Végétariens, vegans et végétaliens c'est par ici !

Ce soir c'était gratin de raviolis avec une béchamel de courgettes.

Fanou : tu fais cuire des courgettes a l’eau, tu les égouttes et les mixes avec le lait de ta béchamel avant de l’ajouter au roux.

Voilà comment réduire une intention éco responsable à "tu n'es pas comme nous, ben t'es qu'une merde". Bravo.

Citation de j-skellington :

Voilà comment réduire une intention éco responsable à "tu n'es pas comme nous, ben t'es qu'une merde". Bravo.

Ce n'était pas mon intention. Excuses moi si je t ai blessé.
Une façons ďire bon courage.

l'impression de tomates poussées à Tchernobyln pas des machins parfaitement ronds de couleur rouge homogène.

Vous êtes dessinateur, photographe, graphiste… ou vous souhaitez vous engager pour aider les animaux ? Ceci est pour vous !

CIWF lance un concours et récompensera la meilleure illustration pour appeler à signer l’Initiative Citoyenne Européenne (ICE) contre les cages.

Vous le savez, en Europe, chaque année, plus de 300 millions d’animaux sont élevés en cage (truies, poules pondeuses, lapins, cailles, oies, canards, veaux). Pour les sortir des cages, CIWF a lancé une ICE, « super pétition » européenne qui dure un an… et qui se termine le 11 septembre 2019. Les derniers jours sont décisifs, et c’est là que vous intervenez !

Réalisez une illustration appelant à signer l'ICE, puis postez la sur votre mur Facebook le lundi 12 août à 12h00.
Le mardi 27 août à 12h00, nous ferons le tour des illustrations, celle qui aura fédéré le plus de réactions (like, commentaire, partage) sera mise en avant pour notre dernière campagne de publicité sur Facebook, début septembre. Son auteur recevra aussi un sac en coton bio End the cage age.

4 règles à respecter :
- Format de l’illustration : dessin, peinture, graphisme, infographie, photo, montage.
- Dimension : 940 x 788 px
- Sur l’illustration doit figurer : www.findescages.fr (adresse de la plateforme pour signer l'ICE) et le 11 septembre 2019 (date de clôture de l'ICE).
- Sur le commentaire de votre publication, veuillez mentionner @ciwf.france. Sans cela, nous ne pourrons tout simplement pas voir votre illustration.

Votre créativité peut sortir les animaux des cages ! D'avance merci.

J'ai trouvé ça dans mes archives potagères, zarbi quand même le style cul, bite, nichon.

Ah oui c’est bien ça, vas y mets Kassav.
:les parasites

me semble qu'il y a un thread sur les animaux en captivité, genre zoo etc, mais je l'ai pas trouvé, du coup ici ça sera un peu HS mébon.

j'ai eu ouie dire qu'à côté de Nancy, ce weekend y avait une foire médiévale, avec entre autres animations, un montreur d'ours.
Bon, c'est le bordel, y a une pétition en ligne depuis des semaines (avec plusieurs centaines de milliers de signatures) pour interdire la venue de cette animation, pour protester contre la cruauté animale.

Bon, le montreur d'ours s'est défendu en disant que d'une, il a récupéré l'ours mourant, et l'a traité comme un prince, preuve en est qu'il est copain comme cochon avec lui, ce qui est d'ailleurs l'objet du spectacle.
Argument qui me parait aussi crédible et logique : tabasser un ours et le maltraiter, pour ensuite mettre sa propre tronche dans la gueule de l'ours, c'est avoir un QI à 2 chiffres, je pense.

Des avis plus documentés sur le sujet ?

PS : les pétitionnaires ont dit que si le montreur d'ours venait, ils viendraient foutre le zouk, ce à quoi des petits malins de l'organisation ont répondu que dans ce cas, ils leur lâcheraient l'ours au cul, j'ai lollé.

Pour ceux qui veulent creuser la question de l'eau, voici un article en français, non-partisan et très complet. https://criticalvegan.com/2019/07/02/15-000l-deau-pour-un-kilo-de-boeuf-vraiment/?fbclid=IwAR36dmlNxoyPCOZ_BdiqMDdsFkrh_782Y_MTw0QhToX24e4ljburQFRtrUk
Et un "petit" extrait intéressant

Citation :

Le concept d’empreinte eau virtuelle
Qu’est-ce que c’est?

Le chiffre de 15.000L provient d’une méthode de calcul nommée « Water Footprint Assessment » proposée par le professeur Arjen Hoekstra en 2002 et décrite dans un manuel du Water Footprint Network en 2011 [1]. Le principe est de quantifier l’eau utilisée de manière à la fois directe et indirecte : l’empreinte eau en résultant correspond à la quantité d’eau consommée en prenant en compte l’intégralité de la chaine d’approvisionnement.

Cette empreinte contient 3 composantes distinctes :

L’eau bleue correspond à l’eau consommée dans des réserves de surface (rivières, lacs…) ou de sous-sol (nappes phréatiques, rivières souterraines…).
L’eau verte correspond à la consommation d’eau de pluie infiltrée dans le sol (humidité du sol ; l’eau de ruissellement est exclue).
L’eau grise correspond à la quantité d’eau nécessaire à la dilution des polluants. A noter ici que cette eau n’est pas nécessairement utilisée : il s’agit de l’eau nécessaire pour éviter une pollution. Or, celle-ci n’est pas toujours évitée…

Il est important de comprendre ce que l’on entend par une consommation d’eau :

Pour l’eau bleue il s’agit des pertes induites dans le lieu de prélèvement. Par exemple, de l’eau prélevée en amont d’une usine puis rejetée en aval n’est pas considérée consommée : seule la partie perdue (par exemple évaporée) l’est. A l’inverse, de l’eau prélevée dans une nappe phréatique puis rejetée en surface est considérée consommée.
Pour l’eau verte il s’agit de l’eau incorporée dans le produit ainsi que de l’eau utilisée par évapotranspiration.

L’empreinte eau correspond au résultat de la première étape du « Water Footprint Assessment » qui en contient trois :

1- Quantification et localisation de l’empreinte eau d’un procédé, produit, producteur ou consommateur pour quantifier dans le temps et l’espace l’empreinte eau dans une zone géographique délimitée.
2- Evaluer la durabilité environnementale, économique et sociale de cette empreinte.
3- Formuler une stratégie de réponse.

Il est donc important de noter que l’empreinte eau n’est pas un indicateur d’impact, qu’il soit environnemental, social ou économique : cet impact est évalué à la phase 2.