Quelles series tv regardez-vous?
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ferdinand
ne me dites pas Derrick ou les routiers , je connais dejà
Quant aux "aventures du jeune Patrick Paccard" , j'en suis dejà un fin connaisseur
Dans un monde réellement renversé, le vrai est un moment du faux. G.Debord.
W-Addict
Anonyme
'Tain, j'ferai pas des posts comme ça tous les jours.
T'inquiète, nous on les lira pas tous les jours.
Los Teignos
DocPlus > Putain, je viens de voir Courtney et je retire tout ce que j'ai dit sur le lifting de Gillian Anderson qui est un chef d'oeuvre à côté. Mais ça n'empêche pas qu'elle a plus la même gueule, et que j'aime voir les acteurs et les actrices vieillir avec leur vraie gueule
Je vais te répondre Head Minerve, mais je mettrai tout en spoil, comme ça personne sera obligé de lire ma logorrhée. Je pense que tout le monde sera content comme ça.
M'en voulez pas les amis, avant de débarquer dans ce thread, je ne connaissais pas le sens de TLDR.
Stan lee's Lucky Man
J'aime bien cette série. Je ne saurais dire vraiment pourquoi. Surement déjà par son acteur principal, James Nesbitt qui m'avait scotché il y a quelques années avec son "jekyll" (le gars incarnait l'alternance entre Jekyll et Hyde uniquement par son jeu d'acteur - et un changement de coupe de cheveux - et ça marchait hyper bien). malgré le titre, c'est pas un truc de super héros. c'est anglais, le scénar est sympa. J'accroche bien. `
Pas du tout la série du siècle dont les spécialistes dissèquerons encore les tenants et aboutissants dans 10 ans, hein, mais c'est cool.
A voir car j'avais vraiment bien aimé Jekyll aussi : il y avait un côté cheap de série qui s'est fait avec trois euros, mais plein de choses bien et surtout un humour british qui pardonnait tout.
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Le GIEC chiffre à 3,3 milliards le nombre de victimes du réchauffement climatique. On en parle ?
[ Dernière édition du message le 11/03/2016 à 20:09:55 ]
Doc Plus
youtou, si tu as vraiment lu, je te trouve très courageux !
Los Teignos, dsl que tu aies dû voir la déchéance de Courtney Cox.
Les photos Before et After d'Internet, c'est généralement du n'importe nawak ... ou comment dire qu'une actrice s'est fait poser des implants, quand le before est une photo d'elle à 14 ans avant que ça pousse, et que l'after une d'elle a 20 ans avec un push up.
Ne me startez pas sur photoshop !
Avertissement: ce message peut contenir des arachides.
Los Teignos
Vues les citations sur Dexter, je comprends le malentendu et c'est de ma faute : j'aurais dû préciser les circonstance. Si j'ai bouffé Dexter en 8 jours, c'est que c'est le seul truc que je pouvais faire à ce moment là. En janvier dernier, j'ai fait des gros vertiges diagnostiqués depuis comme une maladie chronique de l'oreille interne, et comme tout tanguais au moindre mouvement, je me suis retrouvé alité, avec la capacité de concentration d'une moule. Quand l'oreille interne est désorganisée, le cerveau se recalibre peu à peu, grâce à de la rééducation, et c'est réellement épuisant : lire un texte d'une page me demandait 30 minutes de repos après. Un scrolling d'ordinateur était un enfer. Il me fallait donc un truc pour m'occuper et qui ne soit pas trop exigeant intellectuellement. Pas un livre donc, mais pas non plus un film serbo-croate en noir et blanc. Une série, ça pouvait le faire. Comme ça faisait longtemps que des gens me parlaient de Dexter, je l'ai regardé et je n'ai regardé que ça pendant huit jours. Ca m'occupait et ça m'évitait de penser à l'IRM cérébral qui m'attendait aussi pour vérifier qu'aucune tumeur n'était présente (on n'est jamais totalement détendu dans ce genre de perspective). Si je n'avais pas été malade, je n'aurais donc pas consommé la série ainsi. Je ne l'aurais sans doute pas consommé plus de trois ou quatre saisons d'ailleurs.
J'ai donc regardé Dexter avec un vrai plaisir sur les deux premières saisons, parce que l'idée est rigolote, que les personnages sont bien, et que c'est léger, même si, oui, comme l'a fait remarqué quelqu'un d'autres, on y trouve comme dans beaucoup de films américain une justification de la peine de mort : c'est pas grave de tuer des gens quand c'est des méchants, à plus forte raison quand c'est un méchant gentil qui s'en charge. Mais passons là-dessus. Les saisons 3 et 4, le charme de la découverte était déjà parti et effectivement, tu es tenu par l'escalade scénaristique et le 'comment va-t-il faire pour s'en sortir cette fois ?'. Sauf qu'en arrière plan, imperceptiblement, le matériau premier se dégrade et que les scénaristes sont obligé d'aller toujours plus loin pour relancer l'intérêt : le personnage de son père devient du gros n'importe quoi, et tout ce qui faisait l'intérêt de la série, c'est à dire de mettre un psychopathe à principes inculqués au burin au milieu de gens normaux, de s'amuser du décalage et de son double jeu, s'est étiolé petit à petit. Alors que le point commun des tueurs en série est justement de n'avoir aucun empathie, alors que c'était le trait définitoire de Dexter dans les deux premières saisons, on commence à nous le montrer comme un petit coeur qui a des émotions, capable d'altruisme et d'empathie. Et puis on détruit tout ce qu'il y a autour de lui, aussi, pour faire repartir la machine sur du sensationnel comme on mettrait de l'adrénaline dans le coeur d'un overdosé (ce qui arrive à sa soeur au long des 8 saisons est juste du gros nawak, son frère, c'est nawak). Bref, à un moment, la série nie le fondement même sur lequel elle repose. Dans l'état où j'étais, je me suis laissé faire, curieux aussi de voir où ça mènerait, et évidemment, quand on arrive à la saison 7, on se dit qu'on va finir même sans grande envie, pour le simple plaisir de dire : "ça, c'est fait". J'ai lu le dernier tome d'Harry Potter exactement pour la même raison. Et je vois jusqu'au bout des films de Roland Emerich, James Cameron ou Michael Bay encore pour la même raison. Mais je ne te cache pas que j'ai accéléré dans VLC le rythme de lecture de certains épisodes de la saison 8, par pure impatience d'en finir. Comme beaucoup de séries qui ne sont pas scénarisée entièrement à la base, Dexter finit médiocrement, en laissant médiocrement la porte ouverte à une suite. Comme Friends, comme How I met Your Mother, comme Oz, comme Homeland, etc. Contrairement à un Breaking Bad où le mec sait exactement la fin avant même de commencer à tourner l'épisode 1. Et ça se sent, ça se voit. Breaking Bad, pour moi, est une merveille scénaristique et je ne suis pas étonné du tout du retentissement que la série a eu vu la belle machine que c'est.
Je ne comprends pas que tu sois si tranché sur la répétitivité d'un schéma scénaristique alors que tu l'as consommé via Dexter, et sûrement d'autres media. Je ne pense pas comme toi qu'il faut diaboliser la démarche cyclique d'une série (diaboliser dans le sens : fait pour le pognon, signe de mauvaise qualité, etc..., ce que je comprends de ton point de vue donc). Pas systématiquement en tout cas.
Dans le cas Dexter (où l'acteur principal a pas plus de 2 expressions d'ailleurs (sourire embarassé + regard de tueur)), c'est selon moi une qualité : à chaque saison son nouveau défi.
Je te rassure : le côté répétitif ne me gêne pas s'il est annoncé d'entrée de jeu. Un épisode de Columbo, c'est ultra codifié et ça ressemble exactement à un autre épisode de Colombo. Et c'est dans la répétition de ces codes qu'on trouve du plaisir. Même si elle s'étale à l'échelle d'une saison (c'est déjà plus fatiguant), la répétition dans Dexter ne m'aurait donc pas dérangée si le personnage n'était pas devenu ce gros n'importe quoi à mesure que la série progresse. Et si les scénaristes, au lieu d'user de la surenchère et du jeu des poupées russes (derrière un méchant, il y a encore un plus gros méchant) avaient exploré d'autres voies en gardant l'intégrité du personnage, ça changeait tout. Mais en l'état, ils auraient mieux fait d'arrêter à la saison 2, ou alors, soyons larges, à la saison 4. Ca aurait été frustrant, peut-être, mais finalement de cette frustration serait née un qualité de l'oeuvre : celle de ne pas avoir cédé à la facilité de poursuivre coûte que coûte, et de finir usée jusqu'à la corde, avec le sentiment que ce n'était pas une décision de scénariste mais bien une décision de chaîne de télé disant : bon, on arrête parce qu'il n'y a plus personne devant l'écran maintenant et que vous avez lassé le téléespectateur. Ce qu'il y avait de génial dans Bref ? C'est que les mecs l'ont arrêté avant que ça devienne une caricature de Bref. Dexter, à la fin, comme Friends, comme Homeland, était une caricature de Dexter. Et c'est dommage quand ça aurait pu se passer autrement.
Du coup, c'est pour ça que je ne le conseille pas et qu'il n'est pas dans mon Top des séries. Parce que dans l'intégralité, ça s'affaisse complètement, ça ne tient pas la route, et que tout le plaisir qu'on a au début, on le paye en déception ensuite. Ce n'est pas une merde pour moi, du coup, juste un truc sympa et léger foiré sur la longueur.
Après tout les Sopranos font passer la mafia pour un bande de mecs sympas aux valeurs solides, et ça a pas l'air de te déranger sur le plan éthique. L'humour pardonne tout ? Le ton sérieux est à blâmer quand ça implique des idéologies borderline ? Ne peut-il pas y avoir une prise de recul dans les deux approches ? Moi je pense que si.
Là, je ne suis pas du tout d'accord. As-tu vu tous les Sopranos ? En entier ? Parce qu'il ne fait aucun doute, à mesure qu'on progresse, comme dans Breaking Bad avec Walter White, que c'est un monstre entouré de monstres. Il ne se dégage pas de sympathie des personnages : ce sont tous des salopards, amusants parfois parce qu'ils sont ridicules, grotesques, mais certainement pas sympathiques. Les Sopranos justement, par rapport au Parrain, montre que la Mafia ne repose sur aucune valeur solide sinon la violence et la peur et que c'est juste une organisation de psychopathes ivres d'argent et de pouvoir. C'est toute la différence avec Coppola justement qui a fait des mafieux des gens très présentables à l'écran, les esthétise, en fait des gens de goût qui écoutent de la musique classique et admirent des toiles de maître. Alors que les Sopranos sont des beaufs, comme le sont l'énorme majorité des criminels. Je ne payerai jamais une bière à Tony Soprano, mais j'en payerai volontiers une au scénariste qui l'a imaginé et qui te montre que, comme Walter White peut mettre le monde à feu et à sang en prétextant faire ça pour sa famille, le pire des enculés qu'est Tony Soprano peut aussi apporter un bouquet de fleur à sa femme le jour de la Saint Valentin. Hitler adorait ses chiens : c'est cela que raconte les Sopranos. Et il n'y aucun ambiguité sur le regarde porté sur Tony, comme de Palma n'en a aucune dans Scarface vis-à-vis du héros
Pour te dire d'ailleurs, je ne sais pas si tu es joueur, mais j'ai toujours été mal à l'aise avec GTA. Parce que le regard qu'on trouve dans les Sopranos, on ne le trouve pas dans ce jeu qui reste très premier degré, faussement planqué derrière l'humour et un style BD : c'est cool d'être une racaille, de tuer et martyriser des gens. Le gameplay est d'enfer, le moteur 3D défonce, mais le ressort de tout cela demeure sordide et fait des faux clins d'oeil à Tarantino pour ne pas qu'on le taxe d'être ce qu'il est réellement.
Quand tu balances que 24 et Homeland puent la merde, je vois un gros manque de recul de ta part, caché sous un semblant de "haha j'les ai grillé avec mon sens analytique, ces bâtards de racistes". AMHA c'est un peu complotiste de voir de la propagande anti-muslim dans ces séries.
Ce n'est pas être complotiste que de dire qu'Hollywood, le cinéma et la télé américaine ont depuis toujours été utilisé à des fins de propagandes par les lobbies, les marques et les politiciens. Aux Etats Unis des pans entiers de scénarios sont écrits pour valoriser un sponsor (MacDo avait tenu par exemple à ce que toute une scène de Keanu Reeve parlant d'écologie se passe dans un de ses restaurant) et ça va bien au-delà du placement produit.
Et depuis longtemps.
Et évidemment, ça continue.
Alors penser qu'il n'y a pas de propagande idéologique dans ces séries me semble dur à admettre. Si tu veux des références plus précises et sérieuses sur tout cela, fais le moi savoir. Mais tu peux déjà commencer par voir l'émission qu'Arrêt sur Images a consacré à Homeland. Et plus vieux, tu te souviens de Supercopter dans l'Amérique Reaganienne ? Chaque épisode expliquait à quel point l'URSS était des enculés dangereux qu'il fallait à tout prix abattre ?
Tu peux lire ça aussi sur 24.
Bref, je ne suis pas un dingue de la théorie du complot, qu'elle soit d'extrême droite ou d'extrême gauche. Ca me fait plutôt fuir. Mais ne pas voir le rapport entre le Patriot Act et des séries comme 24 ou Homeland, c'est pour moi super inquiétant. Réellement.
Alors qu'en fait, GoT tranche dans le gras des livres et réduit la storyline au point d'en faire criser les fans ? Je crois que t'es à côté de la plaque là. Justement ce qu'il y a à critiquer, ce sont certains raccourcis, au point que certains embranchements et timings improbables finissent par arriver dans la série alors qu'ils n'existent pas dans les livres. Ce n'est visible qu'à partir de la saison 3 ou 4 il me semble. Et c'est - entre autres choses défendables - par coupe budgétaire.
Là tu marques un point. Je n'ai pas lu les livres et ils sont sans doute vachement mieux que la série. Mais sache que ce n'est pas forcément par coupe budgétaire qu'on fait des aménagements dans les adaptations. Hollywood a ainsi imposé à Jackson de donner un rôle plus important aux femmes que dans le livre, pour ne pas se couper d'une partie du public, massacrant ainsi plusieurs passage important du livre. On n'est pas là dans une démarche artistique, on est dans une étude de marché. Sur Game of Thrones que je ne suis pas, j'observe de quoi parlent mes collègues, et je me rends compte que ce qui revient souvent comme dans True Blood dont j'avais vu une saison et demie, c'est le côté un peu cul. C'est dans le livre à ce point là ? Si c'est le cas, je n'ai rien dit.
Les ficelles dont tu parles ne définissent pas la mauvaise littérature / série, ton idée là-dessus me fait assez halluciner. Mais bon au moins ça explique que tu sois si radical sur certains genres, certaines démarches narratives.
Que tu ne puisses pas appréhender un excès de violence, de sang, ou une scène de boobs, autrement que comme une ficelle mercantile trop visible, bah ça me dépasse, oui. Certains contextes induisent une surcharge justifiée d'un des ces éléments.
Dans Oz, la violence fait partie du postulat de départ, et on développe à partir de ça. Pareil dans GoT et Dexter. Mais on peut voir 3 directions bien différentes. La violence visuelle régulière au fil des épisodes va être justifiée par ce qu'elle implique derrière, respectivement scénaristiquement, politiquement et psychologiquement. Si tu veux parler de violence gratuite qui se fout de ta gueule, y'a Saw pour ça.
J'ai vu un Saw, je n'en verrais pas deux. Ca, c'est fait. En fait, un excès de violence, de sang ou de cul ne me dérange pas. J'ai adoré le film Funny Games qui est très violent (et c'est d'ailleurs son sujet central), Apocalypse Now qui l'est tout autant, Deer Hunter, tout comme j'aime bien les films qui parlent cash de cul (Kids de Larry Clark par exemple, l'Empire des sens). Les scènes de viol dans Irreversible ou dans Il était une fois en Amérique, combinant violence et sexe, ne me posent pas problème. Non. Ce qui me dérange, c'est lorsque je sens la gratuité derrière, le quota pour respecter le dosage d'un cockail bien dosé. GoT veut parler de cul ? Pas de problème. Par quoi on commence ? Non, il ne veut pas en parler en fait, il veut juste nous montrer 15 secondes de bonasse à poil pour que les ados s'astiquent dessus et suivent le reste de la saison et regardent les coupures pub. Ce n'est pas bien grave, mais c'est une recette. Quand on voit la Calicie apprendre à bien baiser avec sa servante pour bien baiser son mec plus tard, ça n'a aucun intérêt dans l'histoire, c'est gratuit. Mais c'est donc fait pour d'autre raisons.
Carton-pâte parce-qu'ils sont costumés (avec pourtant d'authentiques matériaux) ? Parlent avec des manières dans un contexte noble où il faut mesurer le ton ? C'est ce que je vois dans le 1er épisode. Rien d'un mauvais jeu d'acteur ni d'une mauvaise mise en scène. C'est crédible pour un série qui se veut solennelle, morose. Ça n'empêche pas des punchlines intelligentes dans certains dialogues.
Carton-pâte parce que je n'y crois pas, malgré les costumes et les décors plutôt pas mal, malgré le magnifique générique et malgré la débauche de tune qu'on y voit A King Geoffrey, je n'y crois pas (son personnage, ce qu'il dit comme l'acteur qui le joue), à Jon Snow non plus pour les mêmes raisons.
Après, peut-être que la série est super ensuite, je n'en sais rien. A la distance où je l'aperçois, ça ressemble à un Dallas en costume avec des dragons. Du sous Jackson qui était déjà complètement passé à côté de son adaptation de Tolkien. Mais l'ardeur que tu mets à défendre la série me persuade de réessayer, de me retaper une saison. Par dessus l'épaule de ma compagne qui regarde ça, j'avais vu une fille chevalier qui avait l'air bien sympa. A voir.
Maintenant tu compares à une série qui n'a rien à voir, déjà pourquoi ? Je ne suis pas à l'origine de ça. Tu te sers des Sopranos comme argument contre une autre série aux antipodes ? Ça me paraît bien fallacieux. Oui Gandolfini joue super, mais non, dans GoT ils puent pas du genou pour autant. Une qualité inégale au sein même de la série ? Certainement. Faut voir le colosse que c'est à réaliser aussi.
A la base, un mec a dit que House of Cards lui faisait penser à Dallas, et je me suis dit que moi, c'est GoT qui me faisait penser à Dallas, avec ses 150 personnages, ses intrigues dans tous les sens et ses thématiques : pouvoir, argent, cul. Puis un autre est venu flinguer les Sopranos, que j'ai défendus. Voilà j'imagine que ça a commencé comme ça.
'Tain, j'ferai pas des posts comme ça tous les jours.
Je vois mal comment discuter autrement que comme ça pour ma part.
Désolé pour le long post toutefois. Promis, je redonnerai sa chance à GoT.
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Le GIEC chiffre à 3,3 milliards le nombre de victimes du réchauffement climatique. On en parle ?
[ Dernière édition du message le 12/03/2016 à 00:11:46 ]
Anonyme
Los Teignos
On pourra s'amuser de ça aussi.
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Le GIEC chiffre à 3,3 milliards le nombre de victimes du réchauffement climatique. On en parle ?
[ Dernière édition du message le 12/03/2016 à 00:32:53 ]
W-Addict
Une série c'est un divertissement hein.
Je regarde un film avec Tom Cruise je vais pas faire l'apologie de la scientologie pour autant.
[ Dernière édition du message le 12/03/2016 à 08:56:37 ]
wildchild666
Trop de posts j'ai zappé 10 pages d'un pèt là...
Je suis sur la fin de Peaky Blinders, je ne me souviens plus trop dans les détails mais je crois me souvenir d'une certaine unanimité ici, non ?
Ben sérieux les gars la prochaine fois où vous vous faites chier reprennez l'intégrale de Friends et venez pas poster des faux avis comme ça, mon temps est trop précieux pour le perdre dans les trucs pareils !
...non jdéconne, mais franchement j'ai pas trop kiffé. On est à mi-chemin entre The knick et SOA et je ne vois aps ce qu'apporte cette série d'original ou supplémentaire. De belles gueules, du quotidien au ralenti, scenario chaotique, histoires de famille et violence à point nommé : c'est bien ficelé, rien n'est raté mais rien d'époustouflant non plus. La musique est bonne (bonne bonne) mais très convenue, les costumes bien taillés mais les décors quasi cartone-patte nan ?
Enfin bon ça se laisse regarder quand même, mais ça fait très resucée.
- Vous êtes contre tout ce qui a été fait depuis la dernière guerre...
- Vous vous trompez de date. Je suis contre tout ce qui a été fait depuis Adam
Pictocube
Tant qu'il y aura des couilles en or, il y aura des lames en acier
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