Végétariens, vegans et végétaliens c'est par ici !
- 1 420 réponses
- 52 participants
- 48 390 vues
- 31 followers
Anonyme
Anonyme
l'élevage en cage et pas en plein air
Anonyme
Ils disposent de moins de 600 cm2 d’espace par tête (soit un peu moins d’une feuille A4)
J'ai mesuré les cages à lapin que j'ai encore chez moi, 60 x 70 cm.
Un standard des années 70, un truc triste en béton et ferraille, j'en ai encore aussi quelque une en bois qui ont réussi à traverser les années, dedans y'avait une femelle avec ses petits ou bien un ou deux sujets quant il ne se bouffait pas entre eux, des fois des cailles ou quelques poussins pour occuper l'espace libre entre deux portés.
Ce qui faisait entre 2100 et 4400 cm² pour un lapin, mieux que 600 cm².
Bon après, cage ou cage ça reste une cage.
Aussi avec un voisin et son renard qu'il avait dressé, il m’emmenait chercher du lièvre dans les champs, clairement c'était bien plus fun que les cages.
chapolin
1) Préparez une vinaigrette à base de vinaigre balsamique, d'huile d'olive, de moutarde et salez suivant votre goût.
2) Faites cuire à la vapeur douce des cubes plus ou moins gros de céleri rave, environ 15 minutes pour qu'ils soient fondants.
3) Four à 200 pendant 13 minutes, faites fondre de la meule de Savoie rappée ainsi que de la mimolette mi-vieille rappée sur une ou des tranches de pain de mie complet.
4) Faites vous une assiette avec les céleris assaisonnés de vinaigrette servis avec le pain grillé "fromagé"
Ps pour les végans le pain grillé ou autre chose pouvant s'y rapporter fera aussi l'affaire.
Choisir bien entendu tous les ingrédients bio !
Spacionot (ex Cola Verde)
https://www.theveganary.com/
[ Dernière édition du message le 21/01/2020 à 22:44:29 ]
Dr Pouet
Consommation de viande en kg de carcasse (viande avec os) par Français et par an de 1800 à 2000.
L’explosion de la consommation de viande date de l’après-guerre, au moment de la diffusion des engrais et pesticides de synthèse, montrant d’une autre manière que consommation importante de viande et agriculture intensive sont couplées.
Source : Bernard Sauvant, INRA.
https://jancovici.com/transition-energetique/renouvelables/pourrions-nous-vivre-comme-aujourdhui-avec-juste-des-renouvelables/
Autrement dit :
1800 20kg
1925 40kg
1950 70kg
1975 90kg
Djardin
En gros, coton et synthétique, c'est pas écolo du tout. Et pas de grande qualité non plus en sport.
Laine, c'est le top pour la température (chaud et froid), pour l'odeur, c'est moins de pollution que synthétique, mais pas vegan.
Et chanvre, lin, c'est sensé être aussi bien que la laine, mais dans les modèles que je trouve en catégorie "sport" c'est sarouel ou sweat à capuche pour méditer. Mais rien de vraiment sport pour se faire de la rando ultra-légère et suer 5 jours d'affilé sans se laver.
Référence en matière de bon gout capillaire et vestimentaire.
homme à tête de zizi.
Anonyme
Citation :En gros, coton et synthétique, c'est pas écolo du tout. Et pas de grande qualité non plus en sport.
Je serais pas aussi affirmatif, j'imagine enfoncer une porte ouverte en disant que ça va dépendre du cahier des charges initial, en sachant que l'avantage des fibres synthétiques (et in extenso du plastique) c'est que la durée de vie potentielle est carrément plus grande que le naturel....
Sinon, bilan personnel après une bonne année de quasi végétarisme (j'ai totalement supprimé de mon alimentation les pauvres vaches et moutons, parfois je m'empiffre de braves cochons, ne mangeant toutefois que du pata negra espagnol pour me donner bonne conscience, ou volailles et poissons, en quantité moindre qu'avant) : faut que je surveille mon poids, j'ai perdu 10kg durant 2019....
En sachant que je partais pas de 180kg mais 75, autant dire que là dès que le vent dépasse 25km/h, je leste mes poches avec un sac de ciment.
Bon, j'avais peur de gonfler comme une baudruche en bouffant des féculents comme s'il en pleuvait (en vrai, finalement c'est surtout des ^pâtes, cuites al dente), que dalle.
Djardin
Et le coton consomme à fond d'eau et de produits.
Après, par rapport à de la laine ?
Par contre, à l'usage ça régule moins la température (ça chauffe mais ne garde pas au frais) et ça garde les odeurs.
Et pour la durée de vie, en prenant de la qualité le synthétique doit tenir plus que la laine.
Mais vu que ça garde les odeurs et que c'est fait pour suer beaucoup les T-shirts synthétiques de sport que j'ai puent au bout de quelques mois.
Référence en matière de bon gout capillaire et vestimentaire.
homme à tête de zizi.
Anonyme
Spacionot (ex Cola Verde)

Finalement si, je sais qu'il existe des polaires en bouteilles recyclées...
[ Dernière édition du message le 28/01/2020 à 12:02:41 ]
Anonyme
Djardin
(sauf à randonner avec la machine à laver sur le dos)
Et quand c'est du sport à la journée, même en les lavant ça garde un peu l'odeur donc sur du long terme ça fouette.
Après, c'est pas dramatique, hein.
Le recyclé, c'est principalement des polaires, doudounes et compagnie, effectivement.
Référence en matière de bon gout capillaire et vestimentaire.
homme à tête de zizi.
Spacionot (ex Cola Verde)
chapolin
chapolin
L’épluchage des légumes
Nos aliments sont vivants
Au commencement de chaque végétal était une graine. Puis, grâce à l’alchimie de l’eau et de la photosynthèse, cette graine est devenue une fleur, une tige ou un arbre. Puisant sa nourriture dans le sol, grâce au magnétisme du soleil et à l’humidité de la rosée ou de la pluie, la plante fait intervenir des milliers de composés organiques et aboutit, au bout de quelques mois, au fruit mûr ou à la plante épanouie.
Dans certains cas (les fruits, les tubercules, les haricots, les courges), le processus biologique est arrivé à son terme. Dans d’autres (les salades, les légumes verts), c’est l’homme qui l’interrompt. « Chaque cellule d’un animal ou d’une plante, nous dit Claude Aubert, est une micro-usine en pleine activité qui, à travers sa membrane, absorbe des substances nutritives et rejette des déchets, tandis que des centaines d’enzymes déclenchent et contrôlent d’innombrables réactions biochimiques.
Le couteau du boucher ou du jardinier met n à cette intense activité. Le sang ou la sève, qui transportent les éléments nutritifs jusqu’aux cellules, cessent de circuler. Un autre processus s’amorce alors, qui conduit plus ou moins rapidement à la pourriture.» Tout l’art de notre cuisine sera d’éviter le plus possible l’oxydation. Dès lors que le fruit a été cueilli ou que le légume est sorti de terre, le processus d’oxydation commence. Le fait d’acheter des légumes avec leurs fanes ralentit ce mécanisme. Faites l’essai chez vous : achetez des poireaux avec leur « barbe » et achetez-en dont la barbe a été coupée. À conditions de stockage égales, l’un se étrira beaucoup plus rapidement que l’autre.
N’épluchez jamais vos légumes à l’avance car la vitesse d’oxydation augmente avec la surface de contact avec l’air. Ainsi, une carotte entière ne s’appauvrit que très lentement de son carotène si elle est placée au frais. En revanche, elle perd sa provitamine A très rapidement dès lors qu’elle est râpée et laissée à l’air ambiant. Vous avez sans doute fait l’expérience de râper une pomme dans une assiette. Très rapidement elle brunit. Le brunissement est l'expression visible à l’œil nu de l’oxydation. Il suft d’ajouter un peu de citron pour ralentir considérablement le phénomène et ainsi sauvegarder les précieuses vitamines.
Méez-vous des mixeurs car ils oxydent les aliments 200 fois plus rapidement. Pour atténuer cet inconvénient, ajoutez du citron aussitôt. Évitez de conserver des légumes râpés, même au frais. Si j’insiste sur le sens de l’épluchage des légumes et des fruits, c’est que, là aussi, on peut atténuer grandement l’oxydation. Il faut toujours éplucher un légume de la fane vers la racine. C’est-à-dire du haut vers le bas (du ciel vers la terre). Prenons l’exemple d’un poireau. On le coupera en deux de la fane verte vers le blanc. En dernier lieu, on retirera la racine, c’est-à-dire la barbe. Elle peut d’ailleurs être utilisée comme aromate pour préparer une salade ou une sauce. Pour ce qui concerne la pomme de terre, vous devrez vous entraîner à reconnaître l’œil de pousse des germes. En général, l’œil de pousse se situe du côté le plus pointu du tubercule (cela correspond à l’attache de la eur). Coupez-en une en deux. Vous pourrez observer comme une colonne vertébrale centrale avec de petites ramications.
N’avez-vous jamais constaté auparavant qu’à taille égale, certaines pommes de terre cuisaient plus vite que d’autres ?
C’est que, sans le savoir, vous en avez épluché certaines dans le bon sens et d’autres non. Ainsi, éplucher dans le bon sens diminue le temps de cuisson et ralentit l’oxydation du fait du respect de l’« orientation moléculaire », c’est-à-dire du sens de pousse. Un menuisier ne rabote-t-il pas son bois dans le sens de la bre ? S’il rabotait à contresens cela fendrait le bois et le détruirait. Il en est de même pour tous les légumes.
Marion Kaplan
Spacionot (ex Cola Verde)
Anonyme
chapolin
Rien à voir d'ailleurs avec notre confinement, toute la journée dans nos canapés devant la télé, à grignoter des friandises en se languissant.
[ Dernière édition du message le 31/03/2020 à 01:12:34 ]
Anonyme
Anonyme
Comment vous êtes-vous remotivés pendant les downs transitionnels ?
Comme le moral est mof je me mets pas trop la pression mais l'envie revient. Mes carottes sont ou plutôt étaient: moins nuire à autrui, la caisse que j'avais en surf quand j'étais débutant vegétalien strict.
Pour la nourriture je suis revenu de trèèès loin culturellement: Breton de base enfilant la plaquette de 500g de beurre/semaine , viande à tous les repas. Et transition douce vers végétarisme/végétalisme vers 2011 avec un retour flexitarien l'an passé pour convénience sociale. Mais là je suis en pleine régression flemme/junkfood/OD de sucreries et il est temps que j'arrête... ça va peut être me remotiver de vous lire.
Et pour la durée de vie, en prenant de la qualité le synthétique doit tenir plus que la laine.
Pas de solution pour le lin ou le chanvre, j'ai pas creusé à vrai dire mais l'info m'intéresserait.
Pour la laine le mérinos c'est chouette, pour la durée de vie je valide 2 ticheurtes à manche longue sur plus de 3000 kilomètres de sac à dos. L'un est mort, je l'ai achevé en 2017 lors d'une rando Pyrénées > Paris. L'autre n'a pas bougé parce que moins porté, c'est du Décath' qui a 7 ou 8 ans. Les calebutes merinos ont pas duré, lavé souvent et obligé de les essorer trop durement pour que ça sèche en marchant. Si je regarde en arrière en effet mon ticheurte synthétique de qualité est toujours là et il a servi tout autant mais c'est beaucoup plus galère à l'usage, socialement inacceptable niveau odeurs passé une journée de marche. Tout dépend du contexte quoi.
J'ai pas trouvé mieux que le mérinos pour faire un sac à dos léger, être protégé du froid en couchant dehors, sans puer la mort. Pour les voyages non motorisés ou randos au long cours j'aurais pas trop de scrupules à en racheter mais en faisant attention. Je croyais bien faire avec du matos "naturel" à l'époque et puis j'ai découvert le "museling" par la suite...
Pour info la marque anglaise Finisterre a ses propres moutons et ne pratique pas cette torture, c'est pour les portefeuilles bien garnis malheureusement. Encore que, ça reste gérable pour les sous-vêtements.
D'ailleurs pour revenir sur le sujet, hormis le trajet, je pensais bien faire avec mes fromages aux noix de cajous aussi, et puis j'ai découvert les conditions de travail des femmes, leurs mains mutilées.
Ca peut être assez désespérant de constater que l'exploitation se cache partout.
Spacionot (ex Cola Verde)
D'ailleurs pour revenir sur le sujet, hormis le trajet, je pensais bien faire avec mes fromages aux noix de cajous aussi, et puis j'ai découvert les conditions de travail des femmes, leurs mains mutilées.
Ca peut être assez désespérant de constater que l'exploitation se cache partout.
Attention à bien voir d'où provient l'information sur les noix de cajou.
Pour les noix de coco j'ai vu comme beaucoup ces images ou ces vidéos de singes attachés à une corde et qui doivent cueillir les noix et puis j'ai un peu creusé le sujet et finalement il s'agirait d'une pratique très minoritaire, voir rare.
J'ai l'impression que l'industrie du lait-viande fait de la propagande anti-vegan avec ces vidéos qui touchent notre éthique.
On peut aussi très bien consommer local avec les graines de tournesol qui sont un aliment de base excellent et pas cher. Et se réserver les cajou, amandes etc comme de petits plaisirs ponctuels.
[ Dernière édition du message le 31/03/2020 à 12:35:59 ]
Anonyme
Au Bénin ça a l'air mieux, après l'USDA à son nez dedans et tu vois bien quel genre de système industriel se développe:
https://www.africancashewalliance.com/fr/news-and-info/newsletter/le-groupe-dexportateurs-de-noix-de-cajou-du-benin-lance-son-site-web
Je me méfie autant du lobbyisme possible de l'industrie de la viande/céréalière que des filières "végétales", des propagandes gouvernementales, des labels "solidaires" censément vertueux.
Sinon je te rejoins et utilise des graines de lin et tournesol souvent. Le lin est intéressant pour se faire du lait végétal express, tu broies tu laisses reposer 5 minutes et glou, même pas besoin de filtrer. Pas l'idéal pour l'assimilation ou le cholestérol à cause de la saponine je pense,. Il vaut mieux laisser tremper une nuit, mais il faut le mixeur/blender qui va bien pur les graines humides.
Dernièrement j'ai tenté les graines germées de fénugrec, mauvais choix pour ceux qui essaient de se sevrer du sucre visiblement.
[ Dernière édition du message le 31/03/2020 à 13:47:18 ]
kuwa
Aucun intérêt d'acheter des sachets exprès pour graines à germer c'est de l'arnaque, je les achète au poids Bio et c'est produit en France.
Spacionot (ex Cola Verde)
[ Dernière édition du message le 31/03/2020 à 15:29:29 ]
kuwa
Par contre Fenouil, radis, pois chiches pas du tout à mon goût, pas assez "doux".
Je ne suis pas sûr avoir déjà vu des lentilles corail non concassées.
Avant on trouvait facilement des lentilles jaunes mais impossible d'en trouver maintenant aux alentours de chez moi... why ?
[ Dernière édition du message le 31/03/2020 à 19:55:14 ]
- < Liste des sujets
- Charte

