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fairbec
Le permier est tout simplement exceptionnel : une richesse de dialogues exceptionnelle et une construction à l'americaine. marque de fabrique canadienne?
Le second aurait pu etre tres bon s'il etait sorti avant Amélie...
Anonyme
à l'image du fils débile
l'excellent acteur mort en dedans, et ado boutonneux probablement puceau, qui a incarné gaston lagaffe dernièrement ?
[ Dernière édition du message le 23/05/2018 à 14:09:38 ]
Traumax
Je vois pas ce qui peut justifier pour quelqu'un de sain d'esprit de vouloir regarder ne serait-ce qu'une seconde de ces merdes.
C'était pendant la pub de top gear. Ou alien theory. Ou Les armes secrètes d'Hitler.
le reverend
Putain, 22 ans que je traine sur AF : tout ce temps où j'aurais pu faire de la musique ! :-( :-)
oryjen
Life. origine inconnue.
C'est une grosse merde se voulant anxiogène pour pucelle à la tronche luisante de boutons.
D'ailleurs c'est encore un négre qui morfle le premier.
Je parie que c'est un film américain.
J'avais dû tenir 15mn tellement ça fait peu... euh, tellement c'est con.
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L'artiste entrouvre une fenêtre sur le réel; le "réaliste pragmatique" s'éclaire donc avec une vessie.
[ Dernière édition du message le 27/05/2018 à 00:11:03 ]
Anonyme
Japon 1964
Adaptation du roman de Kôbô Abé dont voici le quatrième de couverture:
Un professeur parti à la découverte de quelque insecte des sables échoue dans un petit village du fond des dunes ― village dont il ne pourra plus sortir. Comme les autres habitants, le voilà prisonnier du sable : le sable qui envahit tout, qui s'infiltre dans la moindre fissure et qu'il faut sans répit rejeter. Particulièrement dans le trou où est tapie la maisonnette qu'il habite en compagnie d'une femme fruste, vraie maîtresse-servante. Jour après jour, mois après mois, l'homme et la femme rejettent le sable. Cet esclavage est la condition même de leur survie. Lassé de cette routine, l'homme tentera de s'échapper, de retrouver sa liberté
Le film est assez fidèle au roman. Il manque toutefois des réflexions que se fait le captif, mais les plus représentatives sont évoquées par une voix-off. Mention spéciale pour l'actrice Kyôko Kishida qui propose un approche plus "dynamique" du personnage de la femme, sans trahir sa nature avec son charme si étrange. Techniquement il y a de très beaux plans, le décor est exceptionnel et l'éclairage aux petits oignons. Si vous n'avez pas lu le livre et que vous n'avez pas l'intention de le faire vous pouvez regarder le film "les yeux fermés" j'ai envie de dire. Et puis vous éviterez du coup la traduction accidentée de Georges Bonneau. Il existe en VO sous-titrée anglais sur YT et dans une qualité relativement correcte.
Anonyme
Japon 1969
Un sculpteur aveugle enlève et séquestre dans son atelier un modèle pour la soumettre à l'empire des sens afin qu'elle devienne une statue idéale. Comprenant après plusieurs vaines tentatives qu'elle ne pourra fuir ce cauchemar, la victime est peu à peu attendrie et envoûtée par son bourreau...
https://fr.wikipedia.org/wiki/La_B%C3%AAte_aveugle
Là encore c'est une adaptation d'un roman, celui éponyme écrit par Edogawa Ranpo. Ne l'ayant pas lu je ne peux pas me prononcer sur cette adaptation, mais je pense toutefois qu'il doit manquer des choses dans le film, notamment les subtilités menant au basculement du mannequin dans l'univers de l'homme qui la séquestre. Du coup j'ai trouvé la transition vers la dernière partie du film un peu rapide. Mais rien que pour la façon dont le film fini, le visionnage vaut le coup. Pas tant en terme d'image mais plutôt de voir jusqu'où les choses peuvent aller et comment elles finissent. L'actrice (Midori Mako) surjoue un peu trop à mon goût. L'acteur (Eiji Funakoshi) m'a semblé plus juste. Il y a quelque chose d'un peu cheap dans ce film en terme de mise en scène ou de décor. Je ne saurais pas dire à quoi c'est dû mais c'est une impression qui m'a un peu gêné pendant le visionnage. Thématique/idée pas banale pour un film singulier. Ça m'a donné envie de lire le livre dans tous les cas. Petite curiosité donc mais pas indispensable.
[ Dernière édition du message le 29/05/2018 à 15:43:27 ]
Anonyme
https://www.theguardian.com/film/2018/may/29/antony-beevor-the-greatest-war-movie-ever-and-the-ones-i-cant-bear
Pictocube
Vu un profil pour 2.
Je m'attendais à un navet chiant, j'avais pas vu le nom du réal, ça passe tout seul, parce que c'est bien fait.
Si vous cherchez une comédie romantique sympa qui finit bien et où on s'emmerde pas, testez.
Tant qu'il y aura des couilles en or, il y aura des lames en acier
empism
Qu'est-ce que veut dire Depardon dans 12 jours ? Pourquoi au générique il remercie les juristes de l'UMD de lui avoir "prêté" leur temps. Prêté leur temps à quoi ? C'est une comédie ? La supplique des gens enfermés qui viennent réclamer leur liberté dans un simulacre de procès, une farce. Au moins quand on prend une photo, on vole.
On voit ces gens hagards parce que bourrés de neuroleptiques ( regard fixe, œil jaune, suées... ) essayer de convaincre une ou un "juge des libertés" de l'amélioration de leur "cas" avec leur avocat.
Certes, ça fout la haine, c'est assez stérile. je préfère relire Foucault et voir son analyse des systèmes administratifs pénitentiaires qui commence d'ailleurs par une scène de torture. Eh oui, François Damiens, c'était hier. Quelle entrée en matière judicieuse. L’administration, la torture. ( il a copié le passage entier du compte-rendu de l’exécution le salaud, mais ça valait le coup ). Sinon, rien de nouveau depuis Titicut Follies.
Le vol, la copie, la folie, le procès, le compte-rendu.
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