Les questions auxquelles on n'a pas les réponses mais un AFien peut les avoir

Un témoignage, c'est le niveau le plus bas de preuve. Une méta-analyse portant sur un nombre conséquent d'études avec protocole en double-aveugle, c'est ce qu'on a de mieux comme preuve scientifique.

Je ne vais pas faire les recherches à ta place, mais voici une première piste, sous la forme d'un mémoire de thèse et quelques papiers scientifiques :
https://syntheses.univ-rennes1.fr/search-theses/notice/view/rennes1-ori-wf-1-5807
https://biomedical-engineering-online.biomedcentral.com/articles/10.1186/1475-925X-3-11
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC2705217/

Des études in vitro ont été menées pour évaluer les effets biologiques potentiels de deux types d'ondes radiofréquences. Dans une première partie, nous avons étudié les ondes radiofréquences (300 et 500 MHz) utilisées en imagerie médicale à haute résolution (IRM). Ces ondes sont en régime impulsionnel (de l'ordre de la milliseconde) et avec des puissances crêtes élevées (E= 1.8 kV/m). Toutefois, il n'existe actuellement aucune donnée dans la littérature sur l'impact biologique éventuel de ce type de signaux.

Par contre en lisant diverses infos sur les risques de l'IRM j'ai trouvé le témoignage d'un médecin qui dit qu'une IRM n'est pas plus nocive que de passer 30 minutes à côté d'une antenne....Ha oui ? et de quelle puissance ?
Antenne du poste de radio, antenne 4G, antenne radar ??

Déjà avec le premier lien ça commence moyen moyen
je cite

Citation :

Toutefois, il n'existe actuellement aucune donnée dans la littérature sur l'impact biologique éventuel de ce type de signaux.

Jimbass ton second lien c'est la même étude que le premier lien mais en anglais

Des problèmes biologiques sont évoqués suivant la puissance utilisée pour les RF.

Conclusions
Perhaps the safest component of the MRI exam is the static magnetic field. By examination of the current literature, and within the limits of our knowledge, the only health hazards significantly associated with the exposure to static magnetic fields are related to the presence of ferromagnetic materials or cardiac pacemakers in patients. Almost all of the more than 100 million MRI exams performed since early 1980 were completed without any evidence of harmful effects to the patient from the static magnetic field. However, due to the signal to noise advantages of high field MRI systems, increases in the static magnetic field are inevitable.

The second potential source of risk in MRI exams arises from the use of pulsed field gradients. High slew rates can cause peripheral nerve and/or cardiac stimulation to the patient. However, peripheral nerve stimulation, which can be painful although not harmful to the subject, has a threshold lower than the level required for potentially dangerous cardiac stimulation. Present day MR systems typically operate below nerve stimulation levels thus, at the current state of the art, cardiac stimulation is very unlikely.

RF power deposition represents the greatest risk for patient safety in MRI exams. There is widespread agreement among scientists in considering that a local increase in temperature of 1°C in a healthy individual is absolutely free of risk. In MRI exams, an SAR of 8 W/kg could be used, but for short enough exposures so as not to produce a more than 1°C core body temperature rise. However, in terms of safety, it would be desirable that a clinical MR system be equipped with a sensing phantom that could shut off the power to the RF source when SAR levels approach the limits established by international safety guidelines.

From these considerations, our hope is that the knowledge of magnetic resonance imaging systems safety can not only help guide the future design of these instruments, but also affect the selection of procedures in order to ensure safe, efficacious, and efficient system operation

Mais surtout, il y a une démarche scientifique à suivre quand on veut établir une "vérité" (ou plutôt "ce qu'on sait de mieux" sur un sujet), et ca ne consiste pas à chercher les arguments qui confortent l'a-priori qu'on en a. Et même, au contraire.

Sincèrement, j'ai l'impression que t'as juste pas envie d'y aller de base et que tu cherches un prétexte.

Sincèrement, j'ai l'impression que t'as juste pas envie d'y aller de base et que tu cherches un prétexte.

En 2016 en Sibérie, des spores d'anthrax vieilles de 70 ans se sont libérées du cadavre d'un renne après le dégel d'une couche de permafrost.

un peacemaker

Citation de Traumax :

Citation :

je peux toujours poser la question à ma direction

Tu estimes le temps hebdo dont tu as besoin pour traiter l'urgence, et tu négocies de les passer en télétravail. Le reste en CP/chomage partiel.
Si la direction veut pas, quand un client appelle tu lui expliques que la direction t'interdit de travailler et qu'il faut voir avec eux.

Le truc, comme je l'ai édité plus haut, c'est qu'en y regardant de près, je me fais de toute façon enfumer mes CP si je les pose. Et comme tu le disais, quand on est en chômage partiel, eh ben on bosse pas (même si je veux bien assurer un minimum de permanence mais c'est tout)

Tu devrais leur faire un courrier recommandé en leur disant que la situation actuelle n'est pas propice à la prise de congés . Et à la fun de l'année si il t'en reste ils devront te les payer car tu ne les a pas pris à cause d'une situation exceptionnelle qui t'a empêché de les prendre.
Je pense qu'au pire des cas si tu vas au prud'homme tu auras gain de cause.

Donc soit il te font bosser soit il te mette au chômage partielle.
Demande leur aussi une demande écrite concernant les CP comme cela tu pourras leur répondre et tu auras des preuves pour la suite ...

En Suisse j'ai aussi des collègues à qui leur boite ont tenté le coup de leur demander de prendre des jours de Vacances (c'est le terme suisse moins ambiguë que CP)

Pain congelé

Citation :

Pain congelé

Perso je le décongèle au four, ça va plus vite, et en plus il retrouve un peu de croustillant et tu peux le manger chaud

et accessoirement, 15min à 160°, je pense que le virus va aimer moyen

jévépa