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Amha c'aurait gagné à ne figurer que dans une version longue/director's cut, plutôt qu'au ciné : comme tu le dis, ça casse les codes, et c'est pas forcément ininteressant, mais quand on voit le film pour une 1ere fois fat quand même être bien open.
Pour la morale (encore une fois, attention vrai spoil) :
@ JSK ; le titre de la vidéo n'est pas bien attirant ? Le mec démonte vraiment Tarantino ? Auquel cas je vois pas l'interêt de me faire expliquer que Pulp Fiction est de la daube, à choisir je préfèrerais que le random qui aurait aimé mon curé chez les nudistes, camping et les visiteurs m'explique pourquoi.
Sans déconner, t'as oublié des mots ou bien ta logique est réellement aussi tortueuse ?
Cyclyk
4680
Squatteur·euse d’AF
Membre depuis 22 ans
oryjen
17492
Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 20 ans
Bah c'est un peu comme les fringues, les godasses et la couleur des chiottes... euh...non.
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L'artiste entrouvre une fenêtre sur le réel; le "réaliste pragmatique" s'éclaire donc avec une vessie.
Anonyme
65640
je reviens de Once Upon A Time :
bon je sais pas quoi en penser : bon film c'est acquis, ensuite, bon film seulement, très bon film, excellent film ? Amha ça serait vraiment histoire de gouts et d'émotions personnelles.
Bon il est long ok, mais en fait nan il est putain de sa race de la calotte de ses morts de loooooooooong : le montage est pas bien glop, amha si y avait eu facile 80mn en moins c'était pareil.
je veux dire qu'on bout de facile 1h30, l'intrigue est au point 0, on a pas avancé à aucun moment dans le récit. Bon, dans il étaot une fois en amérique, c'est pareil, dans mes souvenirs, le pourquoi du comment du coup de téléphone de la sonnerie du téléphone du début ne trouve explication qu'au bout de 2 bonnes heures.
A part ça, le duo d'acteurs est vraiment excellent et fonctionne super bien, c'est le 20/20 voire largement davantage, là à chaud j'ai jamais vu un duo d'acteurs tournant comme ça dans le ciné US, et là comme ça même dans le ciné français ça m'évoque que Ventura/Serrault dans Garde à vue.
J'ia vraiment beaucoup aimé la morale du film (en tout cas ce qui m'est apparu comme une morale )
!! attention vrai spoiler, cliquez que si vous avez vu le film.
bon je sais pas quoi en penser : bon film c'est acquis, ensuite, bon film seulement, très bon film, excellent film ? Amha ça serait vraiment histoire de gouts et d'émotions personnelles.
Bon il est long ok, mais en fait nan il est putain de sa race de la calotte de ses morts de loooooooooong : le montage est pas bien glop, amha si y avait eu facile 80mn en moins c'était pareil.
je veux dire qu'on bout de facile 1h30, l'intrigue est au point 0, on a pas avancé à aucun moment dans le récit. Bon, dans il étaot une fois en amérique, c'est pareil, dans mes souvenirs, le pourquoi du comment du coup de téléphone de la sonnerie du téléphone du début ne trouve explication qu'au bout de 2 bonnes heures.
A part ça, le duo d'acteurs est vraiment excellent et fonctionne super bien, c'est le 20/20 voire largement davantage, là à chaud j'ai jamais vu un duo d'acteurs tournant comme ça dans le ciné US, et là comme ça même dans le ciné français ça m'évoque que Ventura/Serrault dans Garde à vue.
J'ia vraiment beaucoup aimé la morale du film (en tout cas ce qui m'est apparu comme une morale )
!! attention vrai spoiler, cliquez que si vous avez vu le film.
Anonyme
24289
Silverfish Imperatrix
6599
Je poste, donc je suis
Membre depuis 7 ans
Anonyme
65640
Citation :
Plus que le montage, qui donne plutôt le rythme en fonction de la longueur des plans et des scènes, ce sont les choix narratifs qui sont à mettre en cause, des scènes n'apportant pas grand chose (l'incartade de Sharon Tate en ville est pour moi vraiment dispensable, et la seule scène à retirer du film).
Amha c'aurait gagné à ne figurer que dans une version longue/director's cut, plutôt qu'au ciné : comme tu le dis, ça casse les codes, et c'est pas forcément ininteressant, mais quand on voit le film pour une 1ere fois fat quand même être bien open.
Pour la morale (encore une fois, attention vrai spoil) :
@ JSK ; le titre de la vidéo n'est pas bien attirant ? Le mec démonte vraiment Tarantino ? Auquel cas je vois pas l'interêt de me faire expliquer que Pulp Fiction est de la daube, à choisir je préfèrerais que le random qui aurait aimé mon curé chez les nudistes, camping et les visiteurs m'explique pourquoi.
Anonyme
24289
Anonyme
2071
Anonyme
24289
Anonyme
2071
oryjen
17492
Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 20 ans
zekragash
16722
Membre d’honneur
Membre depuis 20 ans
Le monsieur te dis qu'il n'aime pas, pas la peine de lui faire l'article
oryjen
17492
Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 20 ans
Anonyme
65640
oryjen
17492
Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 20 ans
De plus, je ne sais pas si je vais réussir à le dire, mais on est au coeur du cinéma sur cette comparaison, j'ai l'impression.
8 Salopards, ça saigne beaucoup, on y souffre (et on y souffre bien: Bon acteurs!), c'est violent et cruel, mais c'est une violence, une cruauté "racontées"... Ca passe crème, c'est clairement identifiable en tant que "spectacle", "représentation". Du coup en regardant ça, quelque part, on est "spectateur" dans un sens moralement admissible, ou du moins admissible d'un point de vue sensible.
Reservoir Dogs, peut-être que j'étais jeune encore et pas assez endurci, peut-être que le contexte culturel était très différent ces années-là, peut-être plein de trucs, et peut-être que je suis trop sensible, tu le sais hein mon chéri, mais plus que spectateur je m'étais senti "voyeur". C'était pas tellement de la violence et de la cruauté "racontées", mais plutôt comme prises sur le vif, et comme l'idée que l'auteur adhérait à cet "état du monde" qu'il montrait. J'avais détesté ça.
On pourra discuter de la valeur artistique ou expressive de la chose, la trouver supérieure finalement, dans le sens où tu empêches le spectateur de trouver la distance, et où la représentation de trucs dégueus questionnent directement ceux qui regardent, le genre "voilà, c'est comme ça, ça vous fait quoi?".
Perso j'avais trouvé ça extrêmement déplaisant, comme une sorte de prise en otage, et finalement très basique au point de vue ciné, car basé sur la réaction épidermique.
En fait je trouve que 8 Salopards c'est du bien meilleur cinéma.
Reservoir Dogs, c'est très très fort (comme expérience à visionner), mais finalemet, il me semble que le cinéma c'est pas vraiment ça: Il faut que ce soit un spectacle. Et pour ce faire, le réal doit ménager une possibilité de distance pour le spectateur, le respecter.
Prendre les gens en otage, on pourra dire que c'est "un péché de jeunesse"?
Enfin, je ne suis pas sûr de le dire bien, tout ça...
8 Salopards, ça saigne beaucoup, on y souffre (et on y souffre bien: Bon acteurs!), c'est violent et cruel, mais c'est une violence, une cruauté "racontées"... Ca passe crème, c'est clairement identifiable en tant que "spectacle", "représentation". Du coup en regardant ça, quelque part, on est "spectateur" dans un sens moralement admissible, ou du moins admissible d'un point de vue sensible.
Reservoir Dogs, peut-être que j'étais jeune encore et pas assez endurci, peut-être que le contexte culturel était très différent ces années-là, peut-être plein de trucs, et peut-être que je suis trop sensible, tu le sais hein mon chéri, mais plus que spectateur je m'étais senti "voyeur". C'était pas tellement de la violence et de la cruauté "racontées", mais plutôt comme prises sur le vif, et comme l'idée que l'auteur adhérait à cet "état du monde" qu'il montrait. J'avais détesté ça.
On pourra discuter de la valeur artistique ou expressive de la chose, la trouver supérieure finalement, dans le sens où tu empêches le spectateur de trouver la distance, et où la représentation de trucs dégueus questionnent directement ceux qui regardent, le genre "voilà, c'est comme ça, ça vous fait quoi?".
Perso j'avais trouvé ça extrêmement déplaisant, comme une sorte de prise en otage, et finalement très basique au point de vue ciné, car basé sur la réaction épidermique.
En fait je trouve que 8 Salopards c'est du bien meilleur cinéma.
Reservoir Dogs, c'est très très fort (comme expérience à visionner), mais finalemet, il me semble que le cinéma c'est pas vraiment ça: Il faut que ce soit un spectacle. Et pour ce faire, le réal doit ménager une possibilité de distance pour le spectateur, le respecter.
Prendre les gens en otage, on pourra dire que c'est "un péché de jeunesse"?
Enfin, je ne suis pas sûr de le dire bien, tout ça...
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L'artiste entrouvre une fenêtre sur le réel; le "réaliste pragmatique" s'éclaire donc avec une vessie.
[ Dernière édition du message le 24/08/2019 à 11:29:29 ]
Anonyme
65640
# bonne violence vs mauvaise violence
mais sinon je vois bien ce que tu veux dire, puisque c'est exactement mon avis aussi, n'ayant vu reservori dogs que très dernièrement j'ai halluciné sur sa violence physique et verbale totalement gratuite et pas bien drôle.
mais sinon je vois bien ce que tu veux dire, puisque c'est exactement mon avis aussi, n'ayant vu reservori dogs que très dernièrement j'ai halluciné sur sa violence physique et verbale totalement gratuite et pas bien drôle.
Lola Tance
12481
Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 13 ans
Des truands une trahison les types sont pas là pour caresser des petits pandas....
Quentin Tarentino quoi amha.
Quentin Tarentino quoi amha.
[ Dernière édition du message le 24/08/2019 à 16:52:30 ]
Polaroil
13784
Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 17 ans
J'ai vu le Tarantino. Ce n'est pas son meilleur, mais la qualité habituelle de divertissement est là. Comme d'habitude, il ne faut pas chercher d'idéologie, de messages, le cinéaste se fait juste plaisir en immersion nostalgique dans une époque révolue. C'est le geek ou le fan qui est réac, mais comme il filme bien, les acteurs sont énormes - mention spéciale à Bruce Lee - et la musique est bonne (le Hush de Deep Purple pendant la descente en MG 
), ça passe bien malgré la longueur, il est vrai excessive.
Je me dis qu'il aime tellement les scénettes, que le format des séries vers lequel il semble vouloir aller, va bien lui aller.
J'ai vue de façon opportune sur Arte quelques docus sur Manson et sur le L.A. de cette époque, c'est assez fascinant. Tarantino ne traite d'ailleurs pas du tout le fond de l'époque, à part l'industrie d'Hollywood bien sûr.
- et la musique est bonne (le Hush de Deep Purple pendant la descente en MG ), ça passe bien malgré la longueur, il est vrai excessive.Je me dis qu'il aime tellement les scénettes, que le format des séries vers lequel il semble vouloir aller, va bien lui aller.
J'ai vue de façon opportune sur Arte quelques docus sur Manson et sur le L.A. de cette époque, c'est assez fascinant. Tarantino ne traite d'ailleurs pas du tout le fond de l'époque, à part l'industrie d'Hollywood bien sûr.
"And in the end, the love you take is equal to the love you make"
[ Dernière édition du message le 24/08/2019 à 23:05:48 ]
Dr Pouet
52038
Membre d’honneur
Membre depuis 21 ans
dana12
17910
Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 16 ans
Les Indiana Jones commencent comme ça il me semble, mais je croyais à un clin d’œil à son producteur distributeur Paramount
pour les autres, je n'ai pas remarqué
pour les autres, je n'ai pas remarqué
Incrédule sur tout, sceptique sur le reste
[ Dernière édition du message le 25/08/2019 à 19:14:25 ]
wildchild666
11218
Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 19 ans
wildchild666
11218
Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 19 ans
Silverfish Imperatrix
6599
Je poste, donc je suis
Membre depuis 7 ans
Anonyme
65640
Citation :
faudrait que je le remate parce qu'il y a moyen que j'accroche pas du tout.
Sans déconner, t'as oublié des mots ou bien ta logique est réellement aussi tortueuse ?
wildchild666
11218
Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 19 ans
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