Les conneries. publiques !
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Hit !
Fan assidu des rubriques "les conneries on stage" et autres "en home-studio", j'ai pu remarquer cependant qu'il n'éxiste pas de topic dédié aux anecdotes familiales ou amicales que le destin nous avait pourtant réservées.
Il en est pourtant de croustillantes, et qui divertiront + d'un musicien souhaitant faire... un break.
A cet effet, je propose donc que nous racontions ici toutes nos histoires sans rapport direct avec la musique (genre conneries lors du baptème du petit dernier etc).
A vos marques... Feu !
tkc_toub
le personnel est organisé en equipes ,qui n'oublient pas de jouer des tours aux débutants....
Le voila donc qui organise une blague pour le derniers " candide" venu!
L'équipe décide de se relayer pendant deux semaines , un part un , et de venir avec du materiel de peche et un poisson bien frais.
Ensuite chacun leur tour ils font semblant de pecher dans les bassins d'eau de l'usine ( prévu pour les pompiers ...) et exibent ensuite leur peche "miraculeusent" devant le nouveau.
passe une semaine ... le nouveau mord pas.
le mercredi d'apres le voila qui arrive avec des caisse et un drole d'attirail... de peche!
Et il s'installe au bord du bassin en disant " ya pas de raisons que j'en profite pas moi aussi! ".
une autre avec le meme candide, dans la meme raffinerie :
daniel lance a la cantonnade lors de la pose café : et les gars si on se fesait un barbecue vendredi pendant la pose ? les colegues ( prévenus) ouais bonne idée moi je prend les merguez , tiens mois je prend l'anis ....Etc
daniel n'oublie pas de dire au bleu : va prevenir le chef qu'on l'invite a un barbac vendredi a l'heure de la pose!
le bleu s'en va au bureau du chef:
chef on fait un barbecue vendredi ya tout de prévu , marcel prend les merguez , dani l'apero ...
le chef : un barbecue dans une raffinerie de pétrole
j'en garde pour la semaine prochaine ..
miles1981
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Hit !
Hors sujet : Revenons-en donc vite aux anecdotes vécues et conneries.publiques, please !
Je sais : c'est un peu frustrant, mais on a vu dans plein d'autres sujets que les commentaires ont tôt fait de polluer, à force de slalomer...
Soyez gentils, si vraiment vous ne pouvez pas vous retenir, de mettre juste un mot alors, et toujours en "hors-sujet".
Permettez-moi de profiter néanmoins de cet aparté (bah vii... vu qu'c'est c'est moi que j'suis l'chef des conneries.publiques, alors !...) pour saluer et remercier tout le monde, tant pour la bonne tenue et la clarté de ce forum, qui m'a fait -et je ne suis pas le seul !- éclater de rire à bien des reprises...
Continuons...
S'lut...
pulvonium
Je suis trop jeune pour l'avoir vécu. Mais à la grande époque des hôpitaux psychiatriques, ces établissement immenses étaient divisés en pavillons numérotés. Y avait des pavillons pour femmes et d'autres pour hommes.
Et quand un nouveau soignant arrivait, on lui donnait une liste de pavillons dans lesquels il devait se rendre avec mission de ramener un urinal...
...et évidemment, on lui donnait que des numéros de pavillon de femmes A chaque pavillon, il y avait une bonne âme pour lui indiquer les réserves en matériel où le bleu cherchait désespérément cet objet bien inutile en un tel lieu...
Le mec passait sa première journée en vaines recherches, et rentrait le soir bredouille...
Hit !
Dans la boutique (mécanique) d'un ami, (laquelle comptait une quarantaine de personnes aux moments de l'emploi), un téléphone avait été placé dans l'atelier, afin qu'en cas d'absence du paton et du chef, l'un ou l'autre ouvrier puisse répondre néanmoins aux appels des clients sans salir ni le fauteuil ni le combiné des gradés...
Une fois le patron parti en rendez-vous et en l'absence du chef (ce qui arrivait plusieurs fois dans l'année), la blague au petit-nouveau consistait en ce qu'un ouvrier -spécialisé peu à peu en canulars- appelle discrètement (d'une ligne interne du bureau), mission ayant été préalablement confiée au newbie de décrocher en cas d'appel...
Bah vii, vu que c'était évidemment lui qui était le + près de la sonnette, hein, et donc implicitement le + idéalement placé pour décrocher, hein...
La sonnette ne se privant fort évidemment pas de retentir, le spectacle en entier pouvait commencer...
Les blagues étaient très variables : avec maints subterfuges (trop longs à décrire), le gars qui "appelait" se présentait avec habitude et sans la moindre équivoque comme l'amant du patron, lui confirmant je ne sais quel rendez-vous galant le 12 (évidemment, les anciens regardaient l'agenda du patron pour que, ultérieurement, ça puisse coller!).
A un autre nouveau, on demandait de surtout confirmer à Marcel (le patron, donc), que toute la cargaison de je ne sais quel whisky dérobé était bien arrivée à destination, qu'il n'avait plus à s'inquiéter de rien...
Le pauvre gamin -ça embauchait jeune (je dis ceci avec autant d'admiration que de regret)- avait beau tenter de se débattre au téléphone : "Euh... monsieur, vous faites erreur : je ne suis pas Edmond, je suis nouveau et..." l'autre l'interrompait d'un ton convenu, style : "oui, ça va, tu me l'as déjà faite celle-là, elle est bien bonne, mais je t'ai reconnu. Bon; surtout n'oublie pas de bien lui dire, hein ! Salut". Pouf. Raccroché.
Le pauvre ch'ti nouveau, se croyant dans une confidence innomable, passait l'après-midi tout contrit de telles nouvelles concernant son boss ( une telle histoire est parfaitement impensable de nos jours, où l'on aurait tôt fait d'alerter tout le monde pour "rire" ), se trouvant au surcroit transi de honte d'avoir à annoncer sa commission au patron...
Imaginez l'ambiance dans l'atelier en le regardant, tous les gars étant dans la combine...
Au retour du patron, la joie était au total du comble : imaginez le jeune escalader les escaliers et aller raconter son message au fameux Marcel (qu'on voyait, de l'atelier), lequel Marcel tombait -forcément- des nues...
Ce genre de manège a duré des années.
Le patron avait fini non seulement par comprendre que c'était toujours un débutant qui lui annonçait des trucs impensables, mais, plus fort : pas si con, il avait fini par... entrer dans le jeu de ses gars !
Belle fraternité.
Je sais que dans quelques temps on dira de ce genre de récit qu'il est has-been (terme d'apparence indémodable), et que c'est pas bien, mais alors pas bien du tout, sortant les épouvantails possibles du bizutage -lequel EST condamnable-...
Bof...
Plein de gens -en ce compris la "victime"- en faisaient des gorges chaudes aux réveillons et, tenez : moi qui suis juste à l'âge d'entre jeune et vieux, je regrette presque autant qu'eux cette époque... que je n'ai pas connue. Je n'en retiens que leurs rires.
S'lut !
greg lefonctionnaire
Un petit coup de piston bienvenu qui a fait que je m'y rendis un peu plus confiant...Sauf que le patron une fois dans son bureau me dit: "non je ne connais pas, vous avez du vous tromper jeune homme..."
Voilà, la blague...C'est nulle et évidemment il bluffait...
J'ai pas eu le job tellement il m'a déstabilisé...
Je suis Charlie
Hit !
Hors sujet : On compatit, Greg; mais de grâce : vite une hitoire drôle !!! Viiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiite !
greg lefonctionnaire
ça c'est marrand, c'est un collègue qui arrivait avec son bahut, je lui ai fait un grand signe pour lui indiquer de viser l'entrée la plus à gauche, il a donné un coup de volant, et s'est encastré dans le portic de l'entrée...
Je suis Charlie
Jr0001
Hors sujet : Je sais pas si je suis le seul mais je vois pas l'image ...:oups:
greg lefonctionnaire
Hors sujet : ah ben c'est encore une de mes conneries...
Je suis Charlie
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