Sujet Le Pub de l'écologie

Par contre la phase stationnaire va faire mal.

Reste à trouver l'échelle pour savoir si on claque notre livret A en putes et en coke ou si on laisse ça pour nos enfants.

Bah, deux enfants par femme et ça passe crème.

Reste à trouver l'échelle pour savoir si on claque notre livret A en putes et en coke ou si on laisse ça pour nos enfants.

Tu peux le claquer en coke pour les enfants, ça résoudra une partie du problème

Le message que tu cites est celui-là :
https://fr.audiofanzine.com/le-pub-des-gentlemen/forums/t.178899,le-pub-de-l-ecologie,post.8957646.html

Alors oui il faut toujours se méfier des intérêts financiers.


Par contre les très nombreux scientifiques qui étudient le climat, et tout l’environnement, sont, dans une très très grande majorité, indépendants de ces intérêts financiers.

Le réchauffement climatique se manifeste notamment par la fonte des glaciers, et ça c’est indéniable.

Quant à l’origine humaine de ce réchauffement, il y a un faisceau de preuves qui ne laisse pas vraiment de doute.

Il y a notamment la diminution de la proportion de carbone 14 dans le CO2 de l’atmosphère qui montre que ce carbone est issu du sous-sol (charbon, pétrole, gaz).

Il y a aussi le rejet de CO2 par les activités humaines, que l’on sait calculer, et qui correspond avec les modèles climatiques.

C’est largement lié à l’augmentation de la population :

https://blogs.mediapart.fr/zackary/blog/140118/nddl-le-point-de-vue-dun-pilote-de-ligne

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N.D. DES LANDES : UN AVIATEUR REMET LES PENDULES A L'HEURE

L’incendie et le naufrage du pétrolier iranien Sanchi en mer de Chine orientale constitue l’une des plus grandes catastrophes écologiques de l’histoire pétrolière.


Le Sanchi transportait 136 000 tonnes de condensats, des hydrocarbures légers qui s’apparentent à un pétrole plus léger que sa forme brute. D’après Richard Steiner, spécialiste des marées noires, il s’agit du « plus gros rejet de condensats dans la nature de toute l'histoire du pétrole », si l'on considère que la totalité de la cargaison a été brûlée ou a été déversée dans l’eau.

Les déversements de condensats dans les mers et océans n’ayant jamais dépassé les 1 000 tonnes, il est à ce jour impossible de prédire ou mesurer l’impact réel d’une contamination des eaux par 136 000 tonnes de condensats.

Si le navire a coulé, la mer, quant à elle, continue de brûler en surface. D’après le bureau des affaires maritimes chinois (SOA), il y aurait à ce jour trois larges nappes d’hydrocarbures en feu mesurant jusqu'à 18,2 km de long et qui s’étendent de jour en jour.

Le second enjeu consiste à empêcher une crise alimentaire majeure : en 2016, la mer de Chine a été le lieu de pêche de 5 millions de tonnes de poissons, participant grandement à l’alimentation d’une majeure partie de la Chine.