekular

Enfin on dispose de quatre modules Logic, permet­tant de sélec­tion­ner en tant qu’en­trées deux sources de modu­la­tion (X, Y, à choi­sir entre tous les modu­la­teurs ou le rota­tif présent, bizar­re­ment nommé Slider) puis de leur faire subir toutes sortes de modi­fi­ca­tions via huit modes diffé­rents, entre Step Memory (quatre pas avec posi­tion et déclen­che­ment), Random, Sample & Hold, Lag, Gate (And, Or, Xor, Nega­tive), Math (Sum, Max, Min ou AVG, moyenne), Scale et X-Fade. Le résul­tat de ces opéra­tions est ensuite utilisé comme source de modu­la­tions, y compris vers les modu­la­teurs ayant servi d’en­trée. On le comprend, cette simple section est déjà extrê­me­ment sophis­tiquée et, si les desti­na­tions sont à la hauteur, on peut espé­rer un travail sur le son assez puis­sant. Devant toutes ces possi­bi­li­tés, on pour­rait parfois se sentir perdu : l’édi­teur a donc prévu une vue globale pour chaque para­mètre, en double-cliquant sur le nom d’un réglage, ce qui ouvre dans la fenêtre centrale une repré­sen­ta­tion graphique affi­chant toutes les sources et leur taux d’ap­pli­ca­tion (on peut tout aussi bien y modi­fier ce taux). Bravo.

Seul reproche global à cette étape, la sélec­tion des para­mètres dans les menus se fait par cliquer-tirer, et non par l’ap­pa­ri­tion de menus dérou­lants, ce qui est beau­coup moins pratique. Dommage.

Toujours du mouve­ment

Native Instruments Molekular

Autre motif de réjouis­sance, la partie dite Morpher et les Macros. Ces derniers contrôles, au nombre de quatre (déci­dé­ment…) permettent de pilo­ter n’im­porte quel para­mètre (et n’im­porte quel nombre de para­mètres simul­ta­nés) dans n’im­porte quel module DSP ou modu­la­teur. Bien assi­gnés, avec un simple contrô­leur doté d’au moins quatre boutons, et on peut espé­rer de grandes plages d’ac­tion (au sens maîtrise de l’ou­til) en live, par exemple.

Passons à Morpher, autre petite merveille de modu­la­tion. On dispose de cinq « états » (Offset), l’équi­valent d’une photo à un instant donné de tous les réglages de Mole­ku­lar, Base, A, B, C et D. Ensuite, un curseur va permettre de passer de l’un à l’autre selon plusieurs possi­bi­li­tés. D’abord, le réglage Angle, en degrés, qui donne la posi­tion du curseur quant à sa révo­lu­tion autour du centre, et un autre, Radius, en pour­cen­tage, qui défi­nit la distance/proxi­mité du centre ou de la circon­fé­rence. 

Un clic sur le bouton Morpher permet­tra de spéci­fier quels modules DSP et quels modu­la­teurs seront touchés par le morphing. Une fois les sélec­tions et « sauve­gardes » de l’état de Mole­ku­lar dans les cinq Offsets effec­tuées, on pourra modu­ler les deux para­mètres Angle et Radius, pour para­mé­trer toutes les possi­bi­li­tés de dépla­ce­ment du curseur et donc toutes les varia­tions possibles de morphing. On acti­vera à cet effet la fonc­tion Motion (qui peut être assi­gnée à un contrô­leur via MIDI Learn ou OSC, comme quasi tous les para­mètres du logi­ciel). Ce qui permet aussi de prépa­rer des effets de morphing, et de ne les acti­ver que quand souhaité. 

On trou­vera des para­mètres supplé­men­taires dans la page Morph Quan­ti­za­tion, acces­sible dans la partie Routing. On pourra y régler la vitesse de morphing, avec Sync ou non, ainsi qu’une fonc­tion de Sample & Hold à régler grâce à deux menus de quan­ti­fi­ca­tion, assi­gnés respec­ti­ve­ment aux DSP et aux modu­la­teurs. Une réus­site de plus à mettre au crédit du déve­lop­peur.

Native Instruments Molekular

Toujours dans cette fenêtre Routing, un clic sur l’icône en forme de diapa­son ouvre la fenêtre de Pitch Quan­ti­za­tion, une petite merveille : on y dispose en effet d’un système de Patterns (huit en tout), dans lesquelles on peut déter­mi­ner les notes que devront igno­rer/consi­dé­rer tous les effets incluant des effets de hauteur de note, déter­mi­nant ainsi gamme ou mode (rela­tifs à la note ou la plage de notes choi­sies dans l’ef­fet) que devront adop­ter ces effets. On peut acti­ver indé­pen­dam­ment l’ac­tion des Patterns sur chaque module DSP, ainsi que forcer l’ac­tion des Patterns sur une grille ryth­mique selon les divi­sions déjà présentes pour d’autres para­mètres. De plus, la sélec­tion des Patterns peut être comman­dée par un des modu­la­teurs. Wooh…

Enfin, le Routing propre­ment dit : on y règlera le chemin du signal dans de nombreuses confi­gu­ra­tions en série ou paral­lèle, avec en plus la possi­bi­lité de placer les modules dans n’im­porte quel ordre, par simple glis­ser-dépo­ser. On y trouve aussi les volumes d’en­trée, de signal non traité et de signal traité, le tout de façon globale, ainsi qu’un limi­teur. Puis­sance encore. Tout cela est bien beau, mais qu’en est-il des desti­na­tions, à savoir les effets propre­ment dits ?

FX Galore

Native Instruments Molekular

Quatre empla­ce­ments DSP, donc, dans lesquels on char­gera un des 35 effets dispo­nibles, sachant que cinq sont dispo­nibles pour tous les modules DSP (Dual Delay, Equa­li­zer, Filter, Level et Meta­verb, oui, celle de Maschine), et que les 30 autres sont répar­tis dans les quatre modules de façon exclu­sive : pas de possi­bi­lité d’ou­vrir un effet dans un DSP pour lequel il n’est pas prévu. Mais peu importe, puisque l’on a vu que le routing permet de placer les modules dans l’ordre que l’on souhaite.

La plupart des effets communs remplissent parfai­te­ment leur fonc­tion et n’em­barquent pas de fonc­tion­na­li­tés ésoté­riques, à l’ex­cep­tion du Level qui, en dehors de ses para­mètres de base de volume et de pan, offre un séquen­ceur permet­tant de modi­fier volume, pan et largeur d’im­pul­sion, cette dernière permet­tant de créer des effets de gate, stut­ter, etc.

Il en va tout autre­ment des autres. D’abord, les para­mètres communs : quasi tous disposent d’un Mute, de réglages Mix, Wet et Out, d’un Bypass et d’un Solo. Ensuite, chacun regroupe des fonc­tion­na­li­tés que l’on peut parfois déduire de leur nom, avec toujours une touche inédite les diffé­ren­ciant des modules équi­va­lents chez d’autres éditeurs. D’autres sont tota­le­ment origi­naux. 

Prenons les effets ayant un air fami­lier : d’abord, le Dual Comb, qui regroupe deux filtres en peigne, pouvant être confi­gu­rés en paral­lèle ou en série, avec cross­fade et balance entre partiels harmo­niques pairs et impairs. Ensuite tout une série de délais, comme Angel Delay (de trois à 15 taps, avec diffé­rentes gestions de la chute des échos), Band Delays (huit taps, chacun passant dans un filtre band-pass avec gestion du pan et de l’am­pli­tude, le tout asso­cié à un système de patterns), Cloud Delay (un délai granu­laire, avec freeze, hauteur, longueur, rever­se…) et Dub Delay (délai stéréo avec voix indé­pen­dantes et de nombreuses fonc­tions de trai­te­ments sur les échos).

Native Instruments Molekular

Ensuite Free­zer permet de sampler le signal entrant sur deux canaux indé­pen­dants, avec fade In et Out variables sur les points de bouclage, Chorus utilise un délai stéréo et un déca­lage de phase jusqu’à 120°, Dual Filter est un double filtre réso­nant multi­mode (utili­sa­tion en série ou en paral­lèle), Filter­bank regroupe cinq filtres passe-bande 24 dB, Phlan­ger est un hybride entre phaser et flan­ger (jusqu’à 10 filtres all-pass avec délai dans la boucle de feed­back), Pitch Shift est un double circuit de trans­po­si­tion avec Reverse, accor­dages indé­pen­dants, et mode Weird (mélange des deux, sans garan­tie du résul­tat…), Lo FI offre un algo­rithme de réduc­tion de fréquence d’échan­tillon­nage, Frequency Shift est un double circuit de déca­lage de fréquence, avec inver­sion, feed­back et modu­la­tion, pouvant travailler en posi­tif ou néga­tif.

Rien que ça rendrait déjà heureux n’im­porte quel amateur de bidouilles sonores. Mais ce n’est pas fini. 

More FX Galore

Native Instruments Molekular

Même si les effets suivants sont basés sur des prin­cipes connus (ou moins connus), leur implé­men­ta­tion et la façon dont l’uti­li­sa­teur inter­vien­dra sur le son via les réglages sont la plupart du temps assez nova­teurs ou inédits dans du logi­ciel se voulant grand public. C’est d’ailleurs une des forces de la plupart des produits pour Reak­tor que de cacher des program­ma­tions parfois hallu­ci­nantes sous des inter­faces claires et simples (l’étude des patches et des niveaux de program­ma­tion des modules de Mole­ku­lar fait… très mal à la tête).

On ne peut conti­nuer à dérou­ler le détail de tous les modules présents, il faudrait, vu leur spéci­fi­cité l’équi­valent de ce qui a déjà écrit du début de ce test à l’en­droit où nous sommes… Prenons simple­ment quelques effets parti­cu­liers, et si l’on souhaite en savoir plus sur le reste, Native offre une version de démo incluant un manuel très détaillé.

Prenons Plagia­rism, par exemple. Un suiveur d’en­ve­loppe analyse le signal entrant, et la mesure moyenne en résul­tant déclenche à son tour 16 enve­loppes, gérant 16 sons dont la hauteur indi­vi­duelle est défi­nie en fonc­tion d’une réfé­rence et d’une répar­ti­tion des partiels harmo­niques à choi­sir entre ordre natu­rel, ordre inverse, pairs et/ou impairs, suite de quintes, expo­nen­tiel, mineur, majeur, septième majeure, septième mineure, octaves désac­cor­dés et suite de secondes. On peut forcer un côté pseudo-aléa­toire, déter­mi­ner le nombre de voix, choi­sir le mode de géné­ra­tion des voix (filtres band-pass, ondes sinus ou pulse, avec varia­tion de la largeur), trois modes d’ana­lyse et modu­la­teur en anneau. 

Voilà quelques exemples audio à partir d’une simple voix, et unique­ment le Plagia­rism, avec ou sans modu­la­tions. 

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Native Instruments Molekular

Il faudrait s’ar­rê­ter sur le module de distor­sion (Modulo Fry), sur le Track OSC, un oscil­la­teur déclen­ché par l’ana­lyse de la hauteur du signal entrant (ou comment produire le trafic vocal du « Lovely Head » de Gold­frapp), sur Itera­tron, permet­tant d’échan­tillon­ner le signal entrant, puis de modu­ler son ampli­tude via un géné­ra­teur de pas ascen­dant ou descen­dant, avec répé­ti­tion, filtrage, inver­sion, etc. Comme la place va manquer, voici quelques exemples de sons trai­tés par des chaînes plus ou moins complexes d’ef­fets, d’abord à partir d’une batte­rie.

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Puis à partir d’une basse.

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Bilan

Le bilan va être très rapide : Mole­ku­lar est devenu l’un des outils de sound design que j’uti­lise en prio­rité, en le complé­tant avec les plugs ou appli­ca­tions offrant les fonc­tion­na­li­tés absentes et néces­saires, comme la réverbe à convo­lu­tion, les proces­seurs de time-stret­ching, certains délais, satu­ra­tions, filtres ou compres­seurs. Le fait qu’il se comporte aussi bien dans un contexte de studio, par exemple pour fabriquer de la nour­ri­ture pour votre sampler préféré, ou sur scène, pour trai­ter de façon tota­le­ment sauvage n’im­porte quel son, est bien évidem­ment un plus, MIDI Learn et OSC le mettant en accès total aux contrô­leurs les plus variés, des smart­phones aux surfaces de contrôle, en passant par tous les claviers de commande, les Leap Motion et autres Wiimote.

Une véri­table réus­site, méri­tant parfai­te­ment son Award Valeur Sûre.

Télé­char­gez les fichiers sonores (format FLAC) 

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Award Valeur sûre
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  • Tout, sauf...
  • ... le principe de sélection par cliquer-tirer
  • Attention à la consommation CPU !

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