Débutant en DJing, viens poser tes questions ici
- 12 509 réponses
- 973 participants
- 1 533 162 vues
- 949 followers
Denaro
3112
Modérateur·trice thématique
Membre depuis 18 ans
Sujet de la discussion Posté le 25/01/2011 à 13:10:16Débutant en DJing, viens poser tes questions ici
Bonjour à tous.
Ce sujet est créé dans le but de centraliser les questions des débutants dans le monde du DJing.
Pour chaque question, merci d'être le plus précis possible sur l'utilisation prévue de votre matériel et de ne pas oublier de mentionner votre budget.
Les DJs débutants sont donc invités à venir poser leurs questions sur ce topic unique et ne pas créer de sujet supplémentaire.
Musicalement,
L'équipe de modération
[ Dernière édition du message le 28/01/2011 à 17:19:39 ]
La Chapelle
9
Nouvel·le AFfilié·e
Membre depuis 2 ans
12341 Posté le 19/05/2022 à 21:13:16
Bonsoir
je mixe sur Traktor, mailles morceaux de mes playlist Apple Music ne montent pas car ils sont protégés par la DRM...
j'utilise donc noteburner pour les convertir mais c'est hyper long et pas intuitif.
Comment faire pour avoir ses playlists dans Traktor est que le smorcraux "montent" ?
merci à vous.
je mixe sur Traktor, mailles morceaux de mes playlist Apple Music ne montent pas car ils sont protégés par la DRM...
j'utilise donc noteburner pour les convertir mais c'est hyper long et pas intuitif.
Comment faire pour avoir ses playlists dans Traktor est que le smorcraux "montent" ?
merci à vous.
_DJSTUFF_
2355
AFicionado·a
Membre depuis 11 ans
12342 Posté le 25/05/2022 à 07:16:20
Acheter sa musique comme tout être humain depuis des dizaines d’années ?
| www.djstuff.fr |
La Chapelle
9
Nouvel·le AFfilié·e
Membre depuis 2 ans
12343 Posté le 31/05/2022 à 12:20:18
Bonjour, merci de ta réponse. Je me permets d'y répondre car je te trouve un peu dur.
Tu éludes le fait que j'achète la musique en souscrivant à un service de streaming. Ce qui nous ouvre sur le débat de la rétribution des artistes par ces services de streaming. Je n'ai aucune connaissances sur ce sujet mais je me doute que le système doit plutôt rétribuer les "gros" vendeur.
Bref, j'achète de la musique "comme tout etre humain" sur Bandcamp ou des vynils chez des disquaires indépendant, tout cela pour te dire que je suis un etre sensible a la rétribution des artistes. Ta réponse me semble maladroite mais aura le mérite de clarifier ma situation vis à vis du streaming payant et je vais essayer de creuse sur qui reçoit quoi !
Tu éludes le fait que j'achète la musique en souscrivant à un service de streaming. Ce qui nous ouvre sur le débat de la rétribution des artistes par ces services de streaming. Je n'ai aucune connaissances sur ce sujet mais je me doute que le système doit plutôt rétribuer les "gros" vendeur.
Bref, j'achète de la musique "comme tout etre humain" sur Bandcamp ou des vynils chez des disquaires indépendant, tout cela pour te dire que je suis un etre sensible a la rétribution des artistes. Ta réponse me semble maladroite mais aura le mérite de clarifier ma situation vis à vis du streaming payant et je vais essayer de creuse sur qui reçoit quoi !
SmoothWax
836
Posteur·euse AFfolé·e
Membre depuis 8 ans
12344 Posté le 31/05/2022 à 21:03:00
Citation de La :
[...]Tu éludes le fait que j'achète la musique en souscrivant à un service de streaming. Ce qui nous ouvre sur le débat de la rétribution des artistes par ces services de streaming.
Spoiler - Cliquer ici pour lire la suite
Sans oublier les techniciens, ingénieurs, producteurs et autres réalisateurs artistiques
Je me permets de partager quelques trucs sur le vaste sujet de l'industrie de la musique enregistrée, et la rétribution - s'il y a - des intervenants à la réalisation d'une pièce musicale, à l'heure du streaming :
-----> https://incentivetheory.medium.com/steve-jobs-didnt-get-it-right-the-future-of-the-music-industry-61e53c87564e
Sans oublier les techniciens, ingénieurs, producteurs et autres réalisateurs artistiques
Je me permets de partager quelques trucs sur le vaste sujet de l'industrie de la musique enregistrée, et la rétribution - s'il y a - des intervenants à la réalisation d'une pièce musicale, à l'heure du streaming :
-----> https://incentivetheory.medium.com/steve-jobs-didnt-get-it-right-the-future-of-the-music-industry-61e53c87564e
Underground House is my girlfriend
La Chapelle
9
Nouvel·le AFfilié·e
Membre depuis 2 ans
12345 Posté le 01/06/2022 à 09:58:03
Merci SmoothWax pour toutes ces sources !
Will Zégal
75068
Will Zégal
Membre depuis 22 ans
12346 Posté le 01/06/2022 à 10:41:40
En fait, non, tu n'achètes pas la musique avec le streaming. Tu payes à des milliardaires le droit d'écouter à volonté tous les artistes qu'ils pillent à coup de rémunérations misérables.
C'est quand tu achètes un album en téléchargement que tu as bien acheté un droit de disposer de cette musique. Et encore, ce droit n'inclut pas la diffusion publique ce qui fait que quand tu mixes en soirée, tu dois (en fait, c'est l'organisateur qui le doit) déclarer ce que tu as passé pour que les artistes en reçoivent les royalties.
Petite histoire du streaming et du vol légalisé des artistes :
C'est quand tu achètes un album en téléchargement que tu as bien acheté un droit de disposer de cette musique. Et encore, ce droit n'inclut pas la diffusion publique ce qui fait que quand tu mixes en soirée, tu dois (en fait, c'est l'organisateur qui le doit) déclarer ce que tu as passé pour que les artistes en reçoivent les royalties.
Petite histoire du streaming et du vol légalisé des artistes :
Spoiler - Cliquer ici pour lire la suite
Avec l'arrivée des technologies numérique dont les CD, puis Internet est arrivé le "piratage" massif. L'industrie du disque, qui dans le même temps a vu son business s'effondrer s'est empressée d'accuser ce piratage de la voler et de la mettre en danger.
Des sites illégaux de streaming et de téléchargement ont fleurit. Souvent vite fermés par les autorités.
Les études montraient que les "pirates" étaient prêts à payer pour une écoute légale. Leur motivation était essentiellement l'aspect pratique du streaming et de la disponibilité immédiate d'énormes catalogue à l'époque où les majors étaient arc-boutées sur la vente de supports physiques.
Alors sont arrivés des sites d'écoute "légale" (dont Spotify) qui ont mis à disposition - sans autorisation des ayants droits - d'énormes catalogues contre des abonnements très bas (10 € par mois pour de l'écoute illimitée, c'est pas le prix d'un seul album).
Gros succès, rémunération ridicule des ayants droits (artistes, maisons de disques, labels) au prétexte que ces services n'étaient pas rentables.
(c'est un peu comme si tu allais prendre du pain chez ton boulanger et que tu le revendais à bas prix, puis que tu payais ton boulanger à la moitié du prix de son pain en disant "désolé, je ne peux pas te payer plus parce que je ne gagne pas assez").
Désormais, les acteurs du streaming sont devenus très très rentables (en tous cas pour leurs actionnaires), mais n'ont monté ni leurs prix, ni la rémunération des artistes.
A un moment, les majors ont tapé du poing sur la table en disant "ça suffit, on veut notre part du gâteau sinon on vous retire nos catalogues". Parade des streamer "bougez pas, on va négocier. Tenez, engagez-vous à nous foutre la paix et on vous donne une part du gâteau sous forme d'actions". Les maisons de disque ont accepté. C'est pratique : ils doivent reverser aux artistes leur part sur ce qu'ils gagnent en royalties de diffusion, pas sur ce qu'ils gagnent en dividendes d'actions.
Les majors qui avaient donc des intérêts conjoints avec les artistes contre les streamers sont passés de l'autre côté de la barrière.
A noter que la seule étude sérieuse (universitaire) sur la question du piratage a eu lieu au Canada et montrait que c'était ceux qui copiaient le plus de musique qui en achetaient le plus. Elle met donc à mal le discours comme quoi le piratage était la cause de l'effondrement (réel) des ventes et du CA des majors.
Il se trouve que cet effondrement a conduit les maisons de disques à retrouver un volume de vente et un chiffre d'affaires équivalent à celui qu'ils avaient... avant l'arrivée du CD. L'arrivée du CD a constitué un boum énorme pour les maisons de disques : tout le monde s'est précipité pour remplacer ses K7 et ses vinlys par des CD. Ceci a permis au maisons de disque de revendre aux gens la musique qu'ils avaient déjà achetée, mais aussi de se faire de confortables marges en revendant à nouveau des catalogues déjà amortis, des disques qu'ils n'avaient ni à produire, ni à promouvoir.
La crise du piratage étaient en fait probablement une simple remise à la normale du marché après que les gens aient fini de remplacer leur discothèque par une CDthèque.
Par ailleurs, quand le piratage en ligne s'est développé, les maisons de disques ont refusé tout ce qui pouvait le concurrencer et répondre à la demande des consommateurs : la licence globale de mettre en place des offres de streaming légal... Il a fallu que des pirates "légaux" comme Daniel Ek (patron de Spotify) leur force la main.
Des sites illégaux de streaming et de téléchargement ont fleurit. Souvent vite fermés par les autorités.
Les études montraient que les "pirates" étaient prêts à payer pour une écoute légale. Leur motivation était essentiellement l'aspect pratique du streaming et de la disponibilité immédiate d'énormes catalogue à l'époque où les majors étaient arc-boutées sur la vente de supports physiques.
Alors sont arrivés des sites d'écoute "légale" (dont Spotify) qui ont mis à disposition - sans autorisation des ayants droits - d'énormes catalogues contre des abonnements très bas (10 € par mois pour de l'écoute illimitée, c'est pas le prix d'un seul album).
Gros succès, rémunération ridicule des ayants droits (artistes, maisons de disques, labels) au prétexte que ces services n'étaient pas rentables.
(c'est un peu comme si tu allais prendre du pain chez ton boulanger et que tu le revendais à bas prix, puis que tu payais ton boulanger à la moitié du prix de son pain en disant "désolé, je ne peux pas te payer plus parce que je ne gagne pas assez").
Désormais, les acteurs du streaming sont devenus très très rentables (en tous cas pour leurs actionnaires), mais n'ont monté ni leurs prix, ni la rémunération des artistes.
A un moment, les majors ont tapé du poing sur la table en disant "ça suffit, on veut notre part du gâteau sinon on vous retire nos catalogues". Parade des streamer "bougez pas, on va négocier. Tenez, engagez-vous à nous foutre la paix et on vous donne une part du gâteau sous forme d'actions". Les maisons de disque ont accepté. C'est pratique : ils doivent reverser aux artistes leur part sur ce qu'ils gagnent en royalties de diffusion, pas sur ce qu'ils gagnent en dividendes d'actions.
Les majors qui avaient donc des intérêts conjoints avec les artistes contre les streamers sont passés de l'autre côté de la barrière.
A noter que la seule étude sérieuse (universitaire) sur la question du piratage a eu lieu au Canada et montrait que c'était ceux qui copiaient le plus de musique qui en achetaient le plus. Elle met donc à mal le discours comme quoi le piratage était la cause de l'effondrement (réel) des ventes et du CA des majors.
Il se trouve que cet effondrement a conduit les maisons de disques à retrouver un volume de vente et un chiffre d'affaires équivalent à celui qu'ils avaient... avant l'arrivée du CD. L'arrivée du CD a constitué un boum énorme pour les maisons de disques : tout le monde s'est précipité pour remplacer ses K7 et ses vinlys par des CD. Ceci a permis au maisons de disque de revendre aux gens la musique qu'ils avaient déjà achetée, mais aussi de se faire de confortables marges en revendant à nouveau des catalogues déjà amortis, des disques qu'ils n'avaient ni à produire, ni à promouvoir.
La crise du piratage étaient en fait probablement une simple remise à la normale du marché après que les gens aient fini de remplacer leur discothèque par une CDthèque.
Par ailleurs, quand le piratage en ligne s'est développé, les maisons de disques ont refusé tout ce qui pouvait le concurrencer et répondre à la demande des consommateurs : la licence globale de mettre en place des offres de streaming légal... Il a fallu que des pirates "légaux" comme Daniel Ek (patron de Spotify) leur force la main.
Dnhs5500
1547
AFicionado·a
Membre depuis 13 ans
12347 Posté le 01/06/2022 à 10:52:06
Salut La Chapelle;
Au delà des considérations de faible rémunérations artistiques du streaming (hors mainstream) et de l’intérêt d’acheter directement auprès des artistes ou de leurs labels (via bandcamp notamment); le seul service de streaming compatible à ce jour avec Traktor à ma connaissance est Beatport.
Tidal et SoundCloud go le sont avec djay pro, Serato et la série prime de Denon.
Deezer avec virtual dj, un temps, suspendu puis semble fonctionner de nouveau.
Concernant Apple Music, aucun logiciel à ce jour ne propose une intégration du streaming.
Pour info : d’un point de vue strictement légal, les services de streaming intégrés sont réservés à une utilisation dans le cadre privé (à vérifier selon évolution législative).
Au delà des considérations de faible rémunérations artistiques du streaming (hors mainstream) et de l’intérêt d’acheter directement auprès des artistes ou de leurs labels (via bandcamp notamment); le seul service de streaming compatible à ce jour avec Traktor à ma connaissance est Beatport.
Tidal et SoundCloud go le sont avec djay pro, Serato et la série prime de Denon.
Deezer avec virtual dj, un temps, suspendu puis semble fonctionner de nouveau.
Concernant Apple Music, aucun logiciel à ce jour ne propose une intégration du streaming.
Pour info : d’un point de vue strictement légal, les services de streaming intégrés sont réservés à une utilisation dans le cadre privé (à vérifier selon évolution législative).
La Chapelle
9
Nouvel·le AFfilié·e
Membre depuis 2 ans
12348 Posté le 01/06/2022 à 10:56:24
merci beaucoup pour vos réponses @Will Zégal & @Dnhs5500.
Du coup j'arrive sur une autre question bien plus basique. Avant je mixais sur Serato et je me servais d'iTunes pour préparer mes playlists et tout était fluide.
Maintenant avec le streaming, les achats sur different plateforme comment gérer vous votre flux de musique ? Traktor ne peux pas me servir "d'iTunes", j'entends par la d'endroit ou je centralise ma musique ? Suis curieux d'avoir vos méthodes.
Encore merci.
Du coup j'arrive sur une autre question bien plus basique. Avant je mixais sur Serato et je me servais d'iTunes pour préparer mes playlists et tout était fluide.
Maintenant avec le streaming, les achats sur different plateforme comment gérer vous votre flux de musique ? Traktor ne peux pas me servir "d'iTunes", j'entends par la d'endroit ou je centralise ma musique ? Suis curieux d'avoir vos méthodes.
Encore merci.
Will Zégal
75068
Will Zégal
Membre depuis 22 ans
12349 Posté le 01/06/2022 à 11:48:09
Je suis en train de revoir mon organisation.
Jusqu'à présent, j'avais un disque avec une grosse partie de ma bibliothèque musicale simplement classée par artiste/album/morceaux, plus un dossier "soirée" fait il y a longtemps avec les musiques plus typés DJing classés par style.
J’importais pratiquement tout dans la bibliothèque de mon logiciel (CrossDJ) où je faisais ensuite des playlists pour m'y retrouver.
La raison de ça est qu'une grosse part de ce que je fais en mix est de type "discomobilie", c'est à dire animation de soirée en enchaînant des titres pour faire danser les gens (mais il peut y avoir en début de soirée de longues plages de musiques d'ambiance pas faites pour danser, d'où l'intérêt d'avoir une vaste bibliothèque et des morceaux à mettre en masse en autoplay pendant que tu casses la croûte).
Avec un peu de mix / remix créatif, mais c'est pas le coeur du truc vu que je ne suis pas trop outillé pour (vieux Hercules DJ Steel à qui j'ajoute un Novation LaunchControl ou un Maschine JAM qui me permet de gérer plus de trucs).
Je reçois prochainement un contrôleur un peu plus costaud (NV II)qui va me permettre de faire (enfin) du vrai mix créatif. Là, je pense n'importer dans la bibilothèque de Serato que les morceaux qui seront dédiés au mix electro à danser.
Il est d'ailleurs possible que je conserve deux configurations différentes pour les deux usages vu que le nouveau contrôleur va m'obliger à utiliser Serato : il n'y a pas de mapping CrossDJ pour la NV II et le DJing est une activité trop secondaire pour moi pour que je prenne le temps de le faire. Déjà que je n'ai jamais complètement terminé mon mapping de Maschine JAM tellement c'est relou à faire.
Or, Cross dispose d'une fonction précieuse pour la discomobile absente de Serato : une préécoute directe sans devoir charger un morceau dans un lecteur. Cela aide beaucoup à chercher les morceaux à passer et à éviter les routines.
Le problème est que les soirées "discomobile" ont tendance à finir en mix electro/techno et que c'est assez limitant/frustrant avec mon pauvre contrôleur Hercules qui marche très bien pour enchaîner des titres, mais est nettement plus limité côté gestion des effets, des points cue, etc. (d'où l'acquisition de la NV II).
Jusqu'à présent, j'avais un disque avec une grosse partie de ma bibliothèque musicale simplement classée par artiste/album/morceaux, plus un dossier "soirée" fait il y a longtemps avec les musiques plus typés DJing classés par style.
J’importais pratiquement tout dans la bibliothèque de mon logiciel (CrossDJ) où je faisais ensuite des playlists pour m'y retrouver.
La raison de ça est qu'une grosse part de ce que je fais en mix est de type "discomobilie", c'est à dire animation de soirée en enchaînant des titres pour faire danser les gens (mais il peut y avoir en début de soirée de longues plages de musiques d'ambiance pas faites pour danser, d'où l'intérêt d'avoir une vaste bibliothèque et des morceaux à mettre en masse en autoplay pendant que tu casses la croûte).
Avec un peu de mix / remix créatif, mais c'est pas le coeur du truc vu que je ne suis pas trop outillé pour (vieux Hercules DJ Steel à qui j'ajoute un Novation LaunchControl ou un Maschine JAM qui me permet de gérer plus de trucs).
Je reçois prochainement un contrôleur un peu plus costaud (NV II)qui va me permettre de faire (enfin) du vrai mix créatif. Là, je pense n'importer dans la bibilothèque de Serato que les morceaux qui seront dédiés au mix electro à danser.
Il est d'ailleurs possible que je conserve deux configurations différentes pour les deux usages vu que le nouveau contrôleur va m'obliger à utiliser Serato : il n'y a pas de mapping CrossDJ pour la NV II et le DJing est une activité trop secondaire pour moi pour que je prenne le temps de le faire. Déjà que je n'ai jamais complètement terminé mon mapping de Maschine JAM tellement c'est relou à faire.
Or, Cross dispose d'une fonction précieuse pour la discomobile absente de Serato : une préécoute directe sans devoir charger un morceau dans un lecteur. Cela aide beaucoup à chercher les morceaux à passer et à éviter les routines.
Le problème est que les soirées "discomobile" ont tendance à finir en mix electro/techno et que c'est assez limitant/frustrant avec mon pauvre contrôleur Hercules qui marche très bien pour enchaîner des titres, mais est nettement plus limité côté gestion des effets, des points cue, etc. (d'où l'acquisition de la NV II).
Meli83
1
Nouvel·le AFfilié·e
Membre depuis 2 ans
12350 Posté le 06/06/2022 à 15:23:34
Bonjour, je viens d’acquérir un minipad subzero qui a pour une utilité future de servir à lancer des jingles et sonneries. Cependant je ne sais ni comment installer le minipad ni quel logiciel prendre, mon ASUS à installer le minipad mais je ne le trouve nulle part …
Si quelqu’un aurait la gentillesse de bien vouloir m’aider un peu
Si quelqu’un aurait la gentillesse de bien vouloir m’aider un peu
- < Liste des sujets
- Charte