Raskwham > bientôt prêts pour être croqués à l'apéro
Le chaton moi je le fais à peine cuire au barbeuc, rosé quoi, dans son jus, avec une pointe d'ail et d'huile d'olive. Hein jisk?
T'auras de la viande hyper sèche et sans un bout de gras, incroyablement dure, et avec un gout prononcé de charogne.
le coup du chat qui a le même gout que le lapin, et qui était mangé pendant la WWII, sans dire que c'est que c'est jamais arrivé, c'est une légende urbaine.
T'auras de la viande hyper sèche et sans un bout de gras, incroyablement dure, et avec un gout prononcé de charogne.
le coup du chat qui a le même gout que le lapin, et qui était mangé pendant la WWII, sans dire que c'est que c'est jamais arrivé, c'est une légende urbaine.
Pas tout à fait. Un ami de mes grands parents qui était chargé, entre autres, de tuer les chats qui se multipliaient trop vite, dans un hôpital, en cuisinait parfois (généralement soit pour bizutage soit pour représailles).
C’est effectivement une viande très forte, donc il la faisait reposer une semaine, sous un filet d’eau constant. Et à la fin, c’était quand même plus proche du lièvre que du lapin. Mais les gens trouvaient ça très bon.
[ Dernière édition du message le 29/05/2019 à 13:18:10 ]
Anonyme
24289
84597Posté le 29/05/2019 à 13:18:49
Alors qu'il aurait suffit de coller des quartiers d'orange avec la peau dans la marinade et pendant la cuisson pour casser ce goût. Quelle perte de temps.
Dommage que ma mère-grand ne soit plus de ce monde. Durant l'occupation, dans sa bourgade de la plaine des Vosges, ils bouffaient en gros tout ce qui vivait et avait assez de viande.
Donc hérissons, corbeaux, martres, chats errants, tout y passait. Pas les chiens, d'après elle.