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Mais oui ma chatte, bien sûr. Moi ya rien qui me frustre plus que l'on me réponde par une phrase minable après avoir tenté de chier une analyse un peu "poussée", alors comme je suis fondamentalement bon :
Poseur, certainement. Je n'ai pas vu la trilogie pusher dont tu parles, mais j'avais beaucoup aimé Bronson et en fait je trouve la comparaison (même si elle saute aux yeux a priori) avec Orange Mécanique un peu boiteuse.
Bref pour Drive, niveau scénar j'ai adoré ce rythme complètement déstructuré, finalement, la violence n'intervient pas vraiment quand je l'attendais. Et j'ai aimé aussi le fait que l'on nous propose seulement une tranche de vie des personnages : à quasiment aucun moment, on sait d'où ces types viennent, comment ils en sont arrivés là, etc... Ici, je n'y vois aucun ersatz d'un très surestimé De Palma ou autre.
L'esthétique de la violence, c'est mon dada et je trouve vraiment réussi le contraste entre la gueule d'ange de Gosling, cette niaiserie dont il peut faire preuve, et cette froideur tant dans les exécutions que dans la conduite (à ce sujet, la première poursuite est un bijou, on se croirait dans Duel, ou comment faire un suspense intenable avec trois fois rien). La scène de l'ascenseur est complètement irréaliste, rien à voir avec Irreversible je pense : les coups sont assénés sans aucun recul, la violence ou la haine est totalement absente du personnage, pourtant c'est bien dans un tas d'os (clin doeil à Rourke dans Sin City ?) que frappe Gosling ! J'ai trouvé ça magique, et puis bien sûr, toujours dans cette lumière divine qui nous a pas lâché depuis le départ.
Là globalement, +1. Si l'actrice ajoute sa touche de niaiserie et de candeur au film ce qui est pas mal, elle ne m'a pas transporté, comme la plupart des autres acteurs excepté Gosling en fait : Perlman a effectivement un rôle bidon. Ce mec est fait pour les rôles de gros bras méchant et sadique (je suis fan de SOA, et ça me fait mal de le voir aussi banal et peu calculateur). L'autre de Breaking Bad n'est pas mauvais dans le style "père de substitution un peu gauche", et son exécution, bien que classique, est culte j'ai trouvé, mais on est loin d'un rôle de grande classe. Par contre le père de famille là est super j'ai trouvé.
Mais non, ya pas à tortiller du cul : l'intérêt principal du film, c'est Gosling : raie blondinette sur le côté, blouson d'une mocheté quasi mystique, poker face, 15 tirades en 1h40 et une poignée de morts. Ce mec est clairement élevé au rang de Dieu (ou plutôt une de ses anges-putes) rendant son jugement divin, je te le dis !
wildchild666
11317
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Membre depuis 18 ans
Citation :
Oh l'aut' éh hein, ça va oh éh, on est pas obligé d'être d'accord sur drive mon chaton.
Mais oui ma chatte, bien sûr. Moi ya rien qui me frustre plus que l'on me réponde par une phrase minable après avoir tenté de chier une analyse un peu "poussée", alors comme je suis fondamentalement bon :
Poseur, certainement. Je n'ai pas vu la trilogie pusher dont tu parles, mais j'avais beaucoup aimé Bronson et en fait je trouve la comparaison (même si elle saute aux yeux a priori) avec Orange Mécanique un peu boiteuse.
Bref pour Drive, niveau scénar j'ai adoré ce rythme complètement déstructuré, finalement, la violence n'intervient pas vraiment quand je l'attendais. Et j'ai aimé aussi le fait que l'on nous propose seulement une tranche de vie des personnages : à quasiment aucun moment, on sait d'où ces types viennent, comment ils en sont arrivés là, etc... Ici, je n'y vois aucun ersatz d'un très surestimé De Palma ou autre.
L'esthétique de la violence, c'est mon dada et je trouve vraiment réussi le contraste entre la gueule d'ange de Gosling, cette niaiserie dont il peut faire preuve, et cette froideur tant dans les exécutions que dans la conduite (à ce sujet, la première poursuite est un bijou, on se croirait dans Duel, ou comment faire un suspense intenable avec trois fois rien). La scène de l'ascenseur est complètement irréaliste, rien à voir avec Irreversible je pense : les coups sont assénés sans aucun recul, la violence ou la haine est totalement absente du personnage, pourtant c'est bien dans un tas d'os (clin doeil à Rourke dans Sin City ?) que frappe Gosling ! J'ai trouvé ça magique, et puis bien sûr, toujours dans cette lumière divine qui nous a pas lâché depuis le départ.
Citation :
l'histoire d'amour est d'une banalité chiante et ne se justifie que par cette scène dans l'ascenseur. Gosling, ça passe.
Là globalement, +1. Si l'actrice ajoute sa touche de niaiserie et de candeur au film ce qui est pas mal, elle ne m'a pas transporté, comme la plupart des autres acteurs excepté Gosling en fait : Perlman a effectivement un rôle bidon. Ce mec est fait pour les rôles de gros bras méchant et sadique (je suis fan de SOA, et ça me fait mal de le voir aussi banal et peu calculateur). L'autre de Breaking Bad n'est pas mauvais dans le style "père de substitution un peu gauche", et son exécution, bien que classique, est culte j'ai trouvé, mais on est loin d'un rôle de grande classe. Par contre le père de famille là est super j'ai trouvé.
Mais non, ya pas à tortiller du cul : l'intérêt principal du film, c'est Gosling : raie blondinette sur le côté, blouson d'une mocheté quasi mystique, poker face, 15 tirades en 1h40 et une poignée de morts. Ce mec est clairement élevé au rang de Dieu (ou plutôt une de ses anges-putes) rendant son jugement divin, je te le dis !
- Vous êtes contre tout ce qui a été fait depuis la dernière guerre...
- Vous vous trompez de date. Je suis contre tout ce qui a été fait depuis Adam
-Liam-
4819
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gromeul
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Tu es fou toi 
...
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A ce stade c'est plus de la folie, on peut même franchement parler de connerie 
greggreg
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vodevil
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Je poste, donc je suis
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wildchild666
11317
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