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Le pub de la Corona...

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Sujet de la discussion Le pub de la Corona...
Citation :
Un conseil de défense suivi d’un conseil des ministres « exceptionnels » seront organisés samedi 29 février pour faire le point sur le coronavirus, a annoncé l’Elysée vendredi. Le premier aura lieu à 10 heures et le second à 11 heures.


Un nouveau sujet pour qu il n y ait pas une pandémie sur le Pub.
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[ Dernière édition du message le 29/02/2020 à 09:56:54 ]

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5761
Et a la britannique.
Meme si ce week-end etait un peu plus tranquille a cause de la meteo.
5762
Citation :
a cause de grâce à la meteo

[ Dernière édition du message le 22/06/2020 à 09:30:54 ]

5763
Hier, première bise (non consentie) en 4 mois.
J'ai été un peu pris au dépourvu, manque de réflexe sur l'approche joue gauche. J'étais bien sur mes appuis, bonne transition droite-gauche mais encore un peu fébrile sur la réception joue droite.
Pour une reprise c'était plutôt pas mal.
Par contre ce matin, réveil avec un torticolis. Sûrement le manque de préparation physique...
5764
M'enfin, un bon coup de coude circulaire ça demande pas lourd de prépa quand même.

"L'Homme est la nature prenant conscience d'elle même." - Elisée Reclus

5765
Article très intéressant :

Citation :
Richard Horton, patron du « Lancet » : « Le Covid-19 montre une faillite catastrophique des gouvernements occidentaux »
Dans un livre publié au Royaume-Uni, le rédacteur en chef de la revue médicale dénonce l’impéritie de nombreux pays face à la menace pourtant annoncée de la pandémie. Il revient sur la rétractation récente d’une étude publiée dans ses colonnes.


https://www.lemonde.fr/sciences/article/2020/06/20/richard-horton-le-covid-19-montre-une-faillite-catastrophique-des-gouvernements-occidentaux_6043590_1650684.html

Citation :
Richard Horton est une figure incontournable de l’édition scientifique. Patron depuis un quart de siècle du journal médical britannique The Lancet, il vient de publier un ouvrage dans lequel il dénonce la faillite des exécutifs occidentaux face à la pandémie (The COVID-19 Catastrophe : What’s Gone Wrong and How to Stop It Happening Again, Polity, non traduit). Dès janvier, le Lancet avait publié cinq articles qui permettaient d’appréhender ce qui attendait la planète si rien n’était entrepris pour contrer la diffusion internationale du SARS-CoV-2.


Citation :
Vous venez de publier un livre dans lequel vous êtes très sévère sur la façon dont la pandémie a été gérée, en particulier dans votre pays, le Royaume-Uni…

La raison pour laquelle mes mots sont durs, c’est que nous avons publié à la fin du mois de janvier dans le Lancet cinq articles qui décrivaient parfaitement cette nouvelle maladie pour laquelle il n’y avait ni traitement ni vaccin, qui présentait une assez forte mortalité, et qui se transmettait entre humains.

Pour reprendre les mots de Gabriel Leung (université de Hongkong), « ce mode de transmission indiquait une forte probabilité de pandémie mondiale ». On savait tout cela le 31 janvier. La veille, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) avait déclaré une urgence de santé publique de portée internationale.

Et, pendant les six semaines qui ont suivi, la plupart des pays occidentaux n’ont absolument rien fait. C’est une erreur impardonnable.
La question est : pourquoi le président [français Emmanuel] Macron, le président [du Conseil italien Giuseppe] Conte, pourquoi le premier ministre [britannique Boris] Johnson, pourquoi le président [américain Donald] Trump n’ont-ils rien fait ? Ne comprenaient-ils pas ce qui se passait en Chine ? Ne croyaient-ils pas les Chinois ? N’ont-ils pas demandé à leurs représentations diplomatiques à Pékin d’enquêter ? Je ne comprends pas. Les preuves étaient très claires, dès fin janvier. Donc je pense que les politiciens vont devoir s’expliquer.

Et ce n’est pas correct de blâmer l’OMS ou la Chine, comme le font Johnson ou Trump, dans une mystérieuse théorie du complot. L’OMS et la Chine ont expliqué dès janvier ce qui était en train de se passer. Mais il y a une défaillance systématique des gouvernements occidentaux qui n’ont pas pris ces messages au sérieux. Etait-ce du racisme envers les Chinois ? C’est une faillite catastrophique des exécutifs occidentaux. Cette pandémie est un désastre que nous avons nous-mêmes créé.



Citation :
Des commissions d’enquête parlementaires ont-elles été mises en place au Royaume-Uni afin d’évaluer la gestion de la pandémie par le gouvernement ?

Non. La France a un temps d’avance sur nous. Nos politiciens nous disent que ce n’est pas le bon moment. Ce que je trouve dément. Si nous avons une seconde vague plus tard cette année, nous ferions mieux d’avoir tiré les leçons de notre mauvaise gestion de la première.
Article réservé à nos abonnés Lire aussi Crise sanitaire : à l’Assemblée nationale, l’heure des explications a sonné
Nous devons être très clairs à ce sujet. Je ne veux blâmer aucun individu. Il n’y a pas une personne en France ou dans aucun autre pays européen qui soit responsable à elle seule d’une faillite nationale. C’est le système qui a failli, le système de conseils scientifiques qui a failli dans votre pays comme dans le mien. Le système de riposte politique a failli dans votre pays comme dans le mien.


En quoi la France a-t-elle failli, selon vous ?

Lorsqu’il y a eu proclamation d’une urgence de santé publique de portée internationale, le 30 janvier, pourquoi la ministre de la santé [d’alors, Agnès Buzyn] n’a-t-elle pas immédiatement envoyé un message à l’ambassade de France à Pékin pour lui demander son aide pour comprendre ce qui se passait à Wuhan, quel était ce virus, à quel point il était inquiétant, s’il était aussi préoccupant que l’indiquaient des articles dans The Lancet ?

Si l’ambassade avait fait correctement son travail, elle aurait rassemblé en quarante-huit heures les informations du bureau de l’OMS à Pékin, de la Commission nationale de santé du gouvernement chinois. Elle aurait compris la nature de la menace, l’aurait immédiatement transmise au ministère de la santé et au Palais de l’Elysée et, à la fin de la première semaine de février, le gouvernement aurait disposé d’une vision très claire du danger.

Si cela ne s’est pas produit, c’est une faillite catastrophique du gouvernement français et les Français doivent demander pourquoi le gouvernement n’a pas protégé les près de 30 000 vies qui ont été perdues, comme nous en avons perdu 40 000. C’étaient des morts évitables. Ces personnes devraient être en vie aujourd’hui.

Pourquoi les gens ne sont-ils pas davantage en colère à ce sujet ? J’ai vu les manifestations des « gilets jaunes » dans les rues de Paris. Elles m’ont frappé. Pourquoi les « gilets jaunes » ne manifestent-ils pas dans la rue contre l’échec du gouvernement français à protéger les vies des près de 30 000 de ses citoyens ? Qui demande des comptes au gouvernement ?

Tant qu’il n’y aura pas un vaccin disponible pour tous, le virus ne s’en ira pas de lui-même. Nous devrons vivre avec lui dans le futur proche. Selon toute probabilité, il reviendra cet hiver sous la forme d’une seconde vague. Et il est possible lorsque nous assouplissons le confinement que nous ayons des flambées de la première vague.

Donc, il n’y aura jamais un bon moment pour mener des enquêtes. Nous avons besoin d’une enquête qui démontre clairement qu’il ne s’agit pas de blâmer des individus, mais de comprendre ce qui n’a pas marché.


Citation :
Certains comparent ce qui s’est passé dans un laps de temps très court pour le Covid-19 avec le sujet du changement climatique, pour lequel nous savons ce qui va arriver mais n’agissons pas. Cela vous paraît-il pertinent ?

C’est un peu différent. Dans une pandémie, nous parlons de la faible probabilité d’un événement à haut risque. Le changement climatique est en train de se produire, qui provoque une urgence si nous n’agissons pas.

Je ferais plutôt la comparaison avec la protection contre les séismes. Si vous habitez à Los Angeles ou à San Francisco, on vous demande de vous préparer à un événement qui se produira à coup sûr mais à un moment inconnu. C’est très difficile de faire des plans pour ce type de situation.

Au Royaume-Uni et, j’en suis sûr en France, une pandémie grippale figurait en tête de liste dans l’évaluation nationale des risques. Nous savons que nous avons une épidémie saisonnière tous les ans, que la grippe de 1919 fut une catastrophe et nous savons qu’un jour nous serons confrontés à un virus grippal beaucoup plus sévère même s’il l’est moins que celui de 1919. Et nous nous y préparons.

Nous ne nous étions pas préparés à quelque chose du type SRAS [syndrome respiratoire aigu sévère]. C’était une erreur, car le SRAS de 2002-2003 était un prototype de ce que nous avons aujourd’hui. Nous savons qu’au cours des vingt ou trente dernières années, la fréquence des infections chez l’animal qui passent à l’homme a augmenté. La raison en est connue : urbanisation massive, taudis urbains, marché avec des animaux vivants dans les villes, mauvaises conditions d’hygiène…

Ces virus ne viennent pas par accident de Chine. Elle a connu l’industrialisation et l’urbanisation les plus rapides de la planète. Nous savions que nous étions en train de créer les conditions d’incubation d’une pandémie, mais nous ne savions pas exactement quand elle surviendrait. C’est sur ce point que nous avons trahi nos citoyens en ne nous préparant pas comme il fallait.

En 2016, le Royaume-Uni a fait une simulation – l’exercice Cygnus – afin d’évaluer l’impact d’une pandémie grippale. elle a montré que nous n’étions pas prêts pour une pandémie. Et nous nous retrouvons aujourd’hui dans une pandémie à laquelle nous n’étions pas préparés. Un nouvel exemple d’échec gouvernemental et de la santé publique. Nous savions qu’il y avait un problème, nous ne l’avons pas réglé.


Citation :
En France, il y avait un plan pour une situation pandémique, mais il semble qu’il soit resté dans un placard…

Exactement. Mais ce ne sont pas seulement les politiciens qui sont responsables. Votre pays comme le mien ont la chance d’avoir certains des meilleurs scientifiques au monde. L’Institut Pasteur est un réseau de classe mondiale d’institutions de recherche sur les maladies infectieuses. Où étaient les voix de l’Institut Pasteur pour pousser le gouvernement à se préparer à une pandémie, dès février ?

Il faut poser ces questions sur les scientifiques, au Royaume-Uni comme en France, pour savoir pourquoi l’élite scientifique ne faisait pas valoir ces signaux d’inquiétude.

Cette élite scientifique a parfois été divisée sur l’importance de cette menace pandémique, même assez tardivement, en France. Peut-être ces contradictions compliquaient-elles la tâche des politiques pour savoir à quoi on faisait face ?

Je comprends cela. Mais, ce que je dis, c’est que les choses étaient claires en janvier. Quiconque disait en mars qu’il n’y avait pas un danger immédiat avec cette pandémie montrait une incompétence incroyable. En mars, le virus faisait rage en Italie du Nord.

En France, des conseils scientifiques ont été créés pour éclairer le gouvernement. Quelle articulation peut-il y avoir entre la science et le politique ?

Je connais Jean-François Delfraissy, le président d’un de ces conseils scientifiques. Vous ne pouviez avoir un meilleur scientifique pour conseiller le gouvernement.

Je ne le critique pas. La responsabilité du système était de comprendre ce qui se passait exactement en Chine dès janvier. Je ne comprends pas pourquoi dès ce moment on n’a pas indiqué au gouvernement qu’il fallait prévoir des protections individuelles, être prêt à tester, à tracer et à isoler, éviter les rassemblements, envisager de fermer les écoles, pour se préparer à cette épidémie. Et ce n’est pas de la perspicacité. Relisez ces articles de janvier : tout y figurait déjà. Et rien ne s’est passé. Votre gouvernement a mieux répondu que le mien. C’est déjà ça…

Autre question : où était l’Union européenne (UE) ? Une des raisons de l’échec britannique est le Brexit, l’exceptionnalisme, la mentalité îlienne : c’est un défaut psychologique classique en Grande-Bretagne, la croyance que nous sommes meilleurs que tous les autres. Eh bien on a prouvé tout le contraire dans la façon de gérer cette pandémie.

Mais l’UE avait une opportunité de s’assurer que non seulement les pays soient préparés, mais aussi coordonnés. Une des choses les plus marquantes est d’avoir vu vingt-sept Etats avoir vingt-sept stratégies différentes.

Pourquoi l’UE n’a-t-elle pas réuni ses Etats membres pour qu’ils apprennent les uns des autres, coopèrent et s’aident d’une façon bien plus coordonnée ? Je sais que la réponse est que la santé est une responsabilité nationale. Mais on s’en fout ! C’était une pandémie, une urgence, une menace à la sécurité nationale ! L’UE aurait dû avoir une part bien plus active pour unifier les pays dans ces circonstances.


Citation :
Parlons du « Lancet », qui a dû rétracter le 4 juin un article publié le 22 mai. Que s’est-il passé ?

Il semble qu’il s’agisse d’une fraude monumentale, par le fondateur de la société Surgisphere, Sapan Desai. Il y a une enquête en cours par le Brigham and Women’s Hospital (Boston) dont dépend l’auteur principal, Mandeep Mehra, pour comprendre ce qui s’est passé. Ce dont nous sommes sûrs, c’est qu’il n’y a pas de données vérifiées ou validées de façon indépendante pour appuyer ce qu’avance l’article.

Personne ne peut dire si ces données existent, à part Sapan Desai lui-même, qui a refusé de les partager avec Mandeep Mehra et les autres auteurs, et il a refusé de les montrer à des auditeurs indépendants. Si bien que personne ne connaît le statut exact de ces données.

Cette affaire en évoque une autre, quand le « Lancet » avait dû rétracter en 2006 un article du Norvégien Jon Sudbo après que celui-ci avait admis avoir inventé des données. Quelles leçons peut-on tirer de ces épisodes ?

Il va nous falloir être plus méfiants. Aujourd’hui, nous faisons confiance à ce que nous disent les auteurs des articles scientifiques. S’ils nous disent qu’il y a une base de données et qu’ils signent une déclaration affirmant qu’elles sont fiables, nous leur faisons confiance, tout comme les reviewers extérieurs à qui nous demandons d’évaluer leurs travaux.

Clairement, il va falloir élever notre niveau de méfiance à propos de ces bases de données pour avoir plus de chance d’identifier des cas de fraude. Mais il faut être très clair : c’est une perte pour la science, qui s’appuie sur la confiance. Quand vous perdez la confiance, parce que des gens malintentionnés mentent, c’est mauvais pour tout le monde.

Pourrait-on imaginer des préenregistrements de ces données, comme dans les essais cliniques ?

Il y a aussi de la fraude dans les essais cliniques : des patients et des données ont été inventés, et on ne s’en est aperçu qu’après la publication des résultats…

La seule façon d’être 100 % certain de ne pas publier des travaux frauduleux serait que les éditeurs et les reviewers se rendent sur place et qu’ils examinent chaque élément des données sur lesquelles s’appuie l’étude publiée dans la revue. Mais c’est clairement une tâche impossible, grotesque. Donc on ne peut se passer d’une part de confiance, sinon la science cessera de fonctionner.

Pourrait-on imaginer des tiers de confiance qui vérifieraient une part de ces données, de façon aléatoire, comme c’est le cas dans l’industrie pharmaceutique, avec un effet dissuasif – un peu comme les contrôles routiers ?

Les revues scientifiques ne peuvent être la police de la science, ce n’est pas notre rôle. Mais on pourrait envisager d’être plus attentif si une nouvelle base de données apparaît, comme c’était le cas avec celle de Surgisphere. Mandeep Mehra n’a lui-même pas eu accès aux données.
Donc nous allons désormais demander aux auteurs de signer une déclaration qui dise explicitement qu’ils ont eu accès aux données et qu’ils les ont effectivement vues. On peut avoir des demandes plus strictes vis-à-vis des auteurs.


(...)
5766
Vu sur FB
Voilà la fabuleuse prime Macronniene

Citation :
Nous y voilà, je viens d'avoir confirmation que je ne bénéficierai pas de cette fameuse prime de 1500 euros annoncée en grande pompe par notre président de la république en direct au JT de 20h le 25 mars dernier et destinée à, je cite: "l'ensemble des personnels soignants mobilisés sous forme d'une prime exceptionnelle pour accompagner financièrement cette reconnaissance".

Pour rappel, je suis partie à Paris sur la base du volontariat en renfort à l’hôpital Tenon pour deux semaines prolongées de deux semaines supplémentaires à la demande de l'APHP devant des services qui ne désemplissaient pas. J'ai donc travaillé en secteur COVID du 11 avril au 10 mai.
Mais voilà, le décret relatif à cette prime publié le 14 mai stipule que, pour bénéficier de cette prime, les personnels hospitaliers devaient être présents au moins 30 jours entre le 1 mars et 30 avril.
J'ai attendu le 13 juin que le décret soit publié au journal officiel pour réaliser que cette non éligibilité invraisemblable était bien réelle.

Alors qu'entendait notre président par "personnels mobilisés" ce 25 mars?

Est ce que prendre le train du jour au lendemain sur demande urgente de l'APHP pour débarquer la boule au ventre dans une ville inconnue n'est pas être mobilisé?
Est ce qu'abandonner son boulot en se faisant remplacer par ses collègues pour aller travailler dans un établissement inconnu alors que j'ai cessé de travailler à l’hôpital depuis 6 ans n'est pas être mobilisé?
Est ce qu'accepter de travailler dans des secteurs COVID avec 1 seul masque par jour, des surblouses artisanales, des surchaussures un jour sur deux et un chaos organisationnel à peine imaginable n'est pas être mobilisé?
Est ce qu'accepter de rester deux semaines de plus seule, loin des siens et de son confort n'est pas être mobilisé?

Je n'ai pas fait ça pour l'argent, bien heureusement puisqu'à ce jour, plus d'un mois après mon retour, je n'ai toujours pas perçu l'intégralité de mon salaire, la première partie m'ayant été versée seulement la semaine dernière. Il semblerait que les éphémères héros puissent vivre simplement d'applaudissements!
J'ai fait ça par solidarité avec mes consœurs et confrères parce que je pouvais imaginer leur détresse, j'ai fait ça par amour de mon métier... Mais aujourd'hui, je suis encore une fois déçue par ce manque de considération, abasourdie par tant d'injustice, je me sens trahie et en viens à regretter d'avoir choisi ce métier que j'aimais tant.

Je voudrais que tout le monde sache que ces belles paroles n'étaient encore une fois que du vent et que beaucoup de réservistes dévoués sont dans la même situation que moi même si cela parait parfaitement inimaginable.

Soyez sûrs, chers dirigeants que lors de la deuxième vague ou de la prochaine pandémie, les appels incessants et larmoyants de l'ARS, vos belles promesses et hypocrites flatteries demeureront sans réponse et que je resterais au chaud chez moi, près des miens!

#nibonnesninonnesnipigeonnes
5767
Oui bon ça va, on les a applaudi, on va pas leur filer de la tune avec nos impôts non plus à ces feignasses :oops2:

Ps : ah oui pour info, je voudrais pas alarmer tout le monde ni jouer les emmerdeurs, mais à l'heure où on réouvre les cinémas, les bars , les restos , que j'entends qu'on va autoriser à nouveau les stades sans nécessairement forcer la distanciation sociale... Ben moi qui bosse dans un grand groupe pharma belge international (oui je sais ça fait bizarre toujours), ben y a pas de retour à la normale prévu pour l'instant. Mieux, des bruits courent comme quoi cet état de fait devrait perdurer jusqu'en 2021.

Alors certes, un grand groupe pharma ne peut pas se permettre la mauvaise pub de devenir un "cluster" comme on dit de nos jours, mais franchement si ça pouvait faire réfléchir certains...

Je pense notamment à Josette et Robert qui vont à la boulangerie sans masque et qui tripotent tout sans s'embarrasser de savoir si ça vaut le coup ou pas "on s'en fout, à notre âge vous savez..."

One Breath III : Find out the end of the story, piece by piece : WBBTMR - One Breath III

I'm an alligator, I'm a mama-papa comin' for you

[ Dernière édition du message le 22/06/2020 à 22:05:41 ]

5768
C'est plus qu'une rumeur hein, y a pas un scientifique sérieux pour affirmer que c'est fini, le virus circule toujours peinard, sans bruit, à bas niveau, en attendant l'occasion de ressortir (les foyers de contagion locaux servant d'avertissement même si plus grand monde ne veut l'entendre)

Ex-producteur retraité de la musique en 2016


5769
Et encore que "à bas niveau", ça c'est avec notre "jolie" perspective ou on réouvre tout espérant que ça va passer. Si on prend la situation mondiale, on est quand même sur un bon gros maintient du niveau de contamination, voire une accélération :
https://www.lemonde.fr/international/article/2020/06/22/la-pandemie-de-covid-19-continue-de-s-accelerer-dans-le-monde-alerte-l-oms_6043756_3210.html
5770
Dans la série des "bonnes" :??: nouvelles, selon une étude chinoise les anticorps ne seraient déjà plus décelables chez les personnes infectées après deux ou trois mois (ce qui ne veut cependant pas dire que toute immunité a disparu mais ce n'est pas top quand même, notamment par rapport aux vaccins)
https://www.rtbf.be/info/societe/detail_coronavirus-les-anticorps-ne-resteraient-que-deux-a-trois-mois-dans-le-sang?id=10526491

Ex-producteur retraité de la musique en 2016