Le Pub de l'écologie

Today, the WSL has made the difficult decision to cancel the remainder of the Margaret River Pro, as a result of exceptional circumstances surrounding this season's event regarding sharks and the safety of our surfers. This decision has been reached after many hours of consultation with a variety of stakeholders and experts.

The WSL puts the highest premium on safety. This cannot be just talk, and it cannot be compromised. Surfing is a sport that carries various forms of risk, and is unique in that wild animals inhabit our performance environment. Sharks are an occasional reality of WSL competitions, and of surfing in general. Everyone associated with our sport knows that. There have been incidents in the past -- and it's possible that there will be incidents in the future -- which did not (and will not) result in the cancellation of an event. However, current circumstances are very unusual and troubling, and we have decided that the elevated risk during this season's Margaret River Pro has crossed the threshold for what is acceptable.

On April 16th (local time), two separate shark attacks occurred at nearby Gracetown - approximately 6 kilometers away from the primary event site at Main Break. The presence of beached whales in the area has attracted sharks and contributed to the aggression of their behavior, which, experts agree, has increased the possibility of further attacks. These findings have resulted in nearby locations being closed to surfing and swimming.

Mais il lui faut ferrailler en même temps contre les industriels soutenant la pêche profonde. L’affaire tourne à un quasi-duel avec la Scapêche, basée à Lorient. Après avoir longtemps renâclé, l’armement du groupement des Mousquetaires, maison mère d’Intermarché, finira néanmoins par s’engager à arrêter progressivement le chalutage en eau profonde.

Claire Nouvian passe alors pour l’ennemie jurée des gens de la mer, du moins jusqu’à ce qu’elle s’attaque à la pêche électrique et dépose plainte contre les Pays-Bas, adeptes de cette technique redoutablement efficace pour racler les fonds sur lesquels vivent les soles. La voilà du coup métamorphosée en championne des artisans pêcheurs – de la mer du Nord en particulier –, victimes de l’appétit dévorant des armements néerlandais.

Cette fois, elle remporte une victoire éclair à la surprise générale – elle y compris. A la veille de Noël 2017, la généralisation des chaluts équipés d’électrodes semblait discrètement et irrémédiablement engagée au sein du Parlement européen, sans même un examen en plénière. Alertés à grand renfort de médiatisation, les élus se reprennent et opposent leur veto dans l’hémicycle le 16 janvier. Les députés français adoptent à leur tour l’interdiction de la pêche électrique le 6 mars, à l’unanimité, mais le dossier n’est pas clos au niveau européen.