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fairbec
Le permier est tout simplement exceptionnel : une richesse de dialogues exceptionnelle et une construction à l'americaine. marque de fabrique canadienne?
Le second aurait pu etre tres bon s'il etait sorti avant Amélie...
Anonyme
Hors sujet :
ce smiley est génialissime.
Anonyme
félicitations potard fondu
Pere Founasse
Film vraiment excellent sur la descente en enfer d'un vieux boucher chevalin dans la France en crise qui se retrouve face au système injuste de la société.
La photo est très bonne tout comme le thème assez inédit au cinéma. Il se passe beaucoup de choses. Le monologue sur les pensées du mec est très bon et très bien construit. L'acteur principal est excellent ( psychologique très bien construite ) et les dialogues piquants et étonnants ! Tous les thèmes du réalisateur sont déjà là : la morale, la naissance et la mort, l'injustice, l'inceste, la violence, le sexe, etc. mais traités d'une manière moins voyeuriste ( plus elliptique ) que dans ses autres films.
Des scènes étonnantes et spectaculaires parfois digne d'un " c'est arrivé près de chez vous ". Mais le film se paye le luxe d'être très fin dans la justesse de son analyse et de ses scènes. Pas de violons pour nous faire pleurer. Le seul fait de le suivre dans sa longue déchéance face à un mur de 100 mètres ( la société avec tous ses acteurs ) suffit par provoquer des sentiments.
Plein de fois, je me suis reconnu dans ce personnage et dans ses analyses ( les portes qui se ferment car on présente mal, l'hypocrisie des gens, le mépris, l'injustice, les faux amis ( qui restent avec vous pour profiter de vous et lorsque vous n'êtes plus rien se cassent ), la vengeance, la nullité de la vie, la naissance vue comme un cadeau empoisonné, l'absence d'un paradis.
La photo est excellente et les décors très bons. Il arrive à obtenir une image stylisée de la France et à nous faire rentrer dans une ambiance.
Un ovnis dans le cinéma français qui nous change de ces acteurs hystériques qui n'arrêtent pas de parler à 200 à l'heure pour ne dire finalement que de la merde dans des décors ringards.
Je le classerais dans la catégorie des grands films du même style que C'est arrivé près de chez vous. Je ne me suis pas ennuyé une seule seconde.
Et malheureusement, c'est avec ce film, que l'on voit que Noé fait du cinéma qui me plait de moins en moins.
Provocateur d'extrême droite
[ Dernière édition du message le 03/06/2010 à 13:08:06 ]
Jofree
Citation :ce smiley est génialissime.
Il était temps que tu t'en rendes compte.
"To boldly go where no man has gone before."
KoalaMan
On ne voit bien qu'avec les yeux. Le cœur est invisible pour l'essentiel.
Anonyme
Jon Osterman
[ Dernière édition du message le 03/06/2010 à 14:20:23 ]
Anonyme
Anonyme
Hors sujet :
félicitations potard fondu
Thx, mais pas sûr que ce soit bon signe !!!
Jon Osterman
Anonyme
Ps: tu parles pas de Carne.
[ Dernière édition du message le 03/06/2010 à 14:25:54 ]
Anonyme

et interprété par cette tête de con:
http://images.businessweek.com/ss/06/07/roi/image/04_tom_hanks_b.jpg
Alerte spoiler moisi:
vous le croirez ou pas, mais à la fin du film le futur Pape atterrit en parachute au milieu de la Place St-Pierre après avoir pris un hélicoptère et fait péter une bombe en plein ciel
[ Dernière édition du message le 05/06/2010 à 00:49:12 ]
Sibmol
Anonyme
Sibmol
Pere Founasse
http://stuffatnight.com/blogs/saturdaynightlive/fonzie.jpg
C'était le futur pape ?
Provocateur d'extrême droite
will_bru
In the midnight hour, she cried more, more, more, with a rebell yell she cried more more more...
Anonyme
mais à la fin du film le futur Pape atterrit en parachute au milieu de la Place St-Pierre après avoir pris un hélicoptère et fait péter une bombe en plein ciel
Ca fait série Z quand même nan ?
jeremy19450
une vielle et alors ...??
Anonyme
Pictocube
Tant qu'il y aura des couilles en or, il y aura des lames en acier
Jon Osterman
Brrrr.... Rien que le titre, ça fout les miquettes. Et c'est bien normal. Un porte-navion nucléaire qui se fait aspirer dans un tourbillon temporel pour se retrouver en 1941 en pleine attaque de pearl harbor, c'est pas banal ! Et ça nous aurait foutu encore plus les jetons si les producteurs avaient eu un peu plus de thune pour nous montrer comme un bateau moderne aurait pu faire face à toute une flotille aéro-navale tchongli des années 40.
Et bah non, rien de tout ça, à la place, on a droit à un malheureux combat aérien entre des F14 multi-murs du son et des zéros tout rouillés tout droit débarqués du studio d'à côté où tournait Robert Conrad dans la peau de Papy Boullingtonne. La cerise sur le gateau, c'est les vieux stock shots piqués aux têtes brûlés ou à tora tora tora - on s'en fout - montrant des avions nippons (des petites maquettes mattel) se brisant en mille morceaux au contact de la mer (une bassine d'eau avec du pec citron).
Pas une thune, je vous dis.
La star du film, non, ce n'est pas ce bon vieux Kirk, c'est le Nimitz et tous ses avions et ses hélicos qui décollent, attérrissent, redécollent, etc... Le tout dans des conditions de pilotages précaires que même Tom Cruise dans Top Gun n'oserait pas imaginer de peur de déféquer dans sa combinaison ignifugée.
En pleine guerre froide, Nimitz, retour vers l'enfer (je tremble) fait donc plutôt figure de défilé du 14 juillet pour bien faire comprendre à ces salauds de ruskofs de pas bouger leur foutu petit doigt.
will_bru
In the midnight hour, she cried more, more, more, with a rebell yell she cried more more more...
Anonyme
Alors en fait je suis hyper partagé sur ce film.
Esthétiquement il est parfait, réalisation, jeu d'acteurs, photo, déroulement de l'histoire, tutti quanti : Spielberg est pas un branquignol, mais on le savait déjà.
Le souci, c'est qu'en voulant montrer la froide réalité de la guerre, il l'humanise, en mettant en exergue des quidams transformés en héros, qui tuent et meurent pour une guerre à laquelle ils ne comprennent rien.
Et c'est là toute l'embrouille de ce film : perso j'adhere pas du tout à ce propos : pour moi, quiconque participant à une telle tuerie ne peut par nature être un héros. Faire la paix en tuant, et donc faire le bien le faisant le mal, c'est comme qui dirait une oxymore.
Au final, je trouve ce film ambigu, à l'opposé d'un Apocalypse Now, qui montre lui que la seule issue de la guerre est la folie, en aucun cas l'héroïsme.
Anonyme
Je n'ai pas compris l'interet du film...pas une course de bagnole, pas un nichon, pas la moindre prise de karaté!!! de qui se moque-t-on ?
Sérieusement, je me suis fait chier grave, pas que ça soit mauvais, mais bon deux heures de branlette cérébrale c'est un peu lourd quoi

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