Sujet de la discussionPosté le 17/10/2006 à 17:13:41Le Pub des Cuisiniers
Voilà un topic qui me semble utile !
Donc ici vous pouvez donner bien sur votre recette de la mort qui tue que vous faites une fois l'an quand vous recevez belle maman mais aussi et surtout toutes les petites astuces et découvertes utiles aux quotidien.
Exemple : Je me suis rendu compte que blancs de poulet + sauce worcester à la cuisson = Mmmmmm
Pour ton aile de raie cuisson standard au court bouillon 12/15 minutes à eau frémissante.
c'est quoi que t'appelles cuisson au court bouillon ? L'aile trempée directement dans la flotte ?
Le court bouillon c'est une base en cuisine française, comme une mirepoix, une rémoulade...
Citation :
Commencez par préparer et émincer vos aromates (carotte, céleri branche, laurier, thym, oignon, etc.). Dans une marmite ou une grande casserole, versez l'eau et éventuellement du vin. Salez et poivrez. Placez le faitout sur la source de chaleur et portez à ébullition. Plongez-y alors vos crustacés, votre viande ou vos légumes. Faites cuire à frémissement le temps nécessaire selon l'aliment préparé
Comment ça particulier -c'est une vraie question- ?
Ce sont un lophidé et deux pélagiques dont les chaires supportent, voir exigent des cuissons beaucoup plus longues que par exemple pour des scombridés, des salmonidés ou en encore des gadidés.
J'avoue que j'ai de la chance pour ça. Déjà, on mangeait pas mal de poisson à un prix raisonnable avant. Mais on a bougé que de 10 km et on est maintenant dans une des villes qui est un des plus gros ports de pèche français (le deuxième après Boulogne) et on trouve un encore plus grand choix de poisson et crustacés extrêmement frais à des prix encore plus bas.
J’ai appris que de très bons restaus laissent le poisson reposer un certain temps, genre une semaine, pour qu’il soit encore meilleur. Bon par contre j’imagine que c’est un poisson entier (et plutôt gros).
Euhhhhhhhh à voir quelles variétés et dans quelles conditions, mais pour moi au premier abord c'est no way. En revanche j'ai déguster des poisson sur lesquels a été pratiqué l'ikéjimé et c'est incomparable avec un poisson que l'on a laissé s’asphyxier.