Derniers films vus
- 59 278 réponses
- 698 participants
- 1 979 430 vues
- 564 followers
fairbec
Le permier est tout simplement exceptionnel : une richesse de dialogues exceptionnelle et une construction à l'americaine. marque de fabrique canadienne?
Le second aurait pu etre tres bon s'il etait sorti avant Amélie...
KoalaMan
J'ai pas trop aimé, mais javé beaucoup de train à faire et que ça de téléchargé sur mon téléphone. Je comprends le principe du néo-noir bien dans son époque avec des SMS et des machins technologiques, mais l'histoire racontée n'est quand même pas bien crédible ni très intéressante. Et pas mal de queues de poisson dans le scénario (genre on passe les 3/4 du film à chercher une meuf, et en fait, haha, la meuf elle a changé de pays, tout simplement - un coup de Google et on aurait pu le savoir plus rapidement, bande de larves).
On ne voit bien qu'avec les yeux. Le cœur est invisible pour l'essentiel.
empism
L'original est un peu longuet, ça se regarde comme un feuilleton allemand, mais j'aimais le duo avec la geek et le journaliste. C'est assez plat quoi, mais rien d'insupportable.
Message écrit en mode HTML
Dr Pouet
Citation :Moi c'est Rogue One.
Et toi?
Dead Man....
c'est bien ?
Rhââââ j'ai complètement adoré Dead Man.
will_bru
Mais j'aime bien aussi les Avengers et Les 7 mercenaires (le vieille version et la nouvelle un peu aussi mais pas trop). Mais je ne m'avancerais pas à dire que l'un ou l'autre c'est de la merde.
C'est marrant j'ai l'impression diffuse d'avoir déjà eu ce débat il y a quelques années.
Merci sqoqo.
One Breath III : WBBTMR - One Breath III
"Like a guitar solo in a coffee shop, Bunt Magnet strums the strings of nostalgia and sarcasm with equal flair."
oryjen
la morale est guidée d'avance.
N'importe quoi, sur Le Prestige.
Il n'y a justement aucune morale.
Perso j'ai aimé la narration tarabiscotée, justement, originale (enfin, c'est Priest qui est original dans l'affaire, hein... mais Nolan a saisi le principe narratif, sans le copier, puisque le bouquin est basé sur un échange épistolaire, et il a inventé la forme adéquate) parce que précisément elle évite le jugement, et c'est notable pour du cinéma américain.
C'est fin et subtil, et en même temps c'est "grand public".
En fait c'est le côté "grand public" qui te colle des boutons, je parie.
Et y'a écrit Nolan au générique. Haoui le blaireau qui se tape du Batman au kilomètre et tous ces enfantillages.
Donc c'est nul.
Bref...
Et +1 avec will: C'est rigoureusement interdit, sur un forum, de se contenter de dire "c'est de la merde" sans expliquer au minimum qui je suis, d'où je parle, selon quel angle de vue, et pourquoi je dis ça.
Sauf pour effet comique évidemment.
Mais là c'était pas du tout le cas si j'ai bien tout compris. C'était juste fait pour asséner au monde ébahi je ne sais quelle expertise.
Juste mon avis sur le problème en général, et je dis ça parce qu'on est aux prises avec ce cancer dans tous les domaines de la pensée depuis une trentaine d'années: Il ne suffit jamais d'AVOIR des références. D'avoir thésaurisé par-devers soi des tonnes de documentation.
La référence, comme unique justification pour juger (tout comme la citation d'ailleurs, comme unique justification pour parler), c'est la mort de la culture.
Si tu n'es pas capable de dire en quoi tes références se rattachent à la pensée, à quelle pensée, et de quelle manière, autant collectionner les catalogues de La Redoute depuis 1963: personne n'en a rien à foutre que tu aies eu la regrettable obstination de te taper compulsivement la compulsion de tel ou tel pensum.
Et pour finir, mon point de vue à propos de références et de pensée: L'élégance ultime en ce domaine, c'est d'user d'une pensée bien nourrie et bien conduite, en passant sous silence le travail que ça a pu représenter comme construction et documentation.
Parce que si tu as fait un bon usage du document, ta pensée a hérité de sa force, et a acquis une puissance qui se suffit à elle-même. Inutile d'infliger à l'univers la liste des références qui sont censées légitimer l'inanité de ta conversation.
--------------------------------------------------------------------------------
L'artiste entrouvre une fenêtre sur le réel; le "réaliste pragmatique" s'éclaire donc avec une vessie.
[ Dernière édition du message le 13/01/2017 à 07:53:50 ]
gojats
Ayant étudié Enid Blyton de A à Z sans dessus dessous et sans devant derrière, je peux te dire que tu n'as pas forcément tort...
Un esprit sein dans un... cornichon ?
Le tout venant a été piraté par les mômes, on se risque sur le bizarre : https://soundcloud.com/gojats
Anonyme
dana12
Incrédule sur tout, sceptique sur le reste
Djardin
Ah j'ai vu la trilogie Millenium aussi. L'originale, en suédois (et sans les sous-titres bandes de larves).
J'ai pas trop aimé, mais javé beaucoup de train à faire et que ça de téléchargé sur mon téléphone. Je comprends le principe du néo-noir bien dans son époque avec des SMS et des machins technologiques, mais l'histoire racontée n'est quand même pas bien crédible ni très intéressante. Et pas mal de queues de poisson dans le scénario (genre on passe les 3/4 du film à chercher une meuf, et en fait, haha, la meuf elle a changé de pays, tout simplement - un coup de Google et on aurait pu le savoir plus rapidement, bande de larves).
le 1er est bien en flim policier. les suites à base d'espionnage et tout le tralala, ça n'a pas grand intérêt.
Référence en matière de bon gout capillaire et vestimentaire.
homme à tête de zizi.
empism
Citation de oryjen
C'est fin et subtil, et en même temps c'est "grand public".
En fait c'est le côté "grand public" qui te colle des boutons, je parie.
Encore un procés d'intention à la mord-moi-le noeud.
Si il y a un cineaste adoubé par Hollywood ( parce que Hollywood c'est international, hein, c'est pas les états-unis, le pédigrée des auteurs et acteurs est très varié ) qui n'est pas subtil, je dirais que c'est Nolan ( j'élimine préalablement les ambulances comme Bay...)
Sa manière d'amener les choses est vulgaire, il se sert de la "musique". Personne ne doit se servir de la musique, elle doit intervenir, parfois, en décalé, comme dans Blow-Up ( Antonioni ). Lui, il nous propose une espèce de bouillasse à chaque moment qui devrait, si elle était absente, induire un moment de tension chez le spectateur. Il est tout le temps en train de guider, d'expliquer, il prend les gens pour des cons. C'est un républicain. Il a pas confiance, il pense que si wall street s'effondre les gens sortiront pour piller et s'entretuer dans la rue. C'est un republicain, il est fondamentalement bête. Il a pas confiance, il a besoin d'expliquer sa vision du monde simpliste de gars qui a pas confiance et qui pense que l'enfer remonte à la surface. Son premier film avait l'avantage d'être très inspiré par le Bresson de Pickpocket, on voyait pas encore trop sa bétise.
Ps : pas besoin de répondre, faut pas se sentir obligé.
Message écrit en mode HTML
[ Dernière édition du message le 13/01/2017 à 19:53:42 ]
- < Liste des sujets
- Charte