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Stress, pression, culpabilité, perdition : pas facile de faire avec... Et vous ?

  • 2 425 réponses
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Sujet de la discussion Stress, pression, culpabilité, perdition : pas facile de faire avec... Et vous ?
Un petit topic thérapie de plus...

Je ne sais pas trop pour vous mais moi dans mon boulot j'ai beaucoup de stress et de pression, à tel point que parfois je culpabilise, et quand ça arrive trop souvent, je me sens impuissant, perdu face à l'avenir immédiat, mes missions, même ma vie privée.

Ca vous arrive ? Quand ? Comment ? Vous faites quoi ?

En général, pour ma part il s'agit souvent de stress de l'inconnu : la peur du risque que l'on prend en allant sur un terrain pas toujours maîtrisé ou alors le stress de ne pas pouvoir avancer fautes de retours ou d'infos manquantes que d'autres sont sensés nous fournir, ou encore le manque de directives précises de la part de mon boss...

La pression, elle, c'est plutôt quand on me donne trop de responsabilité, je la gère mieux maintenant, avec l'expérience.

La culpabilité, elle, vient parce que je suis un peu trop "honnête", du coup même après avoir fait mes 35h + des heures supp dont je ne verrai jamais la couleur, je me retrouve le soir à la maison à me dire des trucs du genre : "j'aurais pu faire encore ça aujourd'hui, je pourrais commencer plus tôt demain, etc." et je n'arrive plus à sortir du taff, à me faire plaisir en faisant un truc qui me plait, à glander un peu, etc.

Dans certains moment tout ça se cumule avec une intensité assez perturbante et je passe des moments assez difficiles, par exemple depuis 2 semaines j'en chie à donf, ça m'obsède et je ne fais plus rien, on me croirait en dépression...

Bien sûr tout ça joue sur l'humeur, le couple, et tout...
Problème supplémentaire : dans mon boulot, mes collègues et patrons sont tous des amis donc je n'arrive pas à leur en parler de peur que ça leur en rajoute ou qu'ils me sous-estiment, ce genre de truc...

Et vous alors ?

Tant qu'il y aura des couilles en or, il y aura des lames en acier

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441
Je me verrais bien mécano, si j'arrive à mettre des pépettes de côté et à pas les claquer dans une Jag', et faire un apprentissage ou un truc dans le genre.

Mais je préfère attendre encore quelques années, histoire de profiter de mon job actuel et d'apprendre dans ce domaine, ça sera toujours cool d'avoir cette expérience.



Mais je suis aigri quand même.

L'appétit vient en mangeant ; la réforme, c'est pas sorcier ; le campement léger en plein air, non. Cupidon

442
c'est quoi ton running gag sur l"aigritude", Tihouss?

Tu veux en parler?

:argue:

 

 

443
C'est pas un running gag ! Je le dis partout comme un disclaimer, pour pas que les gens se vexent. Ca va passer.

L'appétit vient en mangeant ; la réforme, c'est pas sorcier ; le campement léger en plein air, non. Cupidon

444

3 ans que je veux changer de taf, trop de routine, pas de vision d'évolution possible dans une petite boîte, sentiment d'être sous-exploité, paye pas médiocre mais pas top, secteur que je souhaiterais quitter (industries mécanique) vu la direction que ça prend dans le pays.

Le plus dur : me dire que plus ça traîne, plus ça m'handicape vu que c'est une expérience difficile à vendre ailleurs. Javé pourtant repassé un diplôme (que je considère  comme très valorisant) pour élargir mes compétences, ça n'a pas porté ses fruits jusque là. La loose, bordel mais j'aurais donc fait QUE des mauvais choix ! Si je pouvais revenir 10 ans en arrière, je n'abandonnerais pas mes études en licence.

 

Mais il y a des raisons de garder espoir : samedi j'ai envoyé une candidature pour un truc très différent de mon secteur (conception de matériel médical), j'en attendais rien et finalement l'ensemble de mon CV a visiblement tapé dans l'oeil. J'y croyais plus à ce genre de nouvelle. Rien n'est fait mais ça fait quand même plaisir. Entretien jeudi 29 mars. On se renseigne bien sur la boîte et on prépare ses questions et réponses en attendant.

Et s'il le faut j'emploierai de moyens légos !

445
:bravo:

 

 

446
Bon courage !! :D:

L'appétit vient en mangeant ; la réforme, c'est pas sorcier ; le campement léger en plein air, non. Cupidon

447
Simple curiosité, c'est quoi ton métier karloguan ?

La prononciation, c'est important !

448
Citation de tihouss :
Je me verrais bien mécano


si c'est ce que tu as vraiment envie de faire, fonce.
mais ne rêve pas, tu ne verras quasi jamais d'anciennes et tu seras payé au lance pierre pour passer tes journées la gueule dans la merde.
mais bon moi j'adore, je l'ai choisi alors que je pouvais faire plein d'autres choses.
449
Justement j'attends de rentrer dans le "dur" avec ma voiture pour voir comment je me débrouille, et je préfère apprendre par moi-même d'abord pour faciliter l'éventuelle reconversion après.
Par contre, si je fais effectivement mécano, ça serait chez un spécialiste d'anciennes si possible. Je sais que ça signifie galérer à trouver, mais en attendant des jobs d'ingé en bâtiment c'est pas trop compliqué à trouver donc j'ai tout mon temps.

L'appétit vient en mangeant ; la réforme, c'est pas sorcier ; le campement léger en plein air, non. Cupidon

450
je veux pas casser ton rève mais un job chez un spécialiste en ancienne c'est déjà pas facile à trouver et encore moins quand t'es jeune diplômé. faut de l'expérience!

de plus les formations de mécano actuelles ne forment absolument pas à la mécanique ancienne (c'est une spécialité je crois). moi j'ai eu la chance d'apprendre la mécanique à l'ancienne, je suis un des seuls à mon boulot (avec deux trois vieux) à savoir régler un allumage et un carbu avec deux fois rien, mais les jeunes que je vois arriver savent à peine ce que c'est.

dans ton cas je garderai mon taf en rapport avec mes études et garderai la méca ancienne en passion. parce que quand t'as passé la semaine les mains dans la graisse, même si t'es passionné, le week-end au bout d'un moment t'as envie de faire autre chose.
après, je suis pas à ta place non plus.:bravo: