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fairbec

Le permier est tout simplement exceptionnel : une richesse de dialogues exceptionnelle et une construction à l'americaine. marque de fabrique canadienne?
Le second aurait pu etre tres bon s'il etait sorti avant Amélie...

W-Addict


oryjen

Celui-ci renifle une antipathie chronique pour l'instant mystérieuse, n'ayant pour ma part point souvenir d'avoir eu maille à partir avec l'individu.
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L'artiste entrouvre une fenêtre sur le réel; le "réaliste pragmatique" s'éclaire donc avec une vessie.

KoalaMan

On m'a offert un coffret Kaamelot.
J'avais tant entendu parler, mais n'avais jamais vu.
Ils ont tous fait l'école du rire les types.
C'est lourd.
On sourit quelquefois.
Je comprendrai jamais les phénomènes de mode, moué...
Pour ma part, je suis fan, mais je peux comprendre que ça ne parle pas à tout le monde. D’autant que la série a maintenant quelques années et n’a sans doute plus la fraicheur qu’elle avait au début.
Si je peux me permettre, essaies de regarder quand même l’ensemble de Kaamelott. L’humour évolue en même temps que l’intrigue et y’a des chances que ça te plaise mieux vers la fin (moins badoum pschh comme humour).
On ne voit bien qu'avec les yeux. Le cœur est invisible pour l'essentiel.

KoalaMan

Mouais bof, on en a vu de plus croustillants cammèmeu.

On ne voit bien qu'avec les yeux. Le cœur est invisible pour l'essentiel.

Traumax


oryjen

J'aime bien le beau-père tout de même.
Oui c'est que j'ai commencé par le début, alors...
Les situations pourraient être drôles en effet, si tout ça n'était pas aussi déclamé sur ton très café-théâtre.
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L'artiste entrouvre une fenêtre sur le réel; le "réaliste pragmatique" s'éclaire donc avec une vessie.

Traumax


dana12

C'est bourré d'humour, et les difficultés ne sont pas éludées, entre les gays qui ressassent leurs vieilles rancœurs contre ces "rustres" qui les ont rejetés leur crachaient dessus, et les mineurs qui trouvent ce soutien de pervers citadins plutôt gênant et encombrant.
Je recommande.
Ensuite, j'attendais un appel donc au lieu de me plonger dans un bouquin, j'ai zappé et je suis tombé sur le Marginal, avec l’inoxydable Bebel... J'ai dû le voir à sa sortie, quand j'étais ado en sortie ciné avec les potes, et j'ai peut-être apprécié à l'époque, mais alors là, quelle purge !!!
C'est mal filmé (l'inévitable poursuite en bagnole, complètement anémique), vraiment mal joué, un scénar sans inspiration, débile... le grand cinéma français des années 80 où il suffisait de mettre Belmondo ou Delon à l'affiche pour que ça fasse quine !
Incrédule sur tout, sceptique sur le reste

usob solina

Silence, de Martin Scorcese
Documentaire sur les différentes façons de torturer un chrétien pour qu'il renie sa foi... Les images sont belles. C'est chiant à force d'être répétitif, puisque tout le film tient presque sur le "apostasiera ou n'apostasiera pas ?". Bof bof.
Dans le coeur de la fournaise, de Werner Herzog
Documentaire (vraiment cette fois-ci) sur les rapports entre les volcans et les hommes, les mythes et légendes attachés aux volcans. C'est fascinant, non seulement pour les images incroyables de beauté des éruptions, mais ausi et peut-être surtout pour les croyances des différents pays (les séquences en Corée du Nord sont sidérantes, et la dernière séquence en Indonésie sur une religion récente, assez marrante).

dana12

Incrédule sur tout, sceptique sur le reste

Polaroil

Et +1 pour silence que j'avais péniblement chroniqué ici
"And in the end, the love you take is equal to the love you make"

usob solina

Ah mince oui, Dans le coeur de la fournaise, c'est sur Netflix.

Anonyme

On m'a offert un coffret Kaamelot.
J'avais tant entendu parler, mais n'avais jamais vu.
Ils ont tous fait l'école du rire les types.
C'est lourd.
On sourit quelquefois.
Je comprendrai jamais les phénomènes de mode, moué...
J'avais la même impression après avoir vu quelques épisodes.
Et puis un jour il y en a qui agit comme un déclencheur
et on saisi mieux le propos.

Pictocube

Pareil pour Kaamelot, je comprenais pas et puis quelques années après le passage TV j'ai repris et là la joie
Tant qu'il y aura des couilles en or, il y aura des lames en acier

Anonyme

Bonne grosse claque visuelle


j'ose pas imaginer comment les serveur ont chauffé lorsque les type on appuyé sur la touche RENDER

L'histoire du personnage est intéressante mais gâchée lorsqu'il se met à souffrir du syndrôme Rey/Fin, c'est à dire maîtriser en un rien de temps ce qui a pris des années à d'autres. Mais bon excellent divertissement avec bonus créativité visuelle !

crossroads

Ouais bof.
On retrouve des éléments du bouquin. Mais en fait c’est un film pour ado (genre grandement représenter en ce moment).
Instrumental/Ambient/Post-Rock : https://dzeta.bandcamp.com/

Polaroil

"Dans le top des films les plus effrayants du Guardian". Pas compris pourquoi. Christian Bale fait effectivement une prestation assez puissante, la réalisation est propre, mais tout cela est justement un peu clinique, et Bale ne me fera jamais peur. Le plus effrayant c'est finalement la BO, pleine de Phil Collins et de Chris de Burgh

Vu sicario , la guerre des cartels. 2eme volet de ce film de guerre moderne, impliquant les cartels mexicains, le FBI, et tout un tas de personnages troubles qui naviguent entre le bien et le mal. Josh Brolin doit vraiment avoir un mauvais fond (il est trader à ses heures perdues) car il transpire bien cette dualité, benicio del Toro parle bien Espagnol, la jeune actrice du film est impressionnante de maturité. Glauque, violent mais pas trop racoleur, j'ai eu l'action et la noirceur que je voulais.
"And in the end, the love you take is equal to the love you make"

wildchild666

Le plus effrayant c'est finalement la BO, pleine de Phil Collins et de Chris de Burgh
Clair ! Après effrayant, je ne sais pas comment tu as compris ce mot mais moi c'est au sens : "cliché effrayant des golden boys de wall street qui peuvent en perdre toute empathie, voire la raison"
Pas effrayant au sens épouvante ou sanguinolent. D'ailleurs le bouquin, bien plus cru et violent, m'avait mis bien plus mal à l'aise. Devant le film, on se marre.
J'ai revu Réalité, de Quentin Oizo : c'est sûr, c'est mon préféré.

- Vous êtes contre tout ce qui a été fait depuis la dernière guerre...
- Vous vous trompez de date. Je suis contre tout ce qui a été fait depuis Adam

Dr Pouet


Anonyme

Jme demande comment et pourquoi un cinéaste peut monter ce genre de film : même si on connait que dalle au ciné, on sait très bien que ça va faire un flop, un peu comme pour Gaston Lagaffe.
[ Dernière édition du message le 05/07/2018 à 09:29:15 ]

Polaroil


"And in the end, the love you take is equal to the love you make"

Dr Pouet


Anonyme

La bande-annonce a le mérite de ne pas laisser de faux espoirs.
mais grave !

Personne ne s'est même pris la tête de faire un truc présentable.

Dr Pouet



oryjen

Quand on change de langage, faut transposer.
Travail de crétins désespérément incultes, totalement dépourvus de recul ou de compréhension à propos du médium qu'ils utilisent.
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L'artiste entrouvre une fenêtre sur le réel; le "réaliste pragmatique" s'éclaire donc avec une vessie.
[ Dernière édition du message le 05/07/2018 à 10:17:21 ]
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