Ben sans vouloir foutre la merde; je vois pas en quoi ça dérange d'appeler un ancien patron pour savoir ce que donne la personne. Après je ne suis pas patron mais les gars qui vendent du rêve en entretien pour rien foutre après
Sans revenir dessus pendant 3 plombes, il y a une différence entre vendre du rêve et travailler comme commercial VRP pour le smic : je veux dire que le rêve est assez loin.
Par ailleurs, les lois sur les périodes d'essai sont pas faites pour les chiens. Et je démordrai pas qu'il est totalement impossible en juin 2013 pour un jeune diplômé n'ayant pas une thèse ni/ou un truc super rare et improbable, de trouver un boulot : un boulot de merde, on se dit qu'il est trop diplômé et qu'il va casser les couilles ; soit le boulot est plsu intéressant mais le jeune n'ayant pas/peu d'expérience, on le prend pas.
Des entretiens que j'en ai passés et fait passer, mais les époques n'étaient pas les mêmes, je n'aimerais pas sortir de la fac aujourd'hui.
L'appétit vient en mangeant ; la réforme, c'est pas sorcier ; le campement léger en plein air, non. Cupidon
=LouF=
6394
Je poste, donc je suis
Membre depuis 20 ans
68297Posté le 30/05/2013 à 14:42:45
Et pour les lettres de recommandation? A priori, si le patron précédent l'écrit, il pourrait difficilement s'offusquer de recevoir un coup de fil, non?
l'appréciation qu'on peut avoir de la déco de Noel de ma voisine dépend de la conscience qu'on a de l'état de la société.
samy dread
17422
Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 18 ans
68298Posté le 30/05/2013 à 17:01:21
retablissons les carnets ouvrier
après si t'appelles l'émetteur de la lettre de recommandation, il est peu probable qu'il dise : 'en fait la lettre c'est du flan, elle a été écrite sous la menace d'une arme'.
à la rigueur le peut être nouveau futur employeur peut dire qu'il appelle pour vérifier que cette lettre n'est pas un faux, de même qu'ils vérifient auprès des facs et écoles la validité des diplomes