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Le 1 était vraiment pas mal, si on accepte le côté too much de ce genre de film, par contre.
Ares, gros budget ? Heu, soit google se plante comme une merde, soit je me permets quelque scepticisme quant à ta notion de gros budget : pour moi 4 millions d'euros c'est pas un gros budget mais un budget incroyablement réduit pour un long métrage.
Ceci dit avec à 2 fois plus, ce qui est pas énorme dans l'absolu, les derniers jours du monde, film post apocalyptique, est d'un niveau totalement différent, les comparer serait une insulte.
Et toujours à titre de comparaison, babylon AD, pantalonnade post-apo sur un thème similaire et totalement loupé, c'est 70 millions.
Au delà du budget moi ce que je comprendrai jamais, c'est comment et pourquoi engager des acteurs vraiment très très mauvais : pas d'acteur, pas de film.
Là, l'acteur principal est un random suédois, vraiment très mauvais.
Tout à fait d'accord
Heu ? Tu veux dire qu'il s'est gaufré dans l'absolu et que le casting est pas bon (auquel cas c'est absolument pas mon avis du tout), ou qu'il pensait initiallement s'petre viandé, mais que le résultat final l'a rassuré lui et les spectateurs ?
Quand dans un film, une fois que tu l'as vu tu parviens pas à te dire qu'un autre acteur ou une autre actrice puisse avoir joué le même rôle (ce qui est faux, sauf exceptions amha un bon acteur peut en remplacer un autre poste pour poste), c'est que le casting frise le 20/20.
Je sais plus si c'est sur netflix ou arte replay, y a un super docu sur Lino Ventura, qui parle entre autres de ça.
Ventura était une vraie tpete de con sur les tournages, envoyer systématiquement promener un réa (dans le lot y avait des débutants futurs cadors comme JJ Anneaud ou C.Sautet, mais aussi des cadors comme Melville) lui demandant de faire un truc qu'il ne sentait pas.
Mais c'était pas un caprice de star, plutôt une intuition que ça passerait pas à l'écran, intuition d'ailleurs expliquée par Lino himself (le coup du verre d'eau à tenir dans la main est hyper instructif dnas le docu), et totalement admise par les réas en question, qui d'ailleurs ensuite ont fait leurs les conseils de Ventura.
Ventura qui n'était pas un acteur, il ne jouait pas au caméléon comme Ewan McGrgor peut le faire, passer d'un camé à un chevalier jedi ou un comptable, il avait toujours un peu le même rôle dans ses films.
LOTR bien sur
Anonyme
2071
dana12
17910
Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 16 ans
Sorry we missed you de Ken Loach (2019) avec Kris Hitchen, Debbie Honeywood, Rhys Stone...
On quitte la comédie sociale pour retrouver le Royaume Uni, ultra libéral et "ubérisé".
Comme d'hab avec Ken Loach, ça va direct au foie.
Pas d'alibi historique comme dans Le vent se lève ou Jimmy's hall. Il parle au présent, dans la société britannique, cauchemar pour les petits : contrats zéro heure et ubérisation.
Ça m'a rappelé son film sur la privatisation des chemins de fer Navigators ainsi que Raining stones. On pourrait trouver que Ken Loach ne se renouvelle pas beaucoup. je dirais plutôt qu'il a toujours quelque chose à dire et qu'il le dit bien !
On quitte la comédie sociale pour retrouver le Royaume Uni, ultra libéral et "ubérisé".
Comme d'hab avec Ken Loach, ça va direct au foie.
Pas d'alibi historique comme dans Le vent se lève ou Jimmy's hall. Il parle au présent, dans la société britannique, cauchemar pour les petits : contrats zéro heure et ubérisation.
Ça m'a rappelé son film sur la privatisation des chemins de fer Navigators ainsi que Raining stones. On pourrait trouver que Ken Loach ne se renouvelle pas beaucoup. je dirais plutôt qu'il a toujours quelque chose à dire et qu'il le dit bien !
Incrédule sur tout, sceptique sur le reste
[ Dernière édition du message le 24/11/2019 à 18:24:52 ]
Anonyme
2071
Anonyme
17065
Anonyme
65640
Le 1 était vraiment pas mal, si on accepte le côté too much de ce genre de film, par contre.
oryjen
17492
Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 20 ans
Revu La Cité de la peur, de et avec les Nuls.
Excellent. On dirait du Edika filmé.
Super humour, même dans les moments de lourdasserie assumée.
J'ai redécouvert le talent de Gérard Darmon en flic volage et médiatique.
Mention spéciale aux infos régionales niçoises ici et là à la télé couleurs
Excellent. On dirait du Edika filmé.
Super humour, même dans les moments de lourdasserie assumée.
J'ai redécouvert le talent de Gérard Darmon en flic volage et médiatique.
Mention spéciale aux infos régionales niçoises ici et là à la télé couleurs
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L'artiste entrouvre une fenêtre sur le réel; le "réaliste pragmatique" s'éclaire donc avec une vessie.
Anonyme
17065
Silverfish Imperatrix
6599
Je poste, donc je suis
Membre depuis 7 ans
Anonyme
65640
oryjen
17492
Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 20 ans
C'est pas Travolta qui milite actuellement pour la scientologie?
On ajoute aussi les Kurdes, les Ouigours, les insectes et les rossignols?
Citation :
Débat intéressant, surtout lorsque Océan a parlé de la nécessité d'une convergence des luttes pour toutes les minorités qui subissent des violences, des femmes voilées aux transgenres, des femmes de chambre exploitées du Park Hyatt Vendôme aux victimes d'agressions sexuelles, etc...
On ajoute aussi les Kurdes, les Ouigours, les insectes et les rossignols?
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L'artiste entrouvre une fenêtre sur le réel; le "réaliste pragmatique" s'éclaire donc avec une vessie.
[ Dernière édition du message le 27/11/2019 à 10:12:56 ]
Paul Ramone
456
Posteur·euse AFfamé·e
Membre depuis 8 ans
Point-virgule
8173
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Membre depuis 20 ans
sqoqo
7050
Je poste, donc je suis
Membre depuis 18 ans
YT : vu aussi 
Y a quelques idées pas mal, les labos faisant leur pub par la dope administrée aux combattants.
Et les CRS recrutés au coup par coup dans le lumpen..
Sinon, c'est en effet consternant.
Y a quelques idées pas mal, les labos faisant leur pub par la dope administrée aux combattants.
Et les CRS recrutés au coup par coup dans le lumpen..
Sinon, c'est en effet consternant.
Will Zégal
77678
Will Zégal
Membre depuis 23 ans
dana12
17910
Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 16 ans
jambesexy
7790
Je poste, donc je suis
Membre depuis 23 ans
Anonyme
65640
Citation :
Ča montre un peu les limites des films à gros budgets à mon avis...
Ares, gros budget ? Heu, soit google se plante comme une merde, soit je me permets quelque scepticisme quant à ta notion de gros budget : pour moi 4 millions d'euros c'est pas un gros budget mais un budget incroyablement réduit pour un long métrage.
Ceci dit avec à 2 fois plus, ce qui est pas énorme dans l'absolu, les derniers jours du monde, film post apocalyptique, est d'un niveau totalement différent, les comparer serait une insulte.
Et toujours à titre de comparaison, babylon AD, pantalonnade post-apo sur un thème similaire et totalement loupé, c'est 70 millions.
Au delà du budget moi ce que je comprendrai jamais, c'est comment et pourquoi engager des acteurs vraiment très très mauvais : pas d'acteur, pas de film.
Là, l'acteur principal est un random suédois, vraiment très mauvais.
[ Dernière édition du message le 28/11/2019 à 11:06:17 ]
Djeeloo
15878
Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 21 ans
Citation de Darth :
4 millions d'euros c'est pas un gros budget mais un budget incroyablement réduit pour un long métrage
Tout à fait d'accord
L'esprit c'est comme un parachute: Il marche mieux quand il est ouvert.
Will Zégal
77678
Will Zégal
Membre depuis 23 ans
Silverfish Imperatrix
6599
Je poste, donc je suis
Membre depuis 7 ans
Anonyme
65640
Citation :
Peter Jackson qui savait quand même déjà un peu faire des films s'est quand même bien gaufré sur une partie du casting de LOTR.
Heu ? Tu veux dire qu'il s'est gaufré dans l'absolu et que le casting est pas bon (auquel cas c'est absolument pas mon avis du tout), ou qu'il pensait initiallement s'petre viandé, mais que le résultat final l'a rassuré lui et les spectateurs ?
Quand dans un film, une fois que tu l'as vu tu parviens pas à te dire qu'un autre acteur ou une autre actrice puisse avoir joué le même rôle (ce qui est faux, sauf exceptions amha un bon acteur peut en remplacer un autre poste pour poste), c'est que le casting frise le 20/20.
Citation :
Mauvaise perception de ma part au tournage à cause du contexte ?
En tous cas, voir une scène semblant aussi excellente au tournage se retrouver mauvaise dans le film final, ça m'a laissé très songeur quand à la minceur de la ligne qui sépare un bon film d'un mauvais.
Je sais plus si c'est sur netflix ou arte replay, y a un super docu sur Lino Ventura, qui parle entre autres de ça.
Ventura était une vraie tpete de con sur les tournages, envoyer systématiquement promener un réa (dans le lot y avait des débutants futurs cadors comme JJ Anneaud ou C.Sautet, mais aussi des cadors comme Melville) lui demandant de faire un truc qu'il ne sentait pas.
Mais c'était pas un caprice de star, plutôt une intuition que ça passerait pas à l'écran, intuition d'ailleurs expliquée par Lino himself (le coup du verre d'eau à tenir dans la main est hyper instructif dnas le docu), et totalement admise par les réas en question, qui d'ailleurs ensuite ont fait leurs les conseils de Ventura.
Ventura qui n'était pas un acteur, il ne jouait pas au caméléon comme Ewan McGrgor peut le faire, passer d'un camé à un chevalier jedi ou un comptable, il avait toujours un peu le même rôle dans ses films.
Will Zégal
77678
Will Zégal
Membre depuis 23 ans
LOTR bien sur
Silverfish Imperatrix
6599
Je poste, donc je suis
Membre depuis 7 ans
The Irishman le fameux nouveau Scorcese pour Netflix, avec De Niro, Pacino, Pesci (extraordinaire), Keitel et une avalanche de gueules de mafieux qu'on a déjà vus partout.
Le plus dur c'était de trouver 3h30 pour le mater de façon assez continue, mais j'avoue que, habitué aux séries sur le canap', j'ai dû faire deux entractes.
Scorcese n'a pas son pareil pour raconter une histoire. On ne s'ennuie jamais, on entre dans la peau de Frank Sheeran (de Niro), homme de main, dès le début (ce plan initial qui amène à lui et à sa chevalière) pour ne le lâcher qu'à la fin du film: il est quasiment de tous les plans, dans l'univers des mafieux et dans un résumé de 20 ans d'histoire des USA, parfaitement intégré à la narration: Cuba, Kennedy, Nixon, le Watergate, Hoffa.
Le film a un aspect road-movie: Sheeran prend le volant au début du film, et on a l'impression qu'il nous conduit au long de l'histoire de sa vie, s'effaçant presque pour nous faire découvrir les personnages hauts en couleurs qu'il a fréquenté. La violence est assez contenue, pas de démonstration. La place des femmes est minime, contrairement aux Scorcese cités plus haut.
Un petit mot sur la CGI utilisée pour le rajeunissement des acteurs: surprenant au début, puis on s'habitue sans trop de mal.
Bref, 210 minutes de régal pour qui aime ce genre de films.
Un solide 9/10.
Le plus dur c'était de trouver 3h30 pour le mater de façon assez continue, mais j'avoue que, habitué aux séries sur le canap', j'ai dû faire deux entractes.
Scorcese n'a pas son pareil pour raconter une histoire. On ne s'ennuie jamais, on entre dans la peau de Frank Sheeran (de Niro), homme de main, dès le début (ce plan initial qui amène à lui et à sa chevalière
) pour ne le lâcher qu'à la fin du film: il est quasiment de tous les plans, dans l'univers des mafieux et dans un résumé de 20 ans d'histoire des USA, parfaitement intégré à la narration: Cuba, Kennedy, Nixon, le Watergate, Hoffa.Le film a un aspect road-movie: Sheeran prend le volant au début du film, et on a l'impression qu'il nous conduit au long de l'histoire de sa vie, s'effaçant presque pour nous faire découvrir les personnages hauts en couleurs qu'il a fréquenté. La violence est assez contenue, pas de démonstration. La place des femmes est minime, contrairement aux Scorcese cités plus haut.
Un petit mot sur la CGI utilisée pour le rajeunissement des acteurs: surprenant au début, puis on s'habitue sans trop de mal.
Bref, 210 minutes de régal pour qui aime ce genre de films.
Un solide 9/10.
Mon thread sur le jazz, principalement bop et post bop:
[ Dernière édition du message le 30/11/2019 à 12:18:00 ]
Vince_
22792
Vie après AF ?
Membre depuis 21 ans
Merci Will et Youtou pour l'anecdote et le conseil de docu Ventura.
Les Valseuses > la dernière fois que je l'ai vu, Nanssi devait jouer l'europe.
Bon bah ça ne va pas aider ma crise de la cocoricotaine.
En un mot comme en 39, j'ai adorer.
Amha y'a là une energie, une fraicheur , du bad ass cool naturel que recherche sans jamais égalé des réals comme Tarentino par exemple.
Si j'avais plus de poils, j'affirmerai préférer ce métrage à toute la filmo du pré-cité, ainsi que Depardieu et Dewaere à tout ses castings réunis.
Vive la trance.
Les Valseuses > la dernière fois que je l'ai vu, Nanssi devait jouer l'europe.
Bon bah ça ne va pas aider ma crise de la cocoricotaine.
En un mot comme en 39, j'ai adorer.
Amha y'a là une energie, une fraicheur , du bad ass cool naturel que recherche sans jamais égalé des réals comme Tarentino par exemple.
Si j'avais plus de poils, j'affirmerai préférer ce métrage à toute la filmo du pré-cité, ainsi que Depardieu et Dewaere à tout ses castings réunis.
Vive la trance.
Hors sujet :
Junichi's remix rap français////////////////Check rap français Vos avis ici
[ Dernière édition du message le 30/11/2019 à 01:28:35 ]
Point-virgule
8173
Je poste, donc je suis
Membre depuis 20 ans
Vu aussi The Irishman, mais un poil déçu. Assez d'accord pour dire qu'ils sont tous excellents, et que Pesci est génial. Scorsese sait bien entendu filmer de main de maître (les gueules des mafiosos à l'église 
). Mais je n'ai pas retrouvé l'intensité dramatique, les paradoxes, le foisonnement ou l'humour que l'on peut voir dans sa filmo. Le rajeunissement des visages des acteurs fonctionne bien mais leur jeu corporel reste celui d'acteurs de 70 balais bien tassés, enfin ce décalage se voit surtout avec De Niro dont l'animalité (pour le dire comme ça) a laissé la place à quelque chose d'un peu arthritique qui se voit dès qu'il est filmé en pied et se déplace et c'est encore pire quand il file des bourre-pifs (peu de scènes physiques cela dit et en dehors de ça il est excellent), Pacino s'en sort mieux de ce point de vue, tant il sait encore pousser des putains de gueulantes. Keitel est amha sous-exploité, peu de scènes, rôle minime dans l'intrigue.
Bon, j'étais très fatigué et un peu déprimé quand je l'ai vu mais j'ai eu le sentiment de voir un film de vieux (édit : ce qui fait aussi son charme) et que Scorsese a un peu viré catho premier degré là où c'était plus tordu ou absent dans ses autres films. Alors pourquoi pas on est évidemment à fond dans les ambiances de l'époque mais je trouve qu'il y a un je ne sais quoi de superficiel là dedans qui aurait dû être plus poussé, peut-être dans le remords et la mélancolie, mais aussi à filmer un peu plus le contexte syndical et historique de l'époque, (édit: et aussi la vieillesse). C'est peut-être abusé comme comparaison mais Il était une fois en Amérique est quand même d'un autre calibre sur l'enchaînement parcours personnel, époque et fin de vie des personnages...
Edit : Après, ça fait vraiment plaisir de les revoir ensemble. Y a que Scorsese pour faire ça.
Spoil.
). Mais je n'ai pas retrouvé l'intensité dramatique, les paradoxes, le foisonnement ou l'humour que l'on peut voir dans sa filmo. Le rajeunissement des visages des acteurs fonctionne bien mais leur jeu corporel reste celui d'acteurs de 70 balais bien tassés, enfin ce décalage se voit surtout avec De Niro dont l'animalité (pour le dire comme ça) a laissé la place à quelque chose d'un peu arthritique qui se voit dès qu'il est filmé en pied et se déplace et c'est encore pire quand il file des bourre-pifs (peu de scènes physiques cela dit et en dehors de ça il est excellent), Pacino s'en sort mieux de ce point de vue, tant il sait encore pousser des putains de gueulantes. Keitel est amha sous-exploité, peu de scènes, rôle minime dans l'intrigue.Bon, j'étais très fatigué et un peu déprimé quand je l'ai vu mais j'ai eu le sentiment de voir un film de vieux (édit : ce qui fait aussi son charme) et que Scorsese a un peu viré catho premier degré là où c'était plus tordu ou absent dans ses autres films. Alors pourquoi pas on est évidemment à fond dans les ambiances de l'époque mais je trouve qu'il y a un je ne sais quoi de superficiel là dedans qui aurait dû être plus poussé, peut-être dans le remords et la mélancolie, mais aussi à filmer un peu plus le contexte syndical et historique de l'époque, (édit: et aussi la vieillesse). C'est peut-être abusé comme comparaison mais Il était une fois en Amérique est quand même d'un autre calibre sur l'enchaînement parcours personnel, époque et fin de vie des personnages...
Edit : Après, ça fait vraiment plaisir de les revoir ensemble. Y a que Scorsese pour faire ça.
Spoil.
« La vie sans musique est tout simplement une erreur, une fatigue, un exil. », Friedrich Nietzsche. ♫
[ Dernière édition du message le 01/12/2019 à 23:33:51 ]
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