Le Pub de l'écologie
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Anonyme
521410
Sujet de la discussion Posté le 12/06/2006 à 09:55:45Le Pub de l'écologie
Hello les amis!
en dégrossissant vulgairement la chose je me suis rendu compte que comme sur pas mal de sujets, on à pas tous les mêmes idées. et c'est ca qui est super :petitnicolas:
pour eviter de pourrir tous les sujets avec nos bio-conneries, je vous propose juste de nous dire si vous pensez:
1/ que la planète court un réel danger.
2/ que c'est pas si catastrophique que ca et qu'on à le temps de voir venir les choses sans paniquer.
en dégrossissant vulgairement la chose je me suis rendu compte que comme sur pas mal de sujets, on à pas tous les mêmes idées. et c'est ca qui est super :petitnicolas:
pour eviter de pourrir tous les sujets avec nos bio-conneries, je vous propose juste de nous dire si vous pensez:
1/ que la planète court un réel danger.
2/ que c'est pas si catastrophique que ca et qu'on à le temps de voir venir les choses sans paniquer.
Anonyme
9585
8641 Posté le 11/03/2018 à 14:05:54
Citation :
pour pouvoir consommer 1 kWh d’électricité en chauffage, il faut dépenser 3 kWh d’énergie.
Citation :
Pour la période 2000-2004, l’Ademe et EDF annonçaient des émissions moyennes de 180g par kWh électrique de chauffage domestique ; contre 195g pour le gaz naturel et 310g pour le fuel. Mais depuis l’ouverture totale du marché de l’électricité en 2007, le contenu CO2 du chauffage électrique a explosé : nous sommes passés à plus de 500g par kWh !
Parceque le chauffage électrique pollue et nécessite beaucoup trop d énergie.
[ Dernière édition du message le 11/03/2018 à 14:07:15 ]
Anonyme
65640
8642 Posté le 11/03/2018 à 14:22:44
Excuse moi, mais sauf à comparer le chauffage electrique avec un machin emmagasinant la chaleur solaire, ça me parait une comparaison audacieuse : si c'est pas électrique (électrique ne veut pas dire 100% nucléaire, même en France ou Japon), alors obligatoirement c'est via gaz, charbon, bois, bref n'importe quel combustible problématique soit pacrequ'il est fossile et non renouvelable, soit parceque producteur de moult particules fines, souvent les 2...
Mêm remarque qu'au dessus : le chauffage au gaz, au bois, au pétrole brut, à l'éthanol, non ? c'est une blague ? (bis)
Citation :
le chauffage électrique pollue
Mêm remarque qu'au dessus : le chauffage au gaz, au bois, au pétrole brut, à l'éthanol, non ? c'est une blague ? (bis)
Anonyme
9585
8643 Posté le 11/03/2018 à 14:32:55
tu n as pas lu la citation ....
Encore un lien qui explique le problème.
Citation :
Pour la période 2000-2004, l’Ademe et EDF annonçaient des émissions moyennes de 180g par kWh électrique de chauffage domestique ; contre 195g pour le gaz naturel et 310g pour le fuel. Mais depuis l’ouverture totale du marché de l’électricité en 2007, le contenu CO2 du chauffage électrique a explosé : nous sommes passés à plus de 500g par kWh !
Encore un lien qui explique le problème.
Spoiler - Cliquer ici pour lire la suite
Citation :
Chauffage électrique, le plus mauvais système de chauffage!
Le chauffage électrique est le pire système de chauffage pour plusieurs raisons, notamment du point de vue environnemental et économique.
Le chauffage électrique direct inclut les solutions de chauffage : convecteurs électriques, panneaux rayonnants, planchers ou plafond chauffants.
En France, 27% des logements principaux sont équipé de chauffage électrique direct. Ce chiffre est énorme par rapport aux autres pays européens.
Le chauffage électrique est un plus gros consommateur d’énergie primaire, vu son rendement catastrophique (38% maxi sur énergie primaire). Explication : ce mauvais rendement n'est pas lié à l'élément de chauffe (presque 100% sur énergie finale) mais se situe au niveau de la production d’électricité et de son transport. Les centrales nucléaires et thermiques (charbon, pétrole, gaz) ont un rendement entre 30% et 40% à la source, qui s'affaiblit encore après le transport au niveau des lignes électriques. Bref, concrètement, pour fournir 1 kWh de chaleur dans la maison, ce chauffage électrique doit consommer 2,58 kWh d’énergie primaire (chiffre officiel) mais en réalité, selon certaines études, celui-ci peut atteindre 3,2 kWh d’énergie primaire. Donc, le chauffage électrique est 3 fois moins performant que la chaudière gaz du point de vue énergétique.
Le chauffage électrique est unplus gros émetteur de gaz à effet de serre (CO2). D’après les études réalisées par RTE et ADEME, en analysant les émissions de CO2 avec la méthode du contenu marginal et en particulier dans le cas du chauffage, l’électricité liée à l’usage chauffage émet de 500 à 600 g de CO2 par kWh, soit un niveau en CO2 supérieur à toutes les énergies fossiles, charbon inclus. Ces émissions de gaz à effet de serre continueront à évoluer fortement à la hausse au cours des prochaines années en raison de l’augmentation de la demande en électricité. Lors du grand froid, comme les centrales nucléaires ne peuvent pasassurer la consommation du chauffage électrique, ce sont les centrales thermiques fortes émettrices de CO2, qui prennent le relais.
Le chauffage électrique participe aux fortes consommations d’électricité en hiver, notamment lors des grandes vagues de froid. D’après RTE, le chauffage électrique représente en moyenne 40% sur l’ensemble de la vague de froid du février 2012 et 38% à la pointe le 8 février 2012 à 19h. C’est-à-dire sur 102 100 MW d'électricité consommée de ce jour-là, environ 39 000 MW est consacrée au chauffage électrique. La sensibilité à la température de la consommation d’électricité, qui a fortement augmenté au cours des 10 dernières années (à cause du fort développement de chauffage électrique, particulièrement dans les constructions neuves où le taux a même atteint 70% en 2008) est aujourd’hui, estimée à 2300 MW/°C. Elle représente ledouble de la consommation de l’agglomération de Marseille pour chaque degré en moins en période froide. A titre de comparaison,en Allemagne, cette sensibilité est seulement de 500 MW/°C alors que ce pays est plus peuplé que la France. La thermosensibilité en France représente près de la moitié de la thermosensibilité européenne alors que la population française représente seulement moins de 9% de la population européenne.
Allemagne : 80 millions d’habitants, thermosensibilité de 500 MW/°C, soit 6,25 W/°C/hab.
France : 65 millions d’habitants, thermosensibilité de 2300 MW/°C, soit 35,40 W/°C/hab.
La thermosensibilité en France est 5,7 fois plus importante qu’en Allemagne. Chercher l’erreur !
L’explication est simple : en Allemagne, moins de 5% des logements sont équipés de chauffage électrique et c’est même interdit dans les constructions neuves.
De plus, la production électrique en France est insuffisante pour répondre à la demande de chauffage électrique. Lors du grand froid, la totalité des moyens disponibles (centrales nucléaires, centrales thermiques, centrales hydrauliques, éoliennes, etc…) en France est sollicitée. Et comme ça ne suffit pas, la France est obligé d’importer l’électricité venue de tous les pays européens voisins. Par exemple, le 8 février 2012 à 19h, les centrales nucléaires couvraient 58% de la consommation électrique, les centrales thermiques 18%, les centrales hydrauliques 14%, les énergies renouvelables (éoliennes, photovoltaïques seulement 3% et surtout 7% de la consommation électrique venait des importations.
Si on n’avait pas le chauffage électrique en France, la consommation électrique serait autour de 60 000 MW lors du grand froid au lieu de 100 000 MW.
A part ça, les centrales nucléaires produisent des déchets radioactifs dangereux pour l'environnement et les humains et qui risquent de durer pour plusieurs milliers d'années. C'est un gros problème mais c'est un autre débat.
Le chauffage électrique, c’est un frein au développement des énergies renouvelables. Alors que la part des énergies renouvelables soit être développée dans le mix énergétique du chauffage (on dit la chaleur renouvelable), l’option du tout électrique est peu compatible avec leur expansion. Le chauffage électrique direct ne permet pas la mise en place d’un fonctionnement multi-énergies (changer plusieurs fois d’énergies pendant la durée de vie du bâtiment). Concrètement, si vous avez choisi le chauffage électrique, vous ne pourrez plus changer d’énergie et vous serez coincé à l’électricité à vie car il faudrait faire des gros travaux pour réaliser l’installation hydraulique qui pourra accueillir les énergies renouvelables à l’avenir.
Le chauffage électrique dévalorise le patrimoine immobilier. Au même niveau de l’isolation, la maison équipée de chauffage électrique est 2,5 fois moins classée en DPE que la maison équipée de chauffage central au gaz. C’est du au coefficient multiplicateur de 2,58 pour l’électricité contre seulement de 1 pour les autres énergies.
Attention, en réalité, tous les systèmes de chauffage électrique direct ont le même rendement (100% sur énergie finale) quel que soit les convecteurs bas de gamme ou les radiateurs à inertie performants. Ca veut dire que pour 1 kWh d’électricité consommée, le chauffage électrique fournit 1 kWh de chaleur (pas plus, pas moins). Donc vous ne ferez aucune économie d’énergie en remplaçant ces radiateurs électriques bas de gamme par les autres de bonne qualité. Quand un fabricant ou un commercial vous dit que ce radiateur électrique vous fera jusqu’à 25% d’économie, c’est un mensonge. Ce n’est pas ce radiateur électrique (quel que soit le modèle) qui vous fera des économies mais la régulation et le confort.
Voir arnaques chauffage électrique! C'est édifiant!
Le prix de l’électricité est de 12 à 14 centimes le kW contre de 7 à 8 centimes pour le gaz. Avec le gaz propane, l’électricité est l’énergie la plus chère pour le chauffage.
Voici toutes ces raisons qui prouvent qu’il faut mettre en place une politique de sortie du chauffage électrique.
Si vous avez déjà le chauffage électrique chez vous, si vous voulez réaliser des économies d’énergie, 3 solutions vous proposent :
- soit isoler votre logement si celui-ci n’est pas bien voire pas du tout isolé.
- soit installer le chauffage central à eau chaude si votre logement est suffisamment isolé.
- soit les deux si votre budget vous permet. Si c’est la solution la plus efficace et la plus rentable.
On donne un exemple :
Dans une maison isolée de 160 m2, tout électrique (chauffage électrique, cumulus électrique) dont le besoin de chauffage et d’ECS est estimé à 20000 kWh par an et la consommation électrique consacrée aux usages spécifiques (électroménagers) est de 3000 kWh par an, cette famille décide de se débarrasser du chauffage électrique et de le remplacer par le chauffage central à eau chaude au gaz (chaudière gaz à condensation) avec la production d’eau chaude sanitaire.
Avant des travaux :
Facture annuelle de l’énergie (électricité) : 2980 euros (13000 kWh en heures pleines, 10000 kWh en heures creuses) (abonnement de puissance 12 kVA) dont 2590 euros pour le chauffage et 390 euros pour les électroménagers. DPE : chauffage et ECS : 322 kWh/m2/an (en raison du coefficient multiplicateur pour l’électricité) et ventilation : 3 kWh/m2/an, donc 325 kWh/m2/an, soit classée E, proche de F.
Travaux : installation de la chaudière gaz à condensation avec le ballon ECS intégré, le circuit des radiateurs à eau chaude, branchement gaz. Total de ce devis : 10000 euros (plus ou moins selon les devis). Détail :
- Chaudière gaz à condensation avec le ballon ECS intégré et la ventouse : 4000 euros.
- Circuit des radiateurs à eau chaude, accessoires : 2500 euros.
- Branchement gaz : 500 euros.
- Main d’œuvre : 3000 euros.
Après des travaux :
Facture annuelle de l’énergie : gaz (chauffage et ECS) : 1350 euros ; électricité (électroménagers) : 480 euros (puissance 6kVA, tarif de base) donc total 1830 euros. Et il faut ajouter 150 euros pour un entretien annuel de la chaudière. DPE : chauffage et ECS : 125 kWh/m2/an et ventilation et auxillaires : 5 kWh/m2/an, donc 130 kWh/m2/an, classée C.
Soit une économie annuelle de 1150 euros sans entretien ou de 1000 euros avec entretien. Soit le retour sur investissement inférieur à 10 ans.
Donc passer du chauffage électrique direct au chauffage central à eau chaude au gaz, ça permet :
- De diminuer la facture annuelle de l’énergie de 38% dont 48% pour le chauffage et l’ECS.
- De réduire la consommation de l’énergie primaire de 60%.
- De réduire les émissions de CO2 dues au chauffage de plus de 55%.
Cet exemple montre que c’est rentable de remplacer le chauffage électrique direct par le chauffage central au gaz. Le retour sur investissement est estimé inférieur à 10 ans.
Si vous voulez aller plus loin, rien ne vous empêche d’opter pour les énergies renouvelables (solaires thermiques, chaudière au bois, PAC).
Pour les maisons neuves (construites après les années 90) tout électrique, inutile de vous investir dans l’isolation car ces maisons sont suffisamment bien isolées et l’isolation renforcée n’est pas très rentable. La majorité des maisons neuves tout électrique sont classées E en DPE et certains (plus récentes) sont classées D. Il est rare de rencontrer la maison tout électrique classée C (celle doit être extrêmement bien isolée, niveau BBC). Si vous voulez que votre maison chauffée à l’électrique ait un meilleur classement énergétique (C ou B), ce n’est pas l’isolation renforcée que vous allez atteindre ce classement mais le changement du système de chauffage. C’est-à-dire le remplacement du chauffage électrique par le chauffage central à eau chaude (gaz, bois, PAC) qui permet d’atteindre ce meilleur classement énergétique le plus rapide possible. Bref, c’est la solution la plus simple, la plus rapide mise en œuvre.
Pour ceux qui ont le gaz de ville dans leur rue, c’est la solution « chauffage central au gaz » qui est la moins chère en investissement. Vous pouvez ajouter les panneaux solaires thermiques si vous en voulez et si votre budget vous le permet.
Et pour ceux qui n’ont pas le gaz de ville (souvent à la campagne), c’est la solution « chauffage central avec le poêle hydro à bois » qui est la moins chère en investissement.
Rien vous n’empêche d’opter pour les solutions plus écologiques comme la chaudière à bois, la PAC eau/eau, le système solaire combiné, etc…
[ Dernière édition du message le 12/03/2018 à 08:57:31 ]
Anonyme
4631
8644 Posté le 11/03/2018 à 15:21:06
Le mieux c’est encore d’avoir un réacteur nucléaire dans son abri de jardin et là ça passe crème.
http://knowledgenuts.com/2013/12/11/the-boy-scout-who-attempted-to-make-a-nuclear-reactor/
http://knowledgenuts.com/2013/12/11/the-boy-scout-who-attempted-to-make-a-nuclear-reactor/
oryjen
17492
Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 19 ans
8645 Posté le 12/03/2018 à 09:06:39
Tiens, sur la même page, une autre nouvelle écologiste:
https://firsttoknow.com/trump-send-americans-moon/?utm_source=contentad_backfill&utm_campaign=trump-send-americans-moo-213547&pp=1&utm_medium=286560&ck=bdc23e254ae64c5aa2ff86a19881777e
Ca se tient: "En fait ici c'est devenu tout pourri... Barrons-nous!"
https://firsttoknow.com/trump-send-americans-moon/?utm_source=contentad_backfill&utm_campaign=trump-send-americans-moo-213547&pp=1&utm_medium=286560&ck=bdc23e254ae64c5aa2ff86a19881777e
Ca se tient: "En fait ici c'est devenu tout pourri... Barrons-nous!"
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L'artiste entrouvre une fenêtre sur le réel; le "réaliste pragmatique" s'éclaire donc avec une vessie.
[ Dernière édition du message le 12/03/2018 à 09:06:59 ]
Dr Pouet
52037
Membre d’honneur
Membre depuis 20 ans
8646 Posté le 12/03/2018 à 12:15:15
Citation :
Attention, en réalité, tous les systèmes de chauffage électrique direct ont le même rendement (100% sur énergie finale) quel que soit les convecteurs bas de gamme ou les radiateurs à inertie performants. Ca veut dire que pour 1 kWh d’électricité consommée, le chauffage électrique fournit 1 kWh de chaleur (pas plus, pas moins).
Ça me semble quand même un peu simplificateur car il faut aussi tenir compte de la circulation d’air, du brassage. Avec les radiateurs qui contiennent de grandes ailettes verticales, l’échange est plus efficace et il y a une meilleure convection. Du coup l’air est plus homogène dans la pièce, et pour une même température au centre de la pièce, on chauffe moins fort au niveau du radiateur. Même chose avec le chauffage par eau et chaudière d’ailleurs.
D’ailleurs c’est pareil aussi avec les ailettes des radiateurs des amplificateurs de puissance !
boulooban
4649
Squatteur·euse d’AF
Membre depuis 17 ans
8647 Posté le 12/03/2018 à 12:17:20
Le chauffage au sol peut être électrique aussi.
Anonyme
65640
8648 Posté le 12/03/2018 à 12:20:03
Citation :
Encore un lien qui explique le problème.
le lien explique que dalle, parler du seul CO2 pour du chauffage était typique des années 2000, ça a amené la totale percée du diesel par ex. Ca recrache moins de CO2 que l'essence à puissance égale, mais 500 fois plus de CO et de dérivés souffrés, idem pour les particules fines.
Bah le chauffage au bois, fioul et tutti quanti c'est le même combat, qui ne sera pas gagné en opposant bois et électrique, mais en réduisant de façon incroyable leur consommation, via des isolations qui en France tardent grandement à venir.
Les chiffres bruts c'est joli, on leur fait toujours dire ce qu'on veut, et à force de les manipuler on arrivera toujours à prouver que les dimensions de la Grande Pyramide sont 666.
[ Dernière édition du message le 12/03/2018 à 12:21:15 ]
boulooban
4649
Squatteur·euse d’AF
Membre depuis 17 ans
8649 Posté le 12/03/2018 à 12:33:12
Citation de youtou :
via des isolations qui en France tardent grandement à venir.
A la traine par rapport à quoi/qui, parce que le simple vitrage sans volet des hollandais me semble encore un poil en retrait.
#Houba
6572
Membre d’honneur
Membre depuis 16 ans
8650 Posté le 12/03/2018 à 13:28:43
Le problème avec l'isolation c'est l'habitat ancien. A part le basique (isolation de combles) ou des cas particuliers (murs creux injectables) ce sont des travaux coûteux et/ou très compliqués à mettre en œuvre dans une maison occupée. Les bricolages d'isolation intérieure depuis les années 80 ont souvent conduit à des catastrophes (dégradations jusqu'au structures avec la condensation aux ponts thermiques)
Remplacer menuiseries et fenêtres c'est bien mais coûteux par rapport à l'intérêt énergétique quand on se retrouve avec des châssis et vitrages plus isolants que... les murs autour. Le remplacement de chauffage (avec ou sans changement d'énergie) est bien plus simple et plus facile à amortir.
Pour avoir une amélioration sensible et durable de l'isolation thermique moyenne des constructions il faut de la rénovation très lourde ou du neuf... qui consomme pas mal d'énergie et génère pas mal de CO2 aussi. C'est un processus qui va s'étaler sur un bon siècle, beaucoup trop lent par rapport aux nécessités.
Remplacer menuiseries et fenêtres c'est bien mais coûteux par rapport à l'intérêt énergétique quand on se retrouve avec des châssis et vitrages plus isolants que... les murs autour. Le remplacement de chauffage (avec ou sans changement d'énergie) est bien plus simple et plus facile à amortir.
Pour avoir une amélioration sensible et durable de l'isolation thermique moyenne des constructions il faut de la rénovation très lourde ou du neuf... qui consomme pas mal d'énergie et génère pas mal de CO2 aussi. C'est un processus qui va s'étaler sur un bon siècle, beaucoup trop lent par rapport aux nécessités.
Ex-producteur retraité de la musique en 2016
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