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fairbec
Le permier est tout simplement exceptionnel : une richesse de dialogues exceptionnelle et une construction à l'americaine. marque de fabrique canadienne?
Le second aurait pu etre tres bon s'il etait sorti avant Amélie...
Anonyme
Oh mais ça a l'air complet nawak
Ha ouais, là tu peux le dire.
Mais y a des scenes absolument spectaculaires, comme l'éruption du volcan de Yellowstone, et les acteurs sont quand même bons (Danny Glover, John Cusack, et même Woody Harrelson).
C'est pour ça que j'aime bien ce genre de film, avec leur gros budget : ça permet d'avoir des effets spéciaux starwars staïle, et des acteurs qui évitent au film de rester une bête série B.
crossroads
en payant 1 milliard d'€
Tu veux bien sûr dire $!
Instrumental/Ambient/Post-Rock : https://dzeta.bandcamp.com/
Anonyme
Ce qui est marrant, c'est que Emmerich a pris le parti opposé de tous ses précédents films vis àvis du patriotisme US.
Anonyme
-1 Lord of war, les américains sont assez nuls en cynisme justement, et puis ça ne leur va pas. Pas aimé, bref.
Pas terrible de faire une générailté, il reste beaucoup d' amerlockes avec une conscience; mais bon quand à coté on va voir 2012 et qu' on mange au McDo...
Head Minerve
Anonyme
will_bru
Emmerich a pris le parti opposé de tous ses précédents films vis àvis du patriotisme US.
De ce côté là, "le jour d'après" était plutôt au vitriol par rapport aux US. Avec les amerloques qui traversent le Rio Grande pour trouver refuge au Mexique, etc.
In the midnight hour, she cried more, more, more, with a rebell yell she cried more more more...
Anonyme
Faut dire qu'avec Independance Day, il avait fait fort quand même.
will_bru
Et pi y en a marre de ces présidents américains qui sauvent le monde. Y a le sien qui tue les aliens avec un virus informatique dans un chti navion, ceux d'Harrisson Ford qui tuent tout le monde dans le gros navion, etc.
tain quand tu vois la gueule de Bush... A la rigueur Obama, pourrait être acteur...
In the midnight hour, she cried more, more, more, with a rebell yell she cried more more more...
Polaroil
Pas terrible de faire une générailté, il reste beaucoup d' amerlockes avec une conscience; mais bon quand à coté on va voir 2012 et qu' on mange au McDo...
heu, je me sens attaqué là, toi aussi ?
J'assume d'avoir été voir 2012, volontairement et en payant (argh!), ça reste une merde mais comme dit youtou vu les moyens ça reste assez rigolo à voir en salle. De plus je ne mange pas au Mac Do, sauf par erreur.
Concernant Lords of War, j'ai encore le droit de ne pas aimer, et c'est l'endroit pour le dire.
Oui, il y a des américains avec une conscience, heureusement.
"And in the end, the love you take is equal to the love you make"
Anonyme
A la rigueur Obama, pourrait être acteur...
C'est marrant parcequ'avec 2012, c'est le 2eme film catastrophe que je vois où le président est noir, et joue un rôle de prêtre plus que de sauveur.
Anonyme
Mr.chacal
Et pi y en a marre de ces présidents américains qui sauvent le monde. Y a le sien qui tue les aliens avec un virus informatique dans un chti navion, ceux d'Harrisson Ford qui tuent tout le monde dans le gros navion, etc.
Mais il n'y pas que ce modèle dans les films américains: tu oublies la prémonition (presque exacte) de Stallone dans "Demolition Man" où Schwarzenegger est président des US mais ce n'est pas lui qui sauve le monde alors que l'on connait tous ses talents pour les solutions musclées.
Anonyme
http://images.allocine.fr/r_760_x/competitions/00/44/30/20091112121512.jpg
Rien que l'affiche, tout un programme ce film.
[ Dernière édition du message le 12/11/2009 à 15:22:39 ]
Jofree
‘La Merditude des choses’ a le goût amer, épais et plein de caractère de la bière brune brassée en terres flamandes. Caméra à l’épaule, l’objectif au plus près de son sujet, le troisième film de Félix Van Groeningen suit sans artifices - c’est le moins que l’on puisse dire - la vie du clan Strobbe. Marcel, le père, Lowie "Petrol", Pieter "Baraqué", Koen, les oncles, la mémé et Gunther, le fils bien décidé à s’extirper du merdier dans lequel il est né. Dans ce film à l’humour cinglant et au romantisme noir, amour et détresse sont palpables. Scènes de beuverie et subtile réflexion sur ce que représente la transmission s’entremêlent dans un cocktail détonant. Et ce cadre dans lequel il se passe toujours quelque chose se fait le porte-parole de ce bordel organisé. “Pour devenir un huissier, il faut être un vrai con”, “Pour rester en forme il faut baiser une fois par jour”, “Il y a deux personnes que je hais, deux femmes. La première m’a donné le jour, l’autre est en train de me faire un gosse”, autant de dialogues puissants qui ponctuent un scénario fouillé. Une bien belle vie de merde que voilà.
"To boldly go where no man has gone before."
Anonyme
l
Anonyme
Francis Melboufles
Après toutes les bonnes critiques que j'ai pu lire et entendre, j'me suis dit que fallait quand meme que j'y jette un oeil, et finalement mon avis est un peu partagé, c'est principalement du à ma déception concernant la fin du film.
Le reste est vraiment très bon, visuellement c'est génial, les acteurs sont excellents et chaque personnage est bien défini, la bande sonore est discrète mais efficace, des moments de gros gros suspense et les moments lents passent très bien...tout ça jusqu'au dernier quart d'heure du film, qui ralentit la cadence du film de manière tout à fait inadéquate, la fin est décevante et donne un air franchement prétentieux dont le film n'avait vraiment pas besoin...
Bon ceci-dit cette déception ne gache pas l'intense plaisir que j'ai eu à visionner le reste, ça reste un film à voir, certains y trouvement probablement leur bonheur du début à la fin.
Sibmol
[ Dernière édition du message le 13/11/2009 à 00:51:37 ]
gromeul
http://www.freegaia.com/smileys/musique/musique12.gif
Anonyme
Mr.chacal
Anonyme
Anonyme
Mr.chacal
Faut dire aussi qu'il a salement subi les outrages des années passées.
Ok pour les effets spéciaux et certains plans. Mais le jeu de certains acteurs et les problème de scénario...
C'est d'autant plus dommage qu'il y a de vrais bon moments et que certains acteurs tiennent bien la baraque.
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