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Derniers films vus

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Sujet de la discussion Derniers films vus
Pour ma part ce w-e, c'est 'les invasions barbares' (d. arcand) et 'goodbye lenin!' (w. becker)

Le permier est tout simplement exceptionnel : une richesse de dialogues exceptionnelle et une construction à l'americaine. marque de fabrique canadienne?

Le second aurait pu etre tres bon s'il etait sorti avant Amélie...
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52391
Cypher, c'est noté. Merci.
52392
"A l'ouest rien de nouveau" (1930), oeuvre précurseur du mouvement hippie :-D
butterfly.jpg

Bon on en rigole mais c'est un film assez déprimant. Interdit sous le régime Nazi, et en le regardant on comprend vite pourquoi ;)

"Hold it to your ear and hear the ocean ..."

[ Dernière édition du message le 22/04/2019 à 08:50:52 ]

52393
Citation :
oeuvre précurseur

Précurseuse, plutôt.

Mon thread sur le jazz, principalement bop et post bop:

Wham Bam Jazz

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x
Hors sujet :
Interdit parce que US en premier lieu, et tiré d'un bouquin qui a lui-même servi à démarrer le feu en 33 (car dénonçant les atrocités de la WW1, ce qui n'était pas en phase avec le message du moment véhiculé par le taré moustachu)

'voyez la dune là-bas ?... Ben derrière, y'a les plus belles roses des sables de tout le Niger... Eh ben elle a voulu aller voir !

52395
Vu Alien Covenant.
Je regrette, c'est une grosse merde.
En gros pour la Xième fois ils ont refait "comment refaire la même que la première fois où ça avait si bien marché".
Autant le premier Alien était un coup de tonnerre au niveau esthétique, réal, jeu d'acteurs, scénar, autant refaire la resucée 40 ans plus tard c'est au-dessous de tout.
A part la scène de destruction sur la planète des ingénieurs, y a rien à garder.

Je regrette.

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L'artiste entrouvre une fenêtre sur le réel; le "réaliste pragmatique" s'éclaire donc avec une vessie.

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La vie des autres de Florian Henckel von Donnersmarck

Bonne réa, bon jeu. Pas d'excès. Un peu trop de violons, en ce qui concerne la BOF. Film marquant, cependant.
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Rebelles d'Allan Mauduit. Un bon polar avec un trio d'actrices épatantes, Audrey Lamy, Yolande Moreau et Cécile de France.
Ça se mate bien, un ton pas sérieux, un peu comédie sociale. On s'est bien régalé.
52398
Là je fais dans les biographies et le grand écart :

Vu Whitney, bio de Whitney Houston. Son histoire est curieusement proche de celle d'Amy Winehouse, mais avec de la musique de merde. Une technique de voix de dingue, dans une tradition gospel légèrement ringardisée et une époque où on mesurait le talent à la pression acoustique. Un père sulfureux, des traumatismes d'enfance, des boyfriends bad boys, et paf la Whitney. Plongée assez glauque dans les eighties, ponctuée de quelques moments vocaux mémorables comme même.

Come inside my head, bio de Robin Williams.
Un type assez fascinant, attachant, drôle, avec un dark side à la hauteur de son talent. A la fois joyeux et triste, un très bon docu.


"And in the end, the love you take is equal to the love you make"

Mes annonces de matériel guitare

[ Dernière édition du message le 23/04/2019 à 10:46:57 ]

52399
Mortal Engines

Effectivement, c’est steam punk à fond.
Visuellement c’est vraiment plaisant et bien fait.
Niveau scénario, j’ai trouvé que l’on est très loin de la catastrophe annoncé, pour moi c’est plutôt dans la mise en œuvre que ça pêche : musique trop répétitive, dialogues pas top, un côté à la va vite pour passer d’un lieu à un autre. A voir le film on se dit que le bouquin doit être pas mal mais l’erreur à été de vouloir tout mettre dans le film.
Un divertissement correct

 Instrumental/Ambient/Post-Rock : https://dzeta.bandcamp.com/

 

52400
re-re-re-re-re-vu Victor Victoria de Blake Edwards.



J'adore le réalisateur, j'adore Julie Andrews, Robert Preston est absolument grandiose en vieille folle de cabaret et James Garner en mafieux tombant amoureux d'un travelo et n'assumant pas. Les seconds rôles sont aussi grandioses.

Faut-il dire que j'adore ce film ? :-D Qui joue avec les codes des genres, les stéréotypes associés, la question de l'homosexualité, etc. Le tout à la sauce Blake Edwards qui fait que le gag le plus basique se transforme en absurdité montypytonnesque. Ce mec aurait pu être britannique.