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fairbec
Le permier est tout simplement exceptionnel : une richesse de dialogues exceptionnelle et une construction à l'americaine. marque de fabrique canadienne?
Le second aurait pu etre tres bon s'il etait sorti avant Amélie...
Polaroil
"And in the end, the love you take is equal to the love you make"
Anonyme
Frajean
Oui, même si Spielberg nous recycle finalement les madeleines qu'il a créés dans les 70-80's ...
Spielberg a beau avoir recyclé tous les clichés des années 70 à 90, plus une overdose d'action, d'effets spéciaux et d'explosions (l'habituel menu de tous les blockbusters américains), ça m'a profondément ennuyé. Une impression de tout déjà vu, de copier/coller d'autres films, d'acteurs sans charisme, de dessin animé survitaminé jusqu'au too much, de Bessonade façon Valérian multipliée par 10.
Bref, beaucoup de bruit pour pas grand chose. Un Spielberg qui ne restera pas dans l'histoire du cinéma, vite oublié et remplacé par le prochain méga-super-blockbuster-de-la-mort.
oryjen
Dans ce film je n'arrive hélas qu'à voir une sous culture de masse qui promeut des efforts et les succès virtuels, un opium du peuple pour limiter les ambitions et les révoltes.
+1000
On nous prend pas un peu pour des canards sauvages, nan?
Cette idole de la culture pop est (fatalement) devenu avec les ans un putain de collabo, comme notre Kouchner national et ce bon vieux Dany-le-Rouge (de honte il devrait l'être, voui).
Et voilà tout.
Et références mon cul: Les références c'est juste de la vaseline. Tous les fions s'ouvrent gaiement à ce vain mot.
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L'artiste entrouvre une fenêtre sur le réel; le "réaliste pragmatique" s'éclaire donc avec une vessie.
[ Dernière édition du message le 10/07/2018 à 19:50:59 ]
Polaroil
"And in the end, the love you take is equal to the love you make"
Dr Pouet
Citation de Polaroil :Oui, même si Spielberg nous recycle finalement les madeleines qu'il a créés dans les 70-80's ...
Spielberg a beau avoir recyclé tous les clichés des années 70 à 90, plus une overdose d'action, d'effets spéciaux et d'explosions (l'habituel menu de tous les blockbusters américains), ça m'a profondément ennuyé. Une impression de tout déjà vu, de copier/coller d'autres films, d'acteurs sans charisme, de dessin animé survitaminé jusqu'au too much, de Bessonade façon Valérian multipliée par 10.
Bref, beaucoup de bruit pour pas grand chose. Un Spielberg qui ne restera pas dans l'histoire du cinéma, vite oublié et remplacé par le prochain méga-super-blockbuster-de-la-mort.
Comme tous les Spielberg (à part Duel).
Un excellent technicien, mais pas un artiste.
oryjen
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L'artiste entrouvre une fenêtre sur le réel; le "réaliste pragmatique" s'éclaire donc avec une vessie.
[ Dernière édition du message le 10/07/2018 à 22:55:08 ]
Buzzless
je n'y ai pas trouvé de référence à "short circuit"... vous si ?
(à part buckaroo banzaï)
Drôle, pertinent, ou informatif qu'y disaient ... Et sans fautes !
[ Dernière édition du message le 11/07/2018 à 00:50:21 ]
W-Addict
Anonyme
Citation :Dans ce film je n'arrive hélas qu'à voir une sous culture de masse qui promeut des efforts et les succès virtuels, un opium du peuple pour limiter les ambitions et les révoltes.
+1000
On nous prend pas un peu pour des canards sauvages, nan?
Cette idole de la culture pop est (fatalement) devenu avec les ans un putain de collabo, comme notre Kouchner national et ce bon vieux Dany-le-Rouge (de honte il devrait l'être, voui).
Et voilà tout.
Et références mon cul: Les références c'est juste de la vaseline. Tous les fions s'ouvrent gaiement à ce vain mot.
Tiens voilà jean mifiel. Franchement, un mec qui méprise la culture pop et ceux qui l'apprécient, méprise un film sur la culture pop et ceux qui l'apprécient, what a big surprise. Tu sais si tu ne comprends pas un truc ce n'est pas grave, t'es juste pas obligé de prendre les autres pour des cons. Si je t'explique que jurassic park est un film sur le féminisme et pas juste un truc avec de gros dinos tu vas t'esclaffer...
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