Sujet de la discussionPosté le 05/10/2003 à 19:14:46Derniers films vus
Pour ma part ce w-e, c'est 'les invasions barbares' (d. arcand) et 'goodbye lenin!' (w. becker)
Le permier est tout simplement exceptionnel : une richesse de dialogues exceptionnelle et une construction à l'americaine. marque de fabrique canadienne?
Le second aurait pu etre tres bon s'il etait sorti avant Amélie...
The bomb documentaire musical dont le sujet est l' arme atomique (anti) de 2016 vu sur flix
Entre documentaire musical ou clip sur fond technique, j'ai trouvé ça reussi; image montage son tout est propre.
Le début avec les défilés militaires avait un côté hypnotique en rythme
Transformer ce sujet en travail de dj et vj peut sembler casse gueule voir malsain derangeant mais ça le fait. Connaissiez vous ? ??
Je viens de voir Schizophrenia (1983) de Gerard Kargl, film assez tordu qui nous met dans la tête d'un tueur psychopathe tout juste sorti de prison et qui souhaite récidiver. Bon film !
Oui, le malaise intégrale. Je l'avais vu sous le titre "Angst"
La réalisation est remarquable aussi avec cette espèce de caméra flottante en plongée. A lire, il ya des explications sur le dispositif.
[ Dernière édition du message le 02/05/2020 à 02:13:57 ]
Crrr
79
Posteur·euse AFfranchi·e
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54969Posté le 02/05/2020 à 01:55:49
C'est vrai que le fait de fixer la caméra sur le personnage et la faire bouger avec lui rend le truc très immersif. C'est un effet que j'aime beaucoup.
Comme l'a dit la critique que tu as partagé:
"NB : Un des outils magnifiques du film, ce sont ces plans rapprochés de la mort-qui-tue, en courte focale, et par conséquent avec beaucoup de champ autour du personnage et énormément de profondeur itou, et où, en plus, la caméra est fixée sur l’acteur. Un effet toujours payant (l’acteur semble fixe et c’est le décor qui se déplace autour de lui). Le procédé est beau certes, mais donne la clé du film, et aussi sa folie triste et déchirante. On comprend grâce à ce plan très souvent utilisé que, ce que cherche à faire Kargl, c’est un film au plus près du mouvement, et c’est le mouvement le sujet du film."