Quelqu'un connaîtrait-il le pourquoi du comment de la première personne du singulier de l'indicatif présent du verbe pouvoir? Pourquoi peut-on dire indifféremment "je peux" ou "je puis"?
Cela viendrait-il d'un régionnalisme? de la langue qui n'était pas encore très fixée au XVIe S.?
De même pour le verbe asseoir, pourquoi y a-t-il deux conjugaisons possibles aux indicatifs présent, futur simple et imparfait, au subjonctif présent, au conditionnel présent, ainsi qu'au participe présent?
Pour je peux, je pense que c'est une subsistance de la déclinaison qui existait en ancien français... mais je n'en suis pas sur.
A regarder dans le grévisse...
Y'en avais deux... on a gardé des subsistance...
par exemple chevals en sujet et chevaux en adjectif on a gardé la forme adjectivale alors que dans la plupart des cas on a gardé la forme sujet.