Dis moi ce que tu lis.
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Nantho Valentine
anton.
A PARAITRE LE 4 MARS
Il était temps! L'œuvre ultime de Huxley devenue introuvable se négociait jusqu'à aujourd'hui dans les 100€ minimum. Encore dommage que ce soit chez Pocket. L'impression est catastrophique sur les éditions récentes. Il est disponible en pré-commande.
Plateau of mirrors Mon blog musique et création.
[ Dernière édition du message le 02/03/2010 à 07:22:38 ]
Javier Guante Hermoso
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Anonyme
Par contre obo et aka vous faites franchement envie avec A rebours, vais essayer d'y penser la prochaine fois que je passe en librairie.
Anonyme
Et dans la foulée j'ai commencé Moi, Milanollo, fils de Stradivarius de Jean Diwo que ma conseillé Darinze, ça part très bien, l'histoire est racontée par un violon de presque 3 siècles.
Anonyme
Polaroil
http://www.vinvin.org/images/2008/11/18/autobiochapman_2.jpg
roooôô, c'est énormeDrôle, libre, sans concessions et très anglais. l'autobio de Graham Chapman, quoi
"And in the end, the love you take is equal to the love you make"
crossroads
J'ai vraiment bien aimé le changement de narrateur régulier, ça donne du rythme et permet d'avoir différents points de vur d'une même situation.
Instrumental/Ambient/Post-Rock : https://dzeta.bandcamp.com/
Anonyme
anton.
Plateau of mirrors Mon blog musique et création.
Anonyme

[ Dernière édition du message le 31/03/2010 à 18:16:50 ]
Anonyme
Après l'Oeuvre au Noir je ne suis pas déçu, encore une fois superbement écrit, la forme est irréprochable. Toutefois, le tout manque par moments un peu de tension à mon goût, mais c'est bien pour chercher un défaut. Chaque tournure de phrase est pesée, rien n'est laissé au hasard (quand on voit le temps que Yourcenar a passé sur ce bouquin le contraire aurait été étonnant), la description de l'homme, du penseur, est très fine et juste, pour moi on atteint un degré d'analyse peu commun en littérature, fortement aidé par le style sans faute. Je pense qu'on peut parler de chef d'œuvre.
The Road
Je pense que je vais le relire prochainement, mais ce premier passage est déjà très positif, c'est très intense et touchant, pas mal de métaphores assez originales, le tout dans un style plutôt ramassé sans paraître aride pour autant. Yen qui ont lu d'autres McCarthy (à part No Country...) qu'ils conseilleraient?
Anonyme
Plus je repense à La Route, plus je trouve que c' est quand même un peu long et chiant par moments.
Anonyme
Anonyme
Je me suis enfin décidé à me lancer dans La Route de Cormac McCarthy, et je l'ai fini en 2 soirées.
Pareil, je l'ai attaqué samedi, et terminé dimanche soir. Un super, super bouquin, avec une qualité de traduction qui mérite un chapeau bas.
Certaines aspects du bouquin peuvent en effet paraitre un peu longuets, mais je pense que ça sert l'ambiance du livre.
Quelqu'un a vu l'adaptation cinéma ?
[ Dernière édition du message le 06/04/2010 à 12:57:45 ]
Dr Pouet
Ça se passe à peu près au même moment que "stupeurs et tremblements", mais c'est un peu l'opposé car les événements décrits sont beaucoup plus agréables : son amour pour le Japon, la montagne et son histoire d'amour avec un japonais.
J'ai pris beaucoup de plaisir à le lire : toujours ce style peu démonstratif mais très évocateur, pas mal de trucs amusants voire franchement drôles, beaucoup d'auto-dérision...
Anonyme
avec une qualité de traduction qui mérite un chapeau bas.
Tu dis juste ça parce que ça se lit bien ou t'as comparé avec la VO? Je l'ai lu en anglais, j'aime bien ce style assez concis dans cette langue, mais en français j'ai souvent plus de mal...
Anonyme
Quelqu'un a vu l'adaptation cinéma ?Oui, chiant au possible.
Anonyme
Je suis pas sur d'être très clair là non ?
Anonyme
Anonyme
oboreal
kravatorf
un grand classique du polar "hard boiled" des années 60... pris un peu par hasard sur les conseils de mon libraire. Et c'est vraiment TRES bien ! Hyper efficace, malin, très prenant... bref, dévoré en quelques heures et j'en redemande
Zanetoche
Anonyme
Brillant, voire exceptionnel. C'est le 2eme bouquin que je lis de lui, après The Road. Le style est toujours aussi clair et limpide, l'intégration des dialogues aussi prodigieuse.
Les personnages sont attachants au possible, ptet que le fait que j'ai vu le film des frangins Cohen n'est pas étranger à ça.
Un livre dont je me souviendrais longtemps après avoir lu la derniere page, ce qui après tout est toujours le signe d'une grande oeuvre.
Bizarrement, je me suis même surpris à adhérer à pas mal de considérations du narrateur principal, plutôt à l'opposé ds miennes.
En revanche, ce bouquin me fait penser que ça va pas être facile de devenir vieux. Comme on dit, vieillir c'est pas un truc de mauviette.
Anonyme
Le premier truc que je me suis dit en le finissant c'est que Sepulveda aurait fait un bouquin de 150 pages avec une histoire pareille, là yen a 400 et je ne l'ai pas lâché avant la dernière. L'intrigue n'est donc pas bien complexe (elle tient en 5 lignes sur la quatrième de couverture), mais le mode de récit est très bien choisi, les prolepses/analepses sont impeccablement gérées, le style est dense sans être pesant. Bon nombre de "figures" parmi les personnages: comme dans Nostromo, en quelques lignes le ton est donné, puis Conrad retravaille et affine, c'est clairement cette galerie qui fait l'âme du roman. En gros, faire un tel bouquin avec une histoire aussi simple (un marin qui traîne sa honte aux quatre coins de l'Asie après avoir merdé lors d'un naufrage, et qui réussit à se refaire à ses propres yeux dans un bled oublié du reste du monde), ça tient du génie.
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