Derniers films vus
- 60 386 réponses
- 702 participants
- 2 160 764 vues
- 562 followers

fairbec

Le permier est tout simplement exceptionnel : une richesse de dialogues exceptionnelle et une construction à l'americaine. marque de fabrique canadienne?
Le second aurait pu etre tres bon s'il etait sorti avant Amélie...

Anonyme

Lion ça a l'air d'être bien taillé pour faire larmoyer la ménagère de 50 ans.
La La truc non merci, le peu que j'en ai vu a failli me filer du diabète.
Trainspotting aucune opinion.

Pictocube

Dans la liste je choisirai Moonlight
Tant qu'il y aura des couilles en or, il y aura des lames en acier

Djeeloo

LOGAN peut-être

L'esprit c'est comme un parachute: Il marche mieux quand il est ouvert.

jambesexy


On risque de se tourner vers Moonlight...

Anonyme

Le pitch de départ m'a pas mal attiré : ça parle de la WWII, mais du point de vue d'un soldat SS allemand, dans la fin de la guerre du côté du front de l'est, contre les russes donc.
C'est clairement un truc qui a jamais (en tout cas ultra rarement) traité au cinéma mais même en littérature. On nous montre les méchants SS, de loin, se prendre les balles des gentils américains, et du point des films russes, chaque SS est un ogre et chaque soldat russe est Obi Wan Rambo.
Bref, je me suis foutu devant le film en pensant mater un remake de la Ligne rouge, mais du côté allemand.
Bon, première douche froide, c'est en anglais. Pas facile de s'immerger, les types ont des uniformes allemands, mais j'ai l'impression de mater le soldat ryan, du coup.
Bon, jle fous en langue allemande, ça se trouve jme suis viandé et c'est elle la VO. Bah nan, c'est nul à chier en allemand. Les doubleurs récitent une poésie, et de la poésie en allemand c'est moche. Mention spéciale à la totale absence de synchro labiale.
Je remets en angliche, mais là je vois qu'en réalité y a un souci, la synchro labiale n'est pas bonne non plus, les acteurs parlaient en chépas quelle langue sur le tournage, mais certainement pas en anglais ni allemand (ni français, ces 3 langues se synchronisant facilement avec un peu d'efforts et un bon logiciel).
Bon, ensuite les choses se poursuivent dans le nawak. A un moment je comprends plus rien, je vois des chars US (c'est censé se passer en Ukraine). Le plan d'après de nouveau des chars soviétiques.
A un moment, y a un soldat SS métis noir/latino. Là j'ai lâché l'affaire.
[ Dernière édition du message le 04/03/2017 à 12:10:21 ]

Anonyme



W-Addict



Rifki


W-Addict


Merci Mr Rifki.

Anonyme


W-Addict


Anonyme

de g.Canet.
Je me suis bien marré, et je sais pas pourquoi, mais j'ai trouvé le mix des basses de certains morceaux hallucinant de propreté et de pêche.
Pourtant, c'était juste la salle 14 du complexe Gaumont de Labège...
[ Dernière édition du message le 05/03/2017 à 01:30:48 ]

Anonyme

c'était juste la salle 14 du complexe Gaumont de Labège...
Tu vends du rêve.

Vu Dans la chaleur de la nuit, rougne cinématographique ayant raflé plusieurs oscars en 1967.
Je crois que c'est la 1ere fois que je regarde vraiment un film avec Sydney Poitier, que j'ai toujours pris pour une vieille barbe coincée du fion et datant d'un autre temps.
A plein d'égards, le film est totalement hors normes, enfin pas hors normes en 2017 bien sûr, mais replacé dans son contexte c'est totalement WTF. Je me demande même si la ségrégation raciste n'existait pas encore aux USA.
Pitch : un gradé de la Criminelle de Philadelphie, incarné par S.Poitier, est venu quelques jours chez sa daronne dans un patelin du Mississippi. Un meurtre y est commis sur une personnalité du bourg, et la police locale, qui a pas inventé le fil à couper le beurre, demande bon gré mal gré l'aide de la pointure venue du nord.
Pendant tout le film, j'ai fait des laportes pour l'inspecteur noir, mais aussi pour l'acteur, dont les histories s'entremêlent : ce sont 2 noirs évoluant dans un monde 100% blanc et hostile, qui doivent lutter contre les préjugés, et qui grâce à leur compétence, finissent par recevoir de grandes tapes amicales dans le dos par leurs détracteurs.
La BO (Quincy Jones et Ray Charles) est particulièrement admirable, c'est probablement le plus ancien film de blancs destiné à un public plutôt blanc, contenant de la zik faite à 100% par des noirs.
Amha à voir absolument, le film est très bon pour lui même, et son contexte lui donne une force supplémentaire.
[ Dernière édition du message le 05/03/2017 à 10:45:51 ]

Anonyme

C'était en plein mouvement des droits civiques, et le film, Poitier aussi, a fait beaucoup pour l'avancement.
[ Dernière édition du message le 05/03/2017 à 10:49:11 ]

W-Addict


Anonyme


Anonyme



j-master

C'est pas connu
si
"L'Homme est la nature prenant conscience d'elle même." - Elisée Reclus

Oiseau Bondissant


« Ce n'est pas sur une montagne qu'on trébuche, mais sur une pierre. » - Proverbe indien

Anonyme


Anonyme



Anonyme

rien que pour le titre (dans la chaleur de la nuit), je te mets un tavernier (film sous tension genre dans la brume électrique) et un autre film plus fleuve (mississippi burning).
(je savais pas que charltone hestone avait fait la grande marche.).

Rifki

Pas un film, mais un documentaire sur le destin insolite de Sixto Rodriguez, un chanteur comparé à Bob Dylan, qui n'a connu aucun succès aux USA mais, est devenu une icône de la lutte anti apartheid en Afrique du Sud sans qu'il le sache lui même.
C'est émouvant.
Visible encore avec Arte replay je pense.

Oiseau Bondissant

Lincoln ?

« Ce n'est pas sur une montagne qu'on trébuche, mais sur une pierre. » - Proverbe indien

Will Zégal

Vu My honor was loyalty (connais pas le titre français, sur netflix le titre n'est pas traduit en tout cas).
Le pitch de départ m'a pas mal attiré : ça parle de la WWII, mais du point de vue d'un soldat SS allemand, dans la fin de la guerre du côté du front de l'est, contre les russes donc.
C'est clairement un truc qui a jamais (en tout cas ultra rarement) traité au cinéma mais même en littérature.
Une youtouillerie, ça faisait longtemps

- < Liste des sujets
- Charte