Le Pub de l'écologie
- 29 366 réponses
- 264 participants
- 921 478 vues
- 202 followers
Anonyme
en dégrossissant vulgairement la chose je me suis rendu compte que comme sur pas mal de sujets, on à pas tous les mêmes idées. et c'est ca qui est super :petitnicolas:
pour eviter de pourrir tous les sujets avec nos bio-conneries, je vous propose juste de nous dire si vous pensez:
1/ que la planète court un réel danger.
2/ que c'est pas si catastrophique que ca et qu'on à le temps de voir venir les choses sans paniquer.
Pictocube
Bon sinon il y a une solution à mon problème : le satellite. En gros c'est moins bien, plus cher, mais par contre là on ne sait pas grand chose sur l'impact sur la santé donc c'est cool, pas de soucis à ce faire, c'est l'ignorance qui mène la dance...
Tant qu'il y aura des couilles en or, il y aura des lames en acier
ferdinand
podcast ici
Dans un monde réellement renversé, le vrai est un moment du faux. G.Debord.
ferdinand
Citation : Quand vous allez à la cantine et que vous demandez du rab d'épinards, s'il n'y en a plus, que faîtes-vous? Vous prenez autre chose, rien d'autre ou vous agressez le cuistot? Avec la planète, quand il n'y a plus rien, on continue: on défonce les placards, on fouille dans le frigidaire et on racle les fonds de tiroir.
Cela fait plus d’une semaine que nous vivons au-dessus de nos moyens. Nous sommes à découvert et notre compte plonge chaque jour un peu plus profond dans le rouge. Ca ressemble comme deux gouttes d’eau à un scénario qui se joue aujourd’hui à Wall Street, Tokyo, Paris, Londres et ailleurs, mais c'est en réalité beaucoup plus terre à terre que cela.
Le 23 septembre, c’était la date clef à partir de laquelle nous, les Humains, avions consommé tout ce que la planète s’évertue à produire en un an pour subvenir à nos besoins. C’était le «jour du dépassement», un concept anglais venu du Global Footprint Network, réseau dont le principal objectif est de fournir des outils pour mesurer l'impact des activités humaines sur la planète.
Alors imaginons ce monde où depuis le 23 septembre, c'est ceinture. On ne se déplace plus, on ne s’achète plus de vêtements, ni de crèmes pour le corps, ni de nouvel iPod, ni de voiture au Mondial de l’auto. Et cette diète totale doit durer jusqu’au 31 décembre. Autant vous dire que pour Noël, il faudra confectionner de jolies écharpes à partir de la laine de vos vieux pulls!
«A partir d’aujourd’hui jusqu’à la fin de l’année, nous puisons dans les réserves écologiques de la Terre aux dépens des générations futures» expliquait le fondateur du Global Footprint Network, Mathis Wackernaegel le 23 septembre. «Ca peut fonctionner pendant un temps, mais les déchets s’accumulent inexorablement et nous épuisons les ressources naturelles sur lesquelles l’économie mondiale est fondée.» Laquelle ne se porte déjà pas terriblement bien.
Depuis le 23 septembre, toutes les ressources naturelles que la Terre aura produites entre le 1er janvier et le 31 décembre 2008 ont été entièrement consommées par anticipation. Certes, la Terre a une capacité naturelle à renouveler ces ressources, mais notre demande actuelle dépasse de 40% cette capacité et nous consommons en un an ce que la planète met un an et quatre mois à produire.
Pourquoi le 23 septembre? En termes simples, le jour du dépassement est le jour où notre empreinte écologique totale (mesurée en hectares) est égale à la biocapacité (également mesurée en hectares) que la Nature peut régénérer en une année. Ce jour-là se calcule en mesurant le ratio entre la biocapacité globale disponible et l’empreinte écologique globale, le tout, multiplié par 365. On trouve alors le nombre de jours durant lesquels la biosphère peut subvenir à nos besoins. En 2008, cela donne 267 jours. Or, le 267ème jour de l’année est le 23 septembre.
Nous sommes donc à «découvert écologique». Et personne ne vient nous réclamer de rembourser notre dette. Le plus triste, c'est que l’Overshoot Day tombe chaque année un peu plus tôt car notre gloutonnerie ne cesse d'augmenter. Le premier a eu lieu le 31 décembre 1986. Dix ans plus tard, nous utilisions déjà 15% de plus que ce que la Terre pouvait produire. L’Overshoot Day tombait alors en novembre et l’an dernier, le 28 septembre.
'tain
Dans un monde réellement renversé, le vrai est un moment du faux. G.Debord.
Pictocube
Carrément flipant le truc
Tant qu'il y aura des couilles en or, il y aura des lames en acier
ferdinand
Ces gens-là ont beaucoup de courage de parler avec l'infâme estrosi. IL ne merite même pas ca...
Dans un monde réellement renversé, le vrai est un moment du faux. G.Debord.
ferdinand
Je l'ai encore entendu à la radio l'autre jour, quel c...
Il use tous les bons filons de l'extreme-droite pour ne même pas nier les faits mais pour les rendre confus.
C'est vraiment dramatique ce genre de comportement, j'éspère que les quelques euros que lui rapportera son torchon en valait vraiment le coup.
Dans un monde réellement renversé, le vrai est un moment du faux. G.Debord.
Anonyme
quel tas de merde
ferdinand
Citation : C'est vrai ça pourquoi se faire chier pour la planète après tout !
Qu'est ce qu'ils veulent ces mecs?
Qu'on reconnaisse que les ecolos nous culpabilisent rien que pour faire chier, parce que le rechauffement climatique c'est de la branlette d'intello, et qu'avant il y avait pas de thermomètre donc on sait pas bien.
Et que du coup, on devrait pouvoir rouler à 160km/h en ville, on peut raser les forets, eradiquer les animaux et polluer tant qu'on veut sans mauvaise conscience et ca , c'est vraiment formidable!
Dans un monde réellement renversé, le vrai est un moment du faux. G.Debord.
Anonyme
Qu'on se sente pas concerné par l'environnement c'est une chose mais de là à polluer ouvertement
- < Liste des sujets
- Charte