Le Pub de l'écologie
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Anonyme
en dégrossissant vulgairement la chose je me suis rendu compte que comme sur pas mal de sujets, on à pas tous les mêmes idées. et c'est ca qui est super :petitnicolas:
pour eviter de pourrir tous les sujets avec nos bio-conneries, je vous propose juste de nous dire si vous pensez:
1/ que la planète court un réel danger.
2/ que c'est pas si catastrophique que ca et qu'on à le temps de voir venir les choses sans paniquer.
Shreddator
Soot_and_Stars
Très intéressant, l historique de ce progrèsqui a fait naitre de l' espoir et fait froid dans le dos en même temps
[ Dernière édition du message le 22/10/2021 à 23:25:31 ]
Soot_and_Stars
https://www.lavoixdunord.fr/1089664/article/2021-10-25/le-patron-des-chasseurs-en-colere-apres-la-suspension-des-chasses?from_direct=true
Mais laissez nous défoncer les oiseaux avec des méthodes moyenâgeuses !
Anonyme
El Migo
La Seconde Guerre mondiale engendre une nouvelle organisation du travail, laquelle devient la norme, et annonce l’ère nucléaire de la guerre froide. Dans sa démesure, l’homme rêve déjà d’usages civils de l’atome (y compris pour l’abattement de montagnes et la dissolution des calottes glaciaires !).
Dans son immense sagesse, l'homme a bien fait d'attendre : les calottes glaciaires fondent toutes seules, même pas besoin du nucléaire pacifique.
le reverend
Putain, 22 ans que je traine sur AF : tout ce temps où j'aurais pu faire de la musique ! :-( :-)
LD55
Le patron des chasseurs là, rien que sur la photo on dirait qu'il est déjà à 3 grammes...
c'est pas parce qu'il est chasseur (enfin pas seulement) c'est surtout parce qu'il est du Nord.
le reverend
Chasseur : +2,8g
Putain, 22 ans que je traine sur AF : tout ce temps où j'aurais pu faire de la musique ! :-( :-)
Zorks
Photo : Mikhail Kalinin
Évidemment, je ne cautionne pas le message de cette mésange, ce serait contraire a la charte du pub.
chapolin
Crise climatique : nous pouvons contribuer au changement
Notre époque est confrontée à de nombreux désastres socio-économiques et écologiques. Johan Rockström, codirecteur de l'Institut de Potsdam pour la recherche sur l'impact climatique, définit la crise environnementale comme une urgence de premier plan dans le sens où l’enjeu est extrêmement important et le temps pour agir est limité.
Nous sommes, pour la plupart, préoccupés et conscients de ces bouleversements écologiques provoqués par les activités humaines qui entraînent actuellement la sixième extinction de masse des espèces depuis l’apparition de la vie sur Terre. Les solutions existent. Il nous reste encore quelques années pour prendre des mesures draconiennes et décisives.
Face au manque de volonté et d’engagement de la part du politique, que pouvons-nous faire pour initier et contribuer au changement afin d’éviter l’émergence de nombreux troubles et souffrances ?
Matthieu Ricard propose quelques clés de compréhension au sujet de la crise climatique:
Pour sortir de l’ornière des recommandations sans effet, il est tout d’abord indispensable de prendre la pleine mesure des alertes lancées par les scientifiques et de suivre les courants d’idées qui promeuvent l’altruisme et le bien-être véritable en tant qu’authentiques guides dans nos prises de décisions. Il ne s’agit pas simplement de survivre, mais de vivre mieux avec moins, en harmonie avec notre écosystème. S’informer permet de mieux appréhender l’importance du vivant et la nécessité de sa protection. Face aux menaces écologiques, énergétiques et économiques, il est primordial d’agir en considération des autres espèces, des générations futures, de l’environnement.
Une action simple et efficace que nous pouvons tous mener à notre échelle est de ne plus consommer de produits animaux. L’élevage industriel notamment est un désastre tant pour l’environnement, que pour la santé et l’accroissement de la pauvreté dans le monde. Tous les deux mois le même nombre d’animaux qu’il y a eu d’Homo sapiens sur terre depuis son origine sont abattus (environ 110 milliards). Jane Goodall, grande primatologue, me confia lors d’une de nos conversations : « Ce qui me choque le plus, c’est que les gens paraissent presque schizophrènes dès lors que vous évoquez les conditions terribles qui règnent dans les élevages intensifs, l’entassement cruel d’êtres sensibles dans des espaces minuscules — des conditions tellement horribles que l’on est obligé de leur administrer sans cesse des antibiotiques pour les garder en vie, sinon ils se laisseraient mourir. Je décris souvent le cauchemar du transport – s’ils tombent pendant le transport, on les hisse par une jambe, qui se casse — et des abattoirs où tant d’animaux ne sont même pas étourdis avant d’être écorchés vifs ou plongés dans l’eau bouillante. C’est évidemment atrocement douloureux. Lorsque je raconte tout ceci aux gens, ils répondent souvent : “Oh, s’il vous plaît, ne m’en parlez pas, je suis trop sensible et j’adore les animaux.” Et je me dis : “Mais qu’est-ce qui a bien pu dérailler dans ce cerveau ?!”».
À l’aspect intrinsèquement éthique de ne pas consommer de viande, s’ajoutent des considérations morales et environnementales déterminantes. De nombreux rapports scientifiques des Nations unies (GIEC et FAO), de l’Institut Worldwatch et d’autres encore, alertent sur les graves impacts environnementaux de la production industrielle d’animaux. L’élevage intensif, la production de viande et d’autres produits dérivés de l’élevage (laine, œufs et produits laitiers) sont, quantitativement, la deuxième cause de pollution dans le monde. Au total, l’élevage industriel contribue à 14,5%1 des émissions de gaz à effet de serre liées aux activités humaines, après le secteur du bâtiment et avant celui du transport.
Ne plus consommer de produits issus de l’élevage intensif est un engagement immédiat, très concret et efficace de bienveillance envers les animaux, mais aussi d’action pour la préservation de l’environnement que nous pouvons tous mener. Selon un rapport du GIEC, ce facteur à lui seul permettrait de rester en dessous du 2°C de réchauffement climatique.
La bienveillance comme considération authentique du sort d’autrui est le seul concept de reliance qui puisse nous permettre d’œuvrer ensemble de manière effective, éthique et durable à un monde meilleur. Un état d’être altruiste rend possible à court terme de remédier aux inégalités et injustices sociales, à moyen terme de favoriser le bien-être de la population, à long terme de prendre en compte sérieusement le sort des générations à venir et des 8 millions d’autres espèces qui sont nos concitoyens.
Une autre action efficace que nous pouvons tous mener est de cultiver au quotidien notre qualité naturelle de compassion. Respecter et prendre soin de l’environnement naturel et des êtres vivants dans leur ensemble est une véritable source d’espoir dans l’intention de prendre conscience de notre interdépendance et de restaurer la confiance dans la nature humaine. Raviver notre émerveillement devant la part sauvage du monde à lui seul ne règlera pas la crise écologique, mais il est inhérent au processus de prise de conscience nécessaire à la protection du vivant. La beauté du monde chaque jour renouvelée, que ce soit dans le sourire d’un enfant, d’un paysage grandiose ou encore dans l’expérience immédiate d’un flocon qui se pose dans la paume de notre main, est un bien précieux que nous voulons préserver. L’émerveillement mène au respect. Le respect conduit au désir de prendre soin. Et ce désir à l’action directe et durable.
Les gouvernants annoncent souvent des mesures à long terme pour atteindre la neutralité carbone, mais faute de mesures et d’engagements forts à court terme, ils se contentent d’éviter le problème et de remettre au gouvernement suivant la responsabilité de prendre les mesures nécessaires. Winston Churchill disait qu’ « un homme d’État pense aux prochaines générations, un homme politique aux prochaines élections. » Il est temps que les politiciens fassent preuve d’un minimum de courage pour ne pas être considérés comme des traîtres par les générations à venir.
Karuna-Shechen
Karuna, l’association fondée par Matthieu Ricard, propose des solutions concrètes aux populations qu’elle soutient en Inde et au Népal, afin qu'elles s'adaptent au mieux aux défis climatiques. Avec des projets environnementaux, entrepreneuriaux et éducatifs, Karuna favorisant l’accès à l’eau, à l’électricité solaire ou même à l’agriculture biologique.
miles1981
"Je veux bien changer, mais juste ce que je fais deja".
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samy dread
Nous sommes, pour la plupart, préoccupés et conscients de ces bouleversements écologiques provoqués par les activités humaines
La plupart conscients que 4/5 de notre travail est en trop et provoque ce qui est décrit?
je ne crois pas non
Non je ne mettrai pas de pull
[ Dernière édition du message le 08/11/2021 à 12:16:04 ]
miles1981
Citation :Nous sommes, pour la plupart, préoccupés et conscients de ces bouleversements écologiques provoqués par les activités humaines
La plupart conscients que 4/5 de notre travail est en trop et provoque ce qui est décrit?
je ne crois pas non
Exactement. On en est conscient, mais on ne veut pas sacrifier son niveau de vie, merde !
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sonicsnap
samy dread
Non je ne mettrai pas de pull
samy dread
Non je ne mettrai pas de pull
miles1981
Est-il possible de concilier l'écologie avec les hausses de pouvoir d'achat que tout le monde réclame?
Non, il faudrait plus d'energie, or on ne peut pas avoir plus de petrole (qui arrive en fin de vie de toute maniere) ni meme de ressources sans aller degommer le reste de la planete.
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samy dread
- on va continuer à utiliser les énergies fossiles (même si on baisse leur utilisation)
- on va continuer avec le nucléaire (de toute façon 90% de l'uranium enrichi est à destination du militaire, et écologiquement il vaut toujours mieux utiliser l'existant jusqu'au bout plutôt que de le remplacer, et c'est évidemment le cas pour les centrales)
- on va mettre des éoliennes et du solaire au max (malgré leurs défauts majeurs)
- on se met déjà à utiliser le bois de façon importante pour l'énergie (et les pollutions liées). Donc il faut arrêter de parler de compensation carbone quand on plante des arbres.
- et avec tout ça on aura aussi une décroissance subie
les discours qui disent qu'on peut prendre certaines options pour ne pas en avoir d'autres sont trompeurs.
Non je ne mettrai pas de pull
[ Dernière édition du message le 08/11/2021 à 15:18:37 ]
samy dread
mais le déchet, c'est le CO2, sauf qu'on le balance dans l'air, donc il n'existe pas intuitivement (comme tout ce qui passe par l'air, par exemple les contaminations du covid).
Imaginez une voiture essence sans pot d'échappement et qui récupère son déchet CO2. A chaque fois que vous mettez 50 litres dans le réservoir, il faudrait vider le réservoir de récupération de 120 kg de CO2. Ca serait donc des voitures sans coffre pour les bagages.
Non je ne mettrai pas de pull
Anonyme
Citation :Churchill disait qu’ « un homme d’État pense aux prochaines générations, un homme politique aux prochaines élections. »
Il disait aussi (entendue hier):
Les Pays des Balkans on tendance à produire plus d'histoire qu'ils n'en consomment. "
lamouette/rck
Imaginez une voiture essence sans pot d'échappement et qui récupère son déchet CO2. A chaque fois que vous mettez 50 litres dans le réservoir, il faudrait vider le réservoir de récupération de 120 kg de CO2. Ca serait donc des voitures sans coffre pour les bagages.
Oui, super concept ça, et pour comprendre notre impact, on serait obliger de faire bouffer ces 120kg a nos enfants.
Polaroil
Un désert chilien comme décharge de la fast fashion
"And in the end, the love you take is equal to the love you make"
Anonyme
C'est à dire que les Glisiens 486b :lvs: , les Martiens, les Nazis installés sur la face cachée de la Lune, les "petits gris" et les grands blonds de Proxima a et b ont estimés qu'il le méritait, c'est pas rien quand même !
Keep positivism alive, Stop leftism!
[ Dernière édition du message le 08/11/2021 à 20:45:49 ]
chapolin
El Migo
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