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fairbec
Le permier est tout simplement exceptionnel : une richesse de dialogues exceptionnelle et une construction à l'americaine. marque de fabrique canadienne?
Le second aurait pu etre tres bon s'il etait sorti avant Amélie...
speedkills
Les pièces en film, faut vraiment arrêter
Le train de tes injures roule sur le rail de mon indifférence.
oryjen
Couleur de peau : miel
Des graphismes un peu étranges
C'est vrai que ça change des platitudes du stido Ghibli, c'est un peu le saut dans l'inconnu! Le dessin est très beau je trouve, assez personnel, et le rendu des volumes ne flanche jamais malgré l'animation. Un modèle!
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L'artiste entrouvre une fenêtre sur le réel; le "réaliste pragmatique" s'éclaire donc avec une vessie.
Anonyme
Iran Japon France
2012
Dans un bar une jeune femme se dispute au téléphone avec son petit ami.
Dans mes courts synopsis j'essaye de ne révéler que le début dans sa plus strict
objectivité. Bon là c'est vrai c'est très très court mais c'est vraiment comme ça que
cela commence.
En dire plus risque de donner une image faussée du film et de le réduire à pas grand chose.
C'est ce à quoi beaucoup de critiques qui n'ont pas aimé le film se sont livrés et je pense que c'est une erreur.
L'histoire (scénario me semble inadapté) se résume en une ligne mais ici l'histoire ne se limite pas aux personnages mais s'étend aussi à ce qui tourne autour et qui se révèle peu à peu.
Comme disait Godard:
" Il y a le visible et l’invisible.
Si vous ne filmez que le visible, c’est un téléfilm que vous faites."
Kiarostami illustre parfaitement cette citation dans ce film et y ajoute même l'idée de miroitement, de reflet qui montre ou cache selon ce qui est projeté. Ce qui est visible devient quelques fois invisible et vice-versa, autant pour les traits de caractères des personnages que leurs traits physiques et les contextes dans lesquels ils sont filmés.
Les acteurs m'ont tous paru très bons.
Techniquement c'est éblouissant.
Photo à tomber par terre, plans et placements de caméra pertinents, mise en scène "simple" mais
efficace.
Son exceptionnel non pas seulement pour la qualité mais par la façon dont il nous immerge dans le différente(s) environnement/scènes. Il faut dire qu'à part deux ou trois standards de jazz ici et là, la musique est absente, ce qui permet donc "d'entendre le film".
Honnêtement si on ne m'avait pas dit que c'est un film de Kiarostami je ne l'aurais pas deviné.
Ça ressemble vraiment à ces films asiatiques "lents" que l'on aime ou que l'on fuit, des films
comme on voit régulièrement venir d'Iran aussi.
Moi j'ai vraiment beaucoup apprécié ces 1h50 que je n'ai pas vue passer.
le reverend
Citation :
Ça ressemble vraiment à ces films asiatiques
l'Iran, ça serait pas en Asie, des fois ?
Putain, 22 ans que je traine sur AF : tout ce temps où j'aurais pu faire de la musique ! :-( :-)
le reverend
Putain, 22 ans que je traine sur AF : tout ce temps où j'aurais pu faire de la musique ! :-( :-)
vodevil
Pas top, pas grand chose à garder. Le jeu Proust, que j'aime bien en solo d'habitude, est assez consternant. Le côté bobo slash j'ai de la thune slash j'suis trop bonne slash j'suis spontanée et pleine de vie slash j'ai des lunettes qui font croire que je suis de la haute slash c'est pas ma faute (cf Louise Bourguin) devient vite insupportable. Un film fait pour (et par) Canal + , qui colle bien à la médiocrité des programmes de la chaîne suc-nommé depuis quelques temps. Dommage, j'avais adoré 99 francs.
C'est quand qu'on va où?
[ Dernière édition du message le 17/10/2012 à 14:07:44 ]
Pictocube
Le prend pas mal mais je t'identifie complètement à la sphère des personnages de ce film.
Tant qu'il y aura des couilles en or, il y aura des lames en acier
vodevil
C'est quand qu'on va où?
vodevil
C'est quand qu'on va où?
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