Dis moi ce que tu lis.
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Nantho Valentine
Anonyme
Dr Pouet
Au fond je ne sais pas quoi en penser. Je n'ai pas trouvé ça raté car il y a pas mal d'idées mais c'est le fond de l'histoire qui m'échappe. Je n'ai pas compris où l'auteure voulait en venir.
Il ne m'en reste pas grand chose mais cela reste tout de même agréable à lire.
(...)
Outre quelques phrases çà et là, le style formel ne m'a pas toujours pas sauté aux yeux.
A ce que j'ai cru comprendre c'est pourtant ce qui défini le plus cette auteure japonaise mais ça ne me semble toujours pas flagrant.
Il y a quelque chose de froid dans la façon d'écrire.
Là j'ai l'impression que le bouquin est moyen moins, plutôt dans la catégorie « à éviter ».
Là par contre, je vois mieux le goût de « revenez-y » :
Comme les deux autres romans précédents, c'est très addictif et dès que j'avais une demi-heure devant moi je plongeais dedans. J'attendais aussi patiemment la fin de la journée de travail pour squatter un café et en reprendre la lecture.
D'où mes questions...
a.k.a
Oui, je parlais aussi de cet auteur en particulier, Pouet. ![]()
Dr Pouet
Oui, je parlais aussi de cet auteur en particulier, Pouet.
Pour toi «la passion de la lecture» c'est d'adorer des livres auxquels on trouve de nombreux défauts ? Genre «la passion malgré de nombreux défauts» ? C'est vrai qu'on dit que la passion rend aveugle, et c'est peut-être même le propre de la passion.
Je le conçois facilement en amour. Mais en arts, autant il me vient plein d'exemples de «passion malgré quelques défauts», autant je n'en vois pas facilement avec «de nombreux défauts». D'où mes questions.
Ou alors si : un truc (livre, morceau...) m'a tellement plu que j'ai passé outre de nombreuses déceptions, et me suis acharné à me procurer d'autres œuvres du même auteur. Cela dit, je ne commenterais pas les œuvres que j'ai trouvées moyennes ; ce qui me ramène à ma dubitativité !
Bon bref, je comprends pas. Mais spagrave !
a.k.a
Hors sujet :
Oué, je vois qu'il y a une doute qui plane. Alors j'essplique.
tu disais :
Citation :
Ma question n'était pas sur le nombre de pages ou le nombre de livres lus, mais pourquoi lire autant de livres d'une même auteure, en ayant jugé notamment
...
J'avais bien compris que ta question initiale ne portait pas ni sur le nombre de livres lus en général (et encore moins sur les pages, on sait bien tous que ça ne dit rien sur le livre lui-même...) mais bien sur un certain choix de lectures de kumo, qui concerne précisément cette auteure japonaise (d'où ma réponse avec "exhaustif" dedans, ou plutôt exclusif - aurai-je dû écrire - sur l'auteure), malgré les comptes rendus en demi-teinte qu'il en faisait. Bref, j'avais compris la question et la réponse m'intéresse. Is that clear now ?
Dr Pouet
> Is that clear now ?
Oui, je crois !
Et je soupçonne que la réponse de Kumo pourrait être : "mes jugements qui vont de 'pas si mal' à 'très bien' sont des nuances au sein d'un sous-ensemble 'globalement fascinant / très bon' ". C'est ça ?
Mais sommes-nous vraiment hors-sujet ? That is a question.
Anonyme
Citation :Et je soupçonne que la réponse de Kumo pourrait être : "mes jugements qui vont de 'pas si mal' à 'très bien' sont des nuances au sein d'un sous-ensemble 'globalement fascinant / très bon' ". C'est ça ?
Exactement.
Il y a des auteurs auxquels j'essaye toujours de donner une chance, y compris celle de ne pas apprécier leur travail. Yoko Ogawa a dans ses écrits le petit truc qui m'a fait me le dire et m'a poussé à continuer. Comme certains groupes/artistes qu'on aime et dont on a tous les albums même ceux qu'on aime pas, car quand même la partie de basse dans le troisième morceau et les accords dans le cinquième c'est pas mal.
Pour en revenir à la littérature, la lecture des oeuvres de certains auteurs amènent toujours quelque chose, quelques fois des années après.
Mais c'est vrai que j'ai des périodes "monomaniaques" en terme de lecture. Quand un auteur me plaît généralement j'essaye de lire le maximum de ses écrits car je suis dans l'ambiance. ce qui explique que j'ai eu une période Mishima, Inoue, Kawabata, Naguib Mahfouz, Céline ou encore Hermann Hesse et qu'en ce moment c'est la période Ogawa.
Je crois que ce qui me plaît chez cette auteure c'est cette sorte de "continuité conceptuelle" dont parlait Zappa: des éléments récurrents, des symboles, pas nécessairement nombreux qui traversaient toute sa musique, sa discographie, ses concerts, ses interviews et ses pochettes afin de laisser deviner une trame générale.
Des éléments arrivant toujours sans crier gare mais toujours pertinents car raccord avec la continuité conceptuelle.
Une fois le cadre donné, tout est possible.
Bref c'est toujours pareil mais ce n'est jamais la même chose.
Muslimgauze est pour moi un autre grand créateur du genre.
Certains de ses samples se retrouvent dans plusieurs de ses disques mais dans des contextes variables.
Au final, de par sa musique a forte évocation poétique, bien que violente quelques fois, on obtient une sorte de vision qui va de l'orient imaginaire dont parlait Edward W. Said aux réalités brutales du Moyen-Orient, du sous-contient indien et de l'Asie Centrale.
oryjen
On dirait que tu n'as pas encore eu ta période Faulkner, et je t'envie pour ça. J'ai eu la mienne vers 30 ans et je n'en suis toujours pas revenu.
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L'artiste entrouvre une fenêtre sur le réel; le "réaliste pragmatique" s'éclaire donc avec une vessie.
Anonyme
Je ne connais effectivement Faulkner que de nom.
D'un point de vue littéraire les USA sont un continent noir pour moi.
Mon intuition ne m'a jamais poussé à y mettre le nez plus que ça car je n'y ai pas eu d'ouverture comme j'ai pu en avoir avec l'Asie par le biais de certaines philosophies, religions, sens esthétique.
Mais bon c'est par des suggestions comme la tienne qu'un post-it mental se pose quelque part dans mon cerveau.
oryjen
Ce qui est intéressant chez Faulkner, à propos de cette forme, c'est qu'il l'a inventée sur mesure, et comme il est doté de talent et de sincérité, on sent bien à quel point elle était rendue nécessaire par le contenu même de ce qu'il avait à dire, et par conséquent à quel point ce qu'il avait à dire était terrible et vrai.
La perfection artistique ultime: Quand l'invention de la forme juste exprime elle-même la justesse et la force de ce qui est dit.
Franchement, essaie une période Faulkner. C'a été pour moi une expérience humaine absolument renversante.
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L'artiste entrouvre une fenêtre sur le réel; le "réaliste pragmatique" s'éclaire donc avec une vessie.
[ Dernière édition du message le 12/02/2014 à 09:29:48 ]
crossroads
Vite lu, très drôle, acide, profond ou léger; plein de bons sens et surtout de bons mots!
A retenir et à ressortir dans certaines situations!
Instrumental/Ambient/Post-Rock : https://dzeta.bandcamp.com/
crossroads
Niveau style, c'est pas la perfection et niveau connaissance de ma musique, c'est un peu léger.
Les tentatives d'analyse psychologiques sont un peu vaine...
... mais sinon, c'est une histoire vraie très dure (viol, prostitution, drogue, alcool...) d'un très belle femme qui finie tristement.
Ce qui m'a le plus marqué dans son histoire c'est l'incroyable niveau de racisme des USA de cette époque.
Instrumental/Ambient/Post-Rock : https://dzeta.bandcamp.com/
Dr Pouet
Mais ta description me donne envie de lire du Faulkner !
Chouettes échanges aussi. Merci Kumo, Oryjen...
Dr Pouet
Et en musique, j'ai adoré la bio de Monk par Laurent de Wilde : on sent la compréhension et on apprécie les explications quand un musicien parle d'un autre musicien...
Anonyme
ça vaut ce que ça vaut, mais je pense que ça a sa place ici.
LIRE UN BON LIVRE STIMULE LONGTEMPS LE CERVEAU
Entrer dans le nouveau monde d’un roman ou d’une nouvelle a des effets scientifiquement mesurables sur notre cerveau qui se prolongent après la lecture.
Se plonger dans un livre passionnant et dans son univers est une expérience sans pareille que tous les lecteurs ont connu et recherchent avidemment. Mais elle va au-delà du simple «bonheur de la lecture». Entrer dans le nouveau monde d’un roman ou d’une nouvelle a des effets scientifiquement mesurables sur notre cerveau et qui se prolongent pendant plusieurs jours après la lecture.
C’est une étude récente menée aux Etats-Unis par la Emory University qui démontre que lire un bon livre peut augmenter les connexions à l’intérieur du cerveau et créer des changements neurologiques persistants qui correspondent un peu à la mémoire musculaire qui permet de s’adapter aux efforts demandés.
Les changements dans le cerveau après des lectures «significatives» ont notamment été enregistrés dans le cortex temporal gauche, une zone du cerveau associée à la réceptivité du langage et aux sensations motrices. Les neurones de cette région du cerveau sont notamment liées aux sensations selon lesquelles nous faisons quelque chose sans le faire réellement. Par exemple, penser à courir peut activer des neurones associés avec l’acte physique de la course.
«Les changements neuronaux que nous trouvons associés avec des sensations physiques suggèrent que livre un roman peut vous transporter dans le corps du protagoniste» explique le Professeur Gregory Berns, spécialiste des neurosciences, qui a mené l’étude. «Nous savions déjà que les bonnes histoires pouvaient vous transporter dans les chaussures de quelqu’un d’autre au sens figuré. Maintenant, il semble que quelque chose se passe aussi en terme biologique».
Vingt et un étudiants ont pris part à l’étude et ont tous lu le même livre, un roman à suspense, Pompéi, écrit en 2003 par Robert Harris et choisit pour ses multiples rebondissements. Pendant 19 jours, les étudiants ont lu des parties du livre et ont eu ensuite systématiquement des scanners du cerveau le lendemain matin. Les scanners se sont poursuivis pendant 5 jours après la fin de la lecture du livre. Il en ressort que les changements neurologiques détectés pendant la lecture ont continué pendant les 5 jours ayant suivi la fin de celle-ci.
«Même si les participants ne lisaient plus le roman, ils conservaient une plus grande connectivité cérébrale», souligne le Professeur Berns. Conclusion: il ne faut jamais cesser de lire.
Par Slate.fr | publié le 29/12/2013 à 11h03, mis à jour le 29/12/2013 à 11h03
https://www.slate.fr/life/81695/lire-bon-livre-stimule-cerveau
Dr Pouet
Est-ce que ça veut dire que son style est très sophistiqué, qu'il demande de la concentration pendant la lecture, genre Balzac voire Proust ? Ou bien est-ce que, contrairement à cette remarque de la wikipedia, le style de Faulkner se lit facilement ?
Par exemple je rangerais dans ceux dont le style est élégant et suggestif, mais d'une lecture facile : Georges Simenon, Italo Calvino, Luis Sepulveda, Ray Bradbury, Daniel Pennac, Tonino Benacquista, Alessandro Baricco, Serge Brussolo, Amélie Nothomb, Eduardo Mendoza, Bruce Chatwin, Francisco Coloane, Aron Tamasi, Edgar Poe (
[ Dernière édition du message le 13/02/2014 à 01:47:15 ]
a.k.a
Je n'ai lu que Les palmiers sauvages, j'avais trouvé ça plutôt difficile de rentrer dedans mais une fois pris, on n'en sort plus. Pour moi, il n'a pas sa place dans ta petite liste.
oryjen
Evidemment je ne sais rien du style original de Faulkner, je n'en parlerai donc pas. j'ai pris ma claque pendant plusieurs années (l'impression durablement marquée pour moi, à la trentaine, de soudain découvrir le vrai pouvoir magique de la littérature: le pouvoir de dire le Vrai) avec ces traductions et je ne m'en plains pas, vous l'avez remarqué.
Il y a souvent des phrases longues chez faulkner, mais elles ne m'ont jamais fait l'effet assommant de Balzac ou de Proust, dont je n'ai jamais pu finir un seul roman. Leur longueur m'a semblé exprimer le tortueux chemin que nous avons à faire, dans nos vies, pour parvenir à synthétiser en sentiments la simplicité énigmatique de deux ou trois choses.
Par ailleurs, le mode de narration n'est jamais emprunté, pas même à lui-même: il semble être inventé spécialement pour chaque cycle romanesque, selon l'idée-phare qu'elle contient. Il est toujours déstabilisant d'avoir affaire à une forme nouvelle, parce que nous sommes conditionnés à ingurgiter massivement "de la culture" comme produit de consommation.
Un contact un peu déroutant, mais à mon avis salutaire. Donc délicieusement déroutant!
Quant au style, je dirais volontiers qu'il n'a rien d'étranger à Bradbury (c'est-à-dire Hemingway) ou à Sepulveda.
Ai-je été utile?
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L'artiste entrouvre une fenêtre sur le réel; le "réaliste pragmatique" s'éclaire donc avec une vessie.
[ Dernière édition du message le 13/02/2014 à 10:37:53 ]
a.k.a
Absolument. ![]()
C'était bien la traduction de Coindreau pour Les palmiers sauvages.
Dr Pouet
Tu m'en recommandes un, pour rentrer dedans et découvrir, et pour avoir envie de lire les autres ? (donc pas forcément "celui qu'il faut lire si on ne doit en lire qu'un").
[ Dernière édition du message le 13/02/2014 à 11:45:13 ]
oryjen
Dans la plupart de ces romans, on a la sensation dans la première partie du livre (qui peut parfois aller plus loin que les trois quarts) de lire quelque chose que l'on ne comprend pas précisément (car il ne décrit que les actes, très rarement les gens, ou alors en leur donnant la parole sans fard et qu'on se débrouille avec ça!) tout en sachant parfaitement qu'il s'agit de quelque chose de VRAI. Ca m'a toujours profondément impressionné, parce que ça me semble correspondre parfaitement avec le sentiment global que notre agitation distille au fil des jours... Et quand la chose se résout, et quand on voit enfin à quoi s'applique ce VRAI si magnifiquement transcrit, ça produit un effet renversant.
Tu pourrais lire ensuite Lumière d'Août, Pylône, ou Les Palmiers sauvages.
La trilogie Le Domaine-Le Hameau-La Ville représente quelque chose de monumental, non pas en terme de nombre de pages, mais pour la tentative qu'il y fait de résumer une fois pour toutes en "le si peu de choses" qu'elle est peut-être, proche du rien, toute trajectoire humaine. Pour cette raison, il recourt souvent à de longues ellipses qui paraîtraient sûrement assommantes à un lecteur insuffisamment familiarisé au style et surtout au propos de l'auteur. Je pense qu'à la trentaine, si j'avais essayé de commencer par celui-ci, je n'aurais pas poursuivi tout l'oeuvre du bonhomme.
Enfin, l'incontournable Requiem pour une Nonne, sous forme à moitié théâtrale, est un condensé difficile, d'une densité extrême, de tout le reste. L'égal d'Homère à mon avis.
Place où tu veux Le Bruit et la Fureur, l'un des plus déroutants, mais pas au début!
Notons enfin l'un des attraits les plus mystérieux de ces textes: A part les oeuvres de jeunesse, ils sont tous plus ou moins connectés par des passerelles, des allusions plus ou moins appuyées, et peuvent être compris comme une seule et même histoire se déroulant à l'échelle d'un Comté US au travers des époques... Certains personnages vont et viennent d'une histoire à l'autre, comme des ombres. Certaines sont obscurcissantes.
On peut lire par curiosité des romans plus précoces, comme Monnaie de Singe ou Parabole, de forme beaucoup moins aboutie, où les thèmes de toute une vie ne sont encore qu'en gestation.
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L'artiste entrouvre une fenêtre sur le réel; le "réaliste pragmatique" s'éclaire donc avec une vessie.
[ Dernière édition du message le 15/02/2014 à 10:48:54 ]
Anonyme
Dr Pouet
Mon plan est de vérifier si j’accroche bien, avec Tandis que j'agonise ; puis si c'est le cas je prendrai sûrement la version pléiade : j'aime le format poche, et aussi la quantité de pages et exhaustivité que ça offre.
Anonyme
Fernando Pessoa
Anonyme

Port d'Anvers peu après la première guerre mondiale. Le narrateur, marin américain, profite de l'arrêt dans le port pour passer la soirée en ville. Après une nuit arrosée et en bonne compagnie il court regagner son navire au petit matin. Malheureusement pour lui il est parti sans l'attendre. Il n'a ni papier, ni argent. Comment désormais regagner sa chère Nouvelle-Orléans?
A l'opposé des ambiances flottantes de Yoko Ogawa voilà une histoire très incarnées, avec une réflexion sur l'exploitation de l'homme par l'homme.
Plongée au coeur d'exploités qui souffrent de faim, de fatigue, de blessure etc etc...mais sans misérabilisme niais car l'humour n'est pas absent, loin de là. Chaque page a son bon mot ou plus, avec un sens de la formule imparable qui fait la part belle au cynisme.
J'aurais aimé qu'un film en fût tiré, un film du Hollywood en noir et blanc avec Mitchum ou Bogart dans le rôle principal.
La traduction de l'allemand par Philippe Jaccottet est probablement réussie car le ton est captivant. D'après mes références j'ai souvent pensé à Céline par certains aspects (le langage parlé et une forme de cynisme pas dénuée d'humour) et à Cavanna pour le style direct de la narration.
Bref, de bons moments de lecture pour ce livre acheté d'occasion en me fiant uniquement à l'instinct stimulé par la seule couverture du livre, fort belle.
Le livre se résume en un paragraphe de la page 12
"Adieu la romantique vie en mer.
Romantique, d'ailleurs, notre vie ne l'a jamais été, selon moi, sinon dans l'imagination des littérateurs; et leurs histoires à dormir debout n'ont réussi qu'à jeter de braves gars, qui eurent le seul tort de croire naïvement ces auteurs véridiques, dans un milieu et dans une existence pour lesquels ils n'étaient pas faits.
Possible qu'il y ait eu, jadis, quelque romantisme dans la vie de capitaine ou de pilote; mais dans celle du matelot, jamais.
Son romantisme, à lui, c'est de travailler comme un nègre* et d'être traité comme un chien. Les ballades, les romans, les opéras chantent les pilotes et les capitaines; si l'épopée du travailleur n'a jamais été écrite, c'est quelle eût déchiré les oreilles de ces messieurs. Yes, sir. "
* le roman date de 1926, ce qui explique l'usage de ce nom.
L'auteur est un étrange gugusse. Jugez-en par vous même:
https://fr.wikipedia.org/wiki/B._Traven
[ Dernière édition du message le 16/02/2014 à 20:56:39 ]
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