Sujet Présentation d'un nouvel arrivant
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SuperEnX
Je n'ai as trouvé d'espace reservé à la présentation de nouveaux membres (cela dit, c'n'est peut etre pas necessaire), donc j'me suis permis de poster mon premier post ici, pour me présenter.
Donc voila bonjour à tous, comme la plupart d'entre vous, je suis musicien (guitariste/batteur) dans le val de marne, et je commence a m'interesser de très pres à la MAO. Il etait normal pour moi de m'inscrire dans ce forum pour en apprendre plus.
voila voila, au plaisir de vous reparler...
Anonyme
Jules Joffrin
Jules Joffrin
Anonyme
Citation : A voir la mort, voyez la mort
Les cloches sonnent, les cloches sonnent sans raison
L'artifice vain pour qu'aujourd'hui les cloches sonnent
Et la mort sonne pour l'écorché
L'étoile mauvaise est née, hier une étoile s'est tue
Dans la douleur des autres,
Aujourd'hui les autres, hier une étoile s'est tue
Hier fut la douleur des autres
Hier le sang, hier le souffle noir
Hier le vent et la cape drapant le mal-être
C'était hier l'espoir
Hier le savoir semblait fier, hier au soir,
Hier il trébucha
Hier l'acteur pleurait, hier rien
Puisque le sang se chargera de ça
Hier,
Vengeance et pleurs, hier
L'amour confus, lances et poison
Le prince est mort hier et les cloches sonnent,
Les cloches sonnent sans raison
Le traître et la traînée, sur leur trône de verre…
Savourez l'œil pâle!
Le traître gît maintenant, et la reine,
Dans un bleu sale, vomit l'instant
Le cortège en draps funèbres, suivra la lune morte,
Le cortège des corps morts, en armure,
Sous les éclats de la Lune,
Rendront la nuit plus morne encore…
Ils sauront qu'ils ne peuvent rien,
Ils seront fantômes de plus, atomes de bien,
Traqués par le sang, dont s'abreuve l'homme,
Pour vivre en paix avec les siens
Ils saliront l'espoir, ils étoufferont les rêves,
Fantômes cyniques, ils ont trahi l'espoir,
Hier les fantômes se sont tus pour une nouvelle histoire,
Hier…
L'outrage a payé d'une lame tranchante,
La cage s'est fêlée, l'âme moins savante, obscure,
Dans la prison des dieux, la rage fut égorgée d'une lame tranchante
Vaincu par sa condition,
Le prince-silence face aux questions
Malheur de voir, malheur d'aimer,
Malheur à ceux qui braquent les rêves en perdition
Malheur aux princes, honneur aux cœurs lassés
Honneur à ceux qui se perdent…
Malheur à vous, fils angoissés
C'est l'histoire de ceux qui se perdent,
Hier, vengeance et pleurs
Hier, l'amour confus, lances et poison
Le prince est mort hier,
Et les cloches sonnent
Les cloches sonnent
Sans raison…
SI ça c'est pas du lyrics !!!
Citation : Fait gaffe je suis pas sur que tu ai le niveau, julos peut être un sacré adversaire sur ce terrain
Le terrain du débat d'arguments ?
Citation : Mais ce qui me gêne dans le rap, c'est que les types font de leur paroles leur force, c'est d'ailleurs souvent loué par les critiques, mais ça ne répond en rien à mes exigences.
Citation :
Arf en général, j'ai tendance à penser que les paroles de chansons, c'est souvent merdique. à quelques exception près.
Bah moij'vis pour l'exception, et sinon je ne suis pas du tout d'accord avec toi. Les paroles de la chanson française du 20ème siècle contiennent des bijoux de textes par dizaines de dizaines.
Moi ce qui me fait réagir c'est surtout le coup de "les paroles de ça c'est de lamerd". Même pas "en général", même pas "le plus souvent", même pas "à ma connaissance". L'autre truc qui me fait réagir c'est que je suis un peu con,
mais là y'a pas débat ! : )
Anonyme
Citation : A:
Le temps met tout à l ‘épreuve, même les plus belles choses ne peuvent demeurer intactes, neuves, la vie nous expose, aux changements, aux métamorphoses, les exemples pleuvent, torturent ma prose par la violence des preuves. On s’est dit potes et on s’déchire, un direct du droit escorte mes dires. L’écriture comme exutoire nous préserve tous les deux du pire, l’affectif dans l’histoire en souligne la tragédie. T’as mis à mal le mot « ami » ta trahison t’enlaidit, civilisé j’lutte, j’ai en moi un fauve à faire taire, j’salive sur la langue de pute j’en perds mes repères. L’amitié c’est de l’amour sans le cul m’a dit un vrai frère, l’amour est mort, mais sens-tu seulement que je t’enterre ?
B:
Affection et déception sont des sentiments voisins, est ce que je sais de moins en moins reconnaître un mec honnête et sans vice quand j’en croise un ? Mais le temps fait tomber trop de têtes, mes craintes grandissent à chaque écart et mes dents crissent à chaque coup d’frein à main. Les routes se séparent, les espoirs ralentissent quand certains brandissent convoitise et dédain. Blessé d’voir que plus mes répertoires grandissent moins j’ai d’égards pour mon prochain, si vite les évenements glissent faudrait pas qu’cette histoire finisse à Cochin. J’me replie sur moi-même, du feu j’ai passé l’baptême, c’est plus un jeu y’en a si peu qui puissent tenir tête à mon barême que leur grandeur à mes yeux déclasse sans peine les mille feux des diadèmes, j’suis assez vieux pour voir dans l’cœur de quelqu’un et savoir pourquoi j’l’aime.
REFRAIN :
On versifie nos désaccords et nos malentendus / Nos dissensions ne sont que des métaphores du jeu du pendu / On splitte, vire à babord dès qu’on s’entend plus / L’évolution d’nos rapports a rompu les accords qu’on avait conclu:/ Faire l’deuil de c’qui est mort, sous nos yeux pas d’rivière en crue / Au fil du temps l’ambiance dans l’air s’est tendue / Amitiés déchues, on rime encore sur l’thème puis n’en parlons plus / Maintenant qu’on a l'mords l’amitié s’évapore dans des sous-entendus
A:
A s’perdre dans des projets communs on s’entre-dévore, reproche à l’autre de pas faire l’effort. Tensions, l’ton monte, rarement d’accord pour le partage des torts, la précarité d’nos existences empoisonne nos rapports.
B:
Entre potes on s’aime autant qu’on s’déteste, les égos s’entrechoquent mais pourtant qu’est ce qu’on s’est pris des vestes. On révait d’être une bande de choc et d’vendre le stock gravé sur la voûte céleste, mais tout ce qu’on a gagné c’est d’être condamnés à claper les restes.
A:
Moments d’magie entre compères, du Lundi au dimanche, j’ai la nostalgie des concerts où on étaient plein sur les planches. Du gâchis, c’est ce que m’évoque hier, on a scié la branche sur laquelle on était assis. On reprend les paroles que l’autre scande puis l’malaise s’déclare, on fait un bout d’route ensemble puis les chemins se séparent. J’dépoussière d’vieilles histoires ça me fait presque sourire, j’laisse dormir les morts pour pas ternir le souvenir.
B:
Même si les illusions doivent tomber, les discussions, les correspondances ne sont qu’des SOS qu’on lance au delà des promesses et des convenances y’a des gouffres d’appréhension à combler, Dieu sait c’qu’on danse, pourtant y’a pas à tomber, le long des années on souffre et la tendresse compense, parfois la foi a sombré, on s’bouffe pour pas affronter c’qu’on pense quand on doit fonder un toit et une descendance selon un choix sur lequel on peut pas compter, j’veux pas d’bonté ni de condescendance.
REFRAIN
Number-6
Anonyme
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