dana: s'il déprime en prépa, il faut qu'il arrête immédiatement. Ces classes prépas sont des pièges à rats pour certains.
je ne sais pas où il habite, mais s'il y a une fac à proximité, il peut soit essayer de s'inscrire en cours d'année, soit squatter les cours librement, ça mange pas de pain.
et pour son envie de faire l'info, fais-lui lire les posts de raha dans agaçotaf
A tout hasard le fait d'être payé pour apprendre ça pourrait l'intéresser ?
Je remets la filière qu'a suivi mon fils (y en a d'autres)
2 ans d'études payées au SMIC et beaucoup d'avantages http://www.ente.developpement-durable.gouv.fr/concours-externe-2016-de-technicien-superieur-a237.html
Il avait le choix entre fac, IUT, BTS quand il a craqué en prépa, il a choisi l'autonomie et il est super content de sa décision aujourd'hui.
je vois pas l'intérêt de continuer jusqu'aux vacances pour arrêter
Parce qu'il doute encore. Il pourrait éventuellement continuer, pour sa culture personnelle, sans pression du résultat. Il en a parlé aux profs. Ça pourrait se faire.
El Migo : je note et je lui en parle, merci.
Il peut aussi faire de l'alternance (souvent les iut et certains bts le proposent) dans le secteur privé. Je pense que dans l'informatique il y a pas mal de choix. Dans les banques par exemple, il y a pas mal de trucs en informatique embarquée aussi. Dans ma promo je sais il y en a quelques uns qui bossent dans les services R&D des banques (où ils jouent avec des googles glasses, des smartwatchs ce genre de trucs).
Tant qu'il y aura des couilles en or, il y aura des lames en acier
Truelle est un manchot
10525
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68769Posté le 04/12/2015 à 19:13:06
Citation de Jimbass :
Le truc important à lui faire comprendre, c'est que le développement de jeux vidéo est une toute petite niche. Il y a bien plus de gens qui pissent du COBOL dans des banques ou des assurances (enfin en prestation pour).
LE truc important que devrait préciser les parents et le profs au gamins, j'arrive pas à comprendre comment on ne peut pas leur parler de la réalité du marché du travail. C'est d'une débilité sans nom.
Première chose que j'ai faite avec la fille de ma copine quand elle m'a parlé de ce qu'elle voulait faire.