Les conneries. publiques !
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Hit !

Fan assidu des rubriques "les conneries on stage" et autres "en home-studio", j'ai pu remarquer cependant qu'il n'éxiste pas de topic dédié aux anecdotes familiales ou amicales que le destin nous avait pourtant réservées.
Il en est pourtant de croustillantes, et qui divertiront + d'un musicien souhaitant faire... un break.
A cet effet, je propose donc que nous racontions ici toutes nos histoires sans rapport direct avec la musique (genre conneries lors du baptème du petit dernier etc).
A vos marques... Feu !

DMDone


hi hi hi.


Will Zégal

Quand t'auras traduit en français, je comprendrai peut-être ce qu'il y a de drôle.


Heldon jazzyTron

La vie, c'est comme un train de montagne

totalaccroc

à proximité de chez moi un centre pour handicapé , en face leurs ateliers protégés ( leur boulot quoi ;) )
pour les faire traverser un feu rouge pour pieton mais , dés qu't'appuies il passe au rouge ( j'en savais rien moi !!)
là j'me dis tiens si j'apuies il se passe quoi?? ben une beheme qui freine sec et une fiat uno qui vient bien gentillement lui defoncer l'arriere train, sur ce ,logan , lui il a pris son velo et il a pedalé le plus qu'il a pu !!! quand aux 2 voitures , je les ai plus jamais revue

allez je


Hit !

On est quadra aujourd'hui, il en avait donc 16 ou 17 au moment des faits.
Début des années '80. Pour mémoire : pas d'internet. Ni même d'ordis à la maison. Epoque bénie.
Pour les trucs un peu roses, le minitel sévissait à plein tubes.
C'était à grands coups de "3615 contacte-moi-chéri" et de "3615 Rendez-vous" que ça se passait, exclusivement.
Il y avait aussi des numéros voisins sur lesquels des nanas vous racontaient leurs prétendues sportives exhibitions.
C'est l'un de ces numéros qu'il avait composé depuis l'appartement familial.
Mais, en vue de ne pas se faire éventuellement repérer par ses parents à cause de factures trop salées -ses parents étaient certes de vrais moulins à parole, et n'avaient pas fait la demande du détail (alors payant) des communications, mais bon...- il avait cette technique d'enregistrer en leur absence des petits bouts de ces précieux récits sur une cassette, au moyen d'un microphone qu'il plaçait sur l'ampli du téléphone, et qu'il enregistrait donc directement via l'ampli "hi-fi" familial.
Il pouvait ainsi, d'enregistrement en enregistrement, se ré-écouter les bandes (bah vii...) aux voix suaves sans trop se soucier du coût des communications (sur-taxées bien évidemment).
Fort bien.
Tard un soir, lors d'un week-end d'absence de ses parents, il s'adonna évidemment à son exercice favori et, comme d'habitude, plaça son micro sur l'ampli du téléphone, ouvrit la chaîne, plaça sa cassette dans l'appareil et ses casques sur les oreilles, régla le son fort comme à son habitude et débuta dans sa coupable débauche...
"Cinq à dix minutes d'apaisement plein", me confia-t-il...
Jusqu'à ce que ses voisins directs viennent interrompre le bien solitaire exercice, en tambourinant sur la porte (leur sonnette n'a jamais fonctionné). Si fort qu'il les entendit frapper à travers le casque, un boucan à réveiller l'ensemble de l'immeuble (l'alcool ayant "aidé" un peu, il prenait ça au début pour des bruits de fond !...).
Vite ! rengainons, vite, un peignoir... Il ôte son casque et s'aperçoit à cet instant qu'il avait complètement oublié de couper le son de l'ampli hi-fi : le récit érotique était toujours en train certes de s'enregistrer, mais surtout aussi d'être diffusé à bonne puissance sur les enceintes à proximité non seulement du mur mince mais aussi des fenêtres ouvertes du premier étage !... ce qui empêchait les voisins de trouver le sommeil !
Par le fait que la pièce où se trouvait le téléphone était séparée par une cloison du salon familial -où était la chaîne-, le larsen n'avait, lui, aucune chance d'intervenir...
Jamais il n'y eut de suite à l'histoire.
Ni du voisinage, ni des parents...

-W- aka ian wallace

on me l'a tellement contée, quelle est gravée en moi...
je devais avoir 4 ou 5 ans, je tronais fierement sur les epaules de mon père, et nous allions en famille, en cette belle journée dominicale, faire le tour de l'absolument-méconnue-et-on-se-demande-pas-pourquoi "Foire au biquet" de Louestault(37)
Hors sujet : la specialité etant toutes sortes de specialités culinaires d'un gout douteux du fait de la preparation en grandes quantités, le tout à base de chevreau (mort)
nous voici dans les méandres des rues du bledicule paumissimme engorgées de populasse avide de pacotilles...
quand soudain mon père (qui n'était pas avare d'une galejade en pareilles circonstances) lança un "Tiens là-bas y'a les poulets!" en apercevant à 20m devant nous une brochette de représentants de l'ordre des campagnes (des gendarmes quoi)... ce qui me plongea dans une grande perplexité...
Arrivés à leur hauteur, toujours aussi sceptique quant à la remarque de mon père, et afin de rassurer toute la famille je dis :" non c'est pas des cocottes, c'est des monsieurs!"....
les gendarmes n'ont pu retenir leurs rires... mes parents n'étaient pas plus à l'aise que ça...

Hit !

Comme je vous l'ai déjà raconté, j'ai passé mon enfance en Belgique.
Et en Belgique, un journal s'appelle... un journal. Pas un canard.
Aussi, un jour que je vins manger dans la famille en France, avais-je entendu dans la matinée la maîtresse de maison demander à son époux allant avec moi "au pain" (?!) : "Georges, n'oublie pas de ramener le canard" !...
Vous devinez la suite : j'étais insupportable sur le chemin du retour : je n'en démordais pas : "Si, je t'assure : Denise a demandé que tu ramènes un canard"... Le brave homme savait pourtant que rôtissait déjà autre chose dans la cuisine, et qu'il était rigoureusement impossible que sa femme lui eût fait pareille demande.
Il a fallu me menacer d'une sévère baffe pour me faire taire, tant j'étais absolument certain de ce que j'annonçai...
Je me souviens qu'au retour ils s'interrogèrent longuement, mais sans trouver l'origine de "ma" crise...
Ce n'est que bien plus tard, un jour où par mégarde ils se dirent anodinement : "t'as lu le canard ?..." que ça leur fit enfin "tilt" dans leur 'tite tête...

pulvonium

Lors de vacances outre-Quiévrain, une épicière avait plongé ma mère venue au ravitaillement dans des abîmes de perplexité en lui disant : "Tu me rapporteras les vidanges".



...eh ben en Belgique, c'est les bouteilles vides


Hit !

Tout commes les chicons (= les endives); les casseroles qui sont des poèles ou des poêlons et réciproquement, les torchons qui deviennent des serviettes, des serpillères des "wassingues", les Bulex qui sont (une marque de) des chauffe-eau -mon dico ne me dit pas comment l'écrire au pluriel !-comme les "Mobylette(s)" françaises sont, elles aussi, une marque de motocyclettes ( anciennement "pétrolettes" ), et ainsi de suite.
Parmi les célèbres et constants décalages belges et français qui me font souvent rire, il y a le coup magistralement classique de :
B : "Venez diner samedi à la maison"
F : "OK, à quelle heure ?"
B : "Euh; allez; venez vers 11 heures pour l'apéritif "
F : "

B : "

Bah évidemment; en Belgique -tout comme au Québec, du reste- le "diner" est le repas de midi. Le soir, c'est le "souper"...
Autre anecdote croustillante :
Un jour, à la frontière -avec le Georges dont je parlai tantôt (= tout à l'heure) pour l'histoire du "canard"-, le douanier lui demande de réciter par coeur sa plaque minéralogique -un véhicule du genre ayant été volé, c'était un "truc" pour vérifier à la va-vite : si le conducteur n'hésitait pas une seconde, on le laissait souvent passer sans autre forme de contrôle les jours d'affluence.
Le Georges en question, je m'en souviens 35 ans plus tard, répond sans broncher au douanier son "numéro" de plaque : "3010 FA 59".
Mais, pour "3010" il prononce distinctement "30-10", afin d'éviter de dire "Trois mille dix", qui est, de fait, un peu + confus...
Le douanier (belge) : "Comment, ça "30-10" vous voulez dire "40" ?...
Georges : "

70 = septante: 90 = nonante.
Certains anciens, et en Suisse aussi, prononcent encore "octante" pour 80.
Ce qui est ma foi, beaucoup + logique que "quatre vingts" !
Hors sujet : N'oublions pas qu'avec raison, de la même façon les mois de Septembre, Octobre, Novembre et Décembre étaient autrefois respectivement les 7,8,9 et 10ème mois de l'année.
Et non pas comme aujourd'hui les 9,10,11 et 12 ème...
Mais la logique, de nos jours...
Wouaf !

Anonyme


Heldon jazzyTron

La vie, c'est comme un train de montagne

Hit !

Hors sujet : Bah vii... Même que c'est ma formation d'origine.
"Tenez-vous" bien, dirait-on donc des deux côtés de l'ex-frontière.
Bon, les gars, on revient aux anedotes ?...

Maara

Hors sujet : Bien que c'est suite a une connerie publique, je le met hs, il y en a qui pourrait mal le prendre chut, faut pas réveiller!...
Heldon, gros
...my hero!

Hit !

Hors sujet : ... euh... les gars mais les filles aussi ?
Allez; anecdotes...
Allez; svp...

greg lefonctionnaire


Je suis Charlie

Hit !




jamjay


Hit !

Hors sujet : Pas du tout :
Citation : Une fois au leclerc, la caissière a oublié de me compter un paquet de nouilles...
Citation : Moi, c'est la fille de mon prof -Mr Leclère- qui m'a pris pour une nouille... et est devenue caissière.
Hors sujet : Il n'y donc a pas de lien direct : ce n'était -a priori- pas la même.

greg lefonctionnaire

Mais moi c'était juste pour uper...

Je suis Charlie

Hit !

Hors sujet : Moi, c'était pour répondre à jamjay.
En ré-invitant chacun à citer ses anecdotes... sinon à poster en orange...

tchoyy

Citation : Une fois au leclerc, la caissière a oublié de me compter un paquet de nouilles...
Moi c'était à monoprix, la caissière avait oublié de me compter un paquet de smacks


tchoyy


ad lib


ibraz

deux jours avant le départ pour biarritz elle utilise la petite toyota yaris pour aller en ville, résultat, le portail est partiellement repeint en rouge et la voiture en blanc du coté droit...
le lendemain de l'arrivée a biarritz, retour de la plage avec la même copine, elle serrea droite pour éviter un gars qui nous arrivait dessus dans un virage, manque de bol, un petit muret était caché par l'herbe dans le bas coté...
une jante cassée, un pneu explosé...
la mère change les deux pneus avant et la jante...
le lendemain en allant chercher le chien a 1.5 km de la maison, chez des voisins, elle crève et rentre sur la jante... résultat, un pneu arrière mort donc les deux a changer...
retour de biarritz, elle pert un cache d'essuie glace...
tout ça en une semaine toujours du coté droit...

a.k.a


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