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fairbec
Le permier est tout simplement exceptionnel : une richesse de dialogues exceptionnelle et une construction à l'americaine. marque de fabrique canadienne?
Le second aurait pu etre tres bon s'il etait sorti avant Amélie...
-Liam-
J'irais dormir à Hollywood
Je n'avais jamais vu A. de Maximy dans ses oeuvres, et je craignais beaucoup de voir un Français ramener son arrogance et sa gueule un peu "sans gêne" à l'étranger, en en particulier parmi les ricains.
En fait, très bonne surprise. Déjà, le bonhomme ne prend jamais parti, ne juge pas, on sent clairement que son trip à lui, c'est vraiment de rencontrer du monde, sentir le terrain, plutôt que de se livrer à des conclusions hâtives sur le pays. Jamais d'ailleurs on l'entend dire "les Américains sont comme ci, ou comme ça", lui s'intéresse au cas par cas, aux personnes, aux rencontres individuelles.
Son road trip est pas mal: de NY à LA, le bougre n'oublie ni la Floride, ni le sud (Nouvelle Orléans, Lafayette), ni l'ouest sauvage dans les réserves indiennes (Nouveau Mexique). C'est un bon compromis et ça permet déjà de voir de multiples facettes de ce pays (les paysages de l'ouest sont fantastiques).
Certains passages sont assez énormes: la dispute dans le bus sur fond de racisme (très intéressant), le type bourré croisé à la Nouvelle Orléans (le genre de rencontre typique qu'on fait dans un centre ville la nuit, avec des gens bourrés qu'on ne connaît ni d'Eve ni d'Adam et de grands discours au bout de 5min), le SdF de Santa Monica, etc... Pour avoir vécu 6 mois à LA, j'ai retrouvé certaines sensations/impressions/images lors de son trip, ça m'a fait drôle.
Bref pas mal du tout, agréablement surpris. Après le bonhomme peut toujours agacer par moments, mais c'est largement acceptable par rapport à ce que je craignais.
Un verre à moitié vide est aussi à moitié plein. Un type à moitié intelligent est généralement complètement con
https://soundcloud.com/newcarradio
karloguan
Vu il y a quelques jours STARBUCK
Film canadien. Un quarantenaire qui avait fait plein de dons de sperme dans sa jeunesse (car rémunérés) se rend compte qu'il a une centaine de gosses, tous réunis en asso pour obtenir le droit de connaître leur père biologique. Le gars a une vie de looser et est tiraillé entre les envies de fuite ou de rencontrer les gosses (qui ont entre 15 et 20 ans). Il a accès au dossier juridique et donc aux noms des rejetons qu'il essaye finalement de rencontrer sans se dévoiler.
Frai, drôle, traitant d'un sujet épineux (l'anonymat des donneurs vs le droit des enfants) avec justesse, un tout petit peu guimauve. A voir.
Et s'il le faut j'emploierai de moyens légos !
Eяяаtom
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**naPOLEoN**
The Beaver, ça fait sourire, c'est déjà ça.
[ Dernière édition du message le 29/11/2011 à 12:29:02 ]
Pictocube
Un peu chiant quand même the Beaver.
J'ai regretté vers la fin que la lutte entre le castor et celui qu'il possède ne soit pas plus intense.
Tant qu'il y aura des couilles en or, il y aura des lames en acier
Polaroil
Quand jai vu "Beaver" et "Jodie Foster", je suis laissé croire qu'on allait voir sa fouffe
"And in the end, the love you take is equal to the love you make"
gromeul
"La légende du pianiste", sympathique et reposant
!
le reverend
sa touffe tu dois pouvoir la voir dans Nell
Putain, 22 ans que je traine sur AF : tout ce temps où j'aurais pu faire de la musique ! :-( :-)
vodevil
Ouais bah on se marre bien quand même..ça faisait un bout de temps que je m'étais pas plié de rire dans un cinoche (la scène de l'opéra). Au-delà de ça y'a quand même pas mal de clichés et quelques facilités dans le scénario mais bon on en ressort avec la banane et c'est le principal. Un divertissement de qualité, ça nous change des comédies potaches françaises auxquelles ont nous a trop habitué. Ce qui me gène le plus au fond je crois que c'est le succès du film, on risque d'avoir le droit à des diffusions interminables sur TF1 voire même une suite de très mauvais goût..
C'est quand qu'on va où?
oryjen
une suite de très mauvais goût..
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L'artiste entrouvre une fenêtre sur le réel; le "réaliste pragmatique" s'éclaire donc avec une vessie.
Pere Founasse
Provocateur d'extrême droite
[ Dernière édition du message le 01/12/2011 à 21:43:22 ]
Sebz.G
Pere Founasse
Provocateur d'extrême droite
Anonyme
Et affiche (animée) superbe:
http://www.wrongthemovie.com/
Polaroil
TIME OUT
je redoutais un peu ce Blockbuster un dimanche après-midi, surtout après les bande-annonces pour décérébrés qu'on a eu avant..
Bonne surprise, pas mal du tout, ils exploitent l'idée quasiment jusqu'au bout, une idée finalement assez subversive à la Carpenter. Un film communiste ? ![]()
Timberlake joue correctement et sa copine est atomique.
Je ne sais pas pourquoi dès qu'ils dépeignent un univers totalitaire et futuriste, les méchants ont des longs manteaux de cuir, des lunettes noires, et des pures caisses vintage tunées (Camaro et Lincoln COntinental ici)
Pas le film de l'année mais un bon divertissement SF, sans trop d'esbrouffe
"And in the end, the love you take is equal to the love you make"
le reverend
Carpenter n'est pas communiste.
Il serait même conservateur d'après les propos que je l'ai vu prononcer... Et oui, ça calme.
Pour Time Out, si je ne me trompe pas c'est quand même le réalisateur de Gattaca qui l'a fait, donc pour moi c'est un gage de qualité.
Ce film fait partie de ma liste des "à voir"
Putain, 22 ans que je traine sur AF : tout ce temps où j'aurais pu faire de la musique ! :-( :-)
Anonyme
Eh ben, agréable surprise! Auteuil et Montand y sont très bon. J'ai eu peur sur la première scène de trouver les "faux accents" insupportables. Même sur ce point rien à redire. Franchement un bon film.
Ce soir du coup j'ai prévu de ma taper Manon des sources (oui, je sais)...là j'ai un peu plus peur de la prestation de Emmanuelle Béart.
za-goAt
Citation :
J'ai eu peur sur la première scène de trouver les "faux accents" insupportables.
rho pitin, j'en ai encore des reminescences...
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La musique adoucit les meurtres...
j-master
Pour Time Out, si je ne me trompe pas c'est quand même le réalisateur de Gattaca qui l'a fait, donc pour moi c'est un gage de qualité.
et The Truman Show, et Lord of War, aussi, comme même !
"L'Homme est la nature prenant conscience d'elle même." - Elisée Reclus
Javier Guante Hermoso
La bûche
En plein milieu du coeur de l'archétype du film "exception culturelle française". Des dialogues qui ne sonnent pas naturels et spontanés pour un sou, des situations assez improbables (genre je vais chez le voisin que je connais a peine pour lui dire que je suis dépressif) mais qui n'apportent pas grand chose, des personnages assez caricaturaux mais sans profondeur (Tiens! Emmanuelle Béart!) et une histoire qu'on a voulue compliquée avec des histoires de coucherie passées, sur fond de Noël en dépression. Les apartés de chaque personnage sont ceci dit une bonne trouvaille, mais finalement, seul Claude Rich est excellent dans l'exercice, son jeu ainsi que celui d'Azéma sauve le truc.
Très Figaro Magazine comme film.
le reverend
Citation :
et The Truman Show, et Lord of War, aussi, comme même !
Yes mais comme même, ils sont largement un ton en dessous en terme de puissance narrative ces deux-là.
Et Nicolas Cage dans le Lord of War, il est pas super top. Oui, bon OK, par rapport à ses autres films, faut s'estimer heureux. OK je retire ce que je viens de dire, Nicolas Cage OK pour celui-là ![]()
Putain, 22 ans que je traine sur AF : tout ce temps où j'aurais pu faire de la musique ! :-( :-)
Djardin
Reveu dernièrement :
Heima, de Sigur Ros. Pas vraiment un documentaire sur un groupe de rock. (puisqu'il font pas du rock). Plutôt un truc super joli, très contemplatif. En gros, c'est Sigur Ros qui a fait une série de concerts gratuits et insolite en Islande. On a donc la musique (merveilleuse) de Sigur Ros, quelques bouts d'interviews où ils ont l'air très gentils, et limites génés d'avoir du succées. Et puis surtout des images magnifiques : le paysage Islandais, et c'est un fort beau pays, et le public. Et le public, c'est beaucoup d'enfant, et tout le monde avec un sourire jusqu'au oreilles.
Et dans un genre extrèmement différent : Hara-Kiri. Non, ce n'est pas un flim sur le journal. Ni un flim de cape et d'épée du bout du monde. En gros, c'est la paix au Japon en 1600 et des brouettes. Et comme c'est la paix, les samourais n'ont pas de boulot. Hanshiro, samouraï sans ressources, et qui veut éviter le déshonneur d'une existence misérable, se présente à la résidence du puissant clan Li. Il demande au Seigneur l'autorisation de pratiquer dans la cour de sa demeure le suicide rituel, seule manière pour lui de mourir dignement. Mais le maître Kageyu se méfie car les usurpateurs se multiplient, les adeptes du « hara-kiri pantomime » qui prétendent vouloir se suicider en espérant la compassion du clan pour pouvoir être embauchés ou recevoir quelque aumône. Kageyu raconte ainsi à Hanshiro l'histoire tragique de Motome, un ronin (samouraï sans maître) qui s'est présenté récemment avec la même requête, qui a été convaincu de mensonge.
Bon, en fait, c'est un truc social, et surtout assez lent. C'est joliment filmé. Par contre, il y a une scène extrèmement violente. Le reste du film va, mais là, un truc très très trash. ma blonde étiat au bord du vomis, et je ne pense pas que quelqu'un ai gardé les yeux ouverts dans le ciné. à mon humble avis, cette scène aurait pu être légèrement raccourcie.
Référence en matière de bon gout capillaire et vestimentaire.
homme à tête de zizi.
trompe
Citation de : Xavier Belmoufles
Hier soir:
La bûche
Très Figaro Magazine comme film.
Que veux-tu dire par là ? Je viens d'aller voir la critique du film sur leur site mais je n'ai rien trouvé de particulier, à part que la réalisatrice, Danielle Thomson, est la fille de Gérard Oury...
"Well, that's just, like, your opinion, man."
Javier Guante Hermoso
Mais avec du recul, ce qui m'interpelle aussi dans la justesse du scénario, c'est que Béart, qui joue une radine et Azéma, qui joue une fauchée, ont l'air d'avoir un train de vie plutôt confortable, pas forcément en adéquation avec ce qu'elles semblent jouer, par exemple.
-Liam-
Dans le genre aussi il y a Paris de Klapisch qui est un festival de clichés / parisianisme baignant dans un flottement scénaristique général. Le casting envoie du lourd, ce qui ajoute au côté bobo inside du truc...
Un verre à moitié vide est aussi à moitié plein. Un type à moitié intelligent est généralement complètement con
https://soundcloud.com/newcarradio
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