Sujet de la discussionPosté le 12/06/2006 à 09:55:45Le Pub de l'écologie
Hello les amis!
en dégrossissant vulgairement la chose je me suis rendu compte que comme sur pas mal de sujets, on à pas tous les mêmes idées. et c'est ca qui est super :petitnicolas:
pour eviter de pourrir tous les sujets avec nos bio-conneries, je vous propose juste de nous dire si vous pensez:
1/ que la planète court un réel danger.
2/ que c'est pas si catastrophique que ca et qu'on à le temps de voir venir les choses sans paniquer.
Tant qu'il y aura des couilles en or, il y aura des lames en acier
Anonyme
5216
1914Posté le 22/09/2016 à 10:33:03
Ouais c'est fou ce qui se passerait si on arrêtait de traiter la moitie de la population comme du bétail. Ça me rappelle la sortie de Bill Gates a une conférence en Arabie Saoudite ou on lui demande s'il voit le royaume devenir un acteur majeur en innovation technologique dans les prochaines décennies. Sa réponse: "tant que vous refuserez de tirer parti de la moitié de vos cerveaux, aucune chance."
Ça vaut a divers degrés pour un peu partout. Le plafond de verre est malheureusement encore bien réel dans pas mal de domaines meme en Occident. On a un très faible taux de conversion entre les diplômées en STEM et les postes de leader en recherche occupés par des femmes.
+1 Mort : une directrice de recherche CNRS et de labo physique des plasmas nanosciences etc.., m'expliquait qu'elles étaient peu nombreuses dans le monde.
Qu'en allemagne par exemple, il était quasi mal vu (regard masculin comme féminin) de ne pas donner priorité à vie de famille, rôle de la mère..y compris dans ces secteurs à bac + n
Ca vaut pour la totalité du moyen orient hors Israel ceci dit.
En Iran, parmi ceux qui font des études supérieures, il y a une majorité de femmes. Et ce sont de vraies études supérieures, pas "art de décorer la table" ou autres blagues saoudiennes (et parfois japonaises).
Yep mais le taux de conversion est quasi-nul. En Arabie Saoudite idem. Le problème ce n'est pas forcement l'absence d'éducation mais l'absence de place pour la femme dans la société en tant qu'agent indépendant.