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café du coin : analyse et commentaire de l'actualité poliltique

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Sujet de la discussion café du coin : analyse et commentaire de l'actualité poliltique
Un endroit qui fleure bon la France et ses discussions interminables au comptoir pour parler de politique.

Je lance cette question : que pensez-vous de la suppression de l'ISF ?

[ Dernière édition du message le 16/04/2020 à 15:13:02 ]

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11441
Citation de Gulistan :
Citation de linn134 :

Ce n'est pas une dette contractée à cause d'une gestion bancale ou inconséquente, cette fois c'est vraiment un carnage économique et social partout. Et il y a de quoi aborder ça avec intelligence. Même si c'est peu probable.

Une dette (passif) est toujours adossée à un actif. Reste à savoir la teneur des actifs.

Oui mais non, pas quand on parle de la dette des états et de la monnaie de la banque centrale

Développeur de Musical Entropy | Nouveau plug-in freeware, The Great Escape | Soundcloud

11442
Citation de Gulistan :
Wolfen > j'ai un souci avec les referendums. Ça bipolarise la chose, alors qu'on le sait, tout n'est pas si binaire, même en musique (le "groove" est un bon exemple de mixité binaire/ternaire).

Pour le reste, +999.

J’avoue ça fait flipper l’idée de faire décider du peuple de tout pour changer :mrg: Après le côté binaire c’est ce qu’on fait a l’Assemblée pour voter les lois de toutes façons, et comme la moyenne des français est plus intelligente qu’une Aurore Bergé ou un Jean Lassale..,

Développeur de Musical Entropy | Nouveau plug-in freeware, The Great Escape | Soundcloud

11443
Citation de CasioXWG1 :
Citation :
@Casio : non, implanter des entreprises n'est pas un geste non politique et uniquement économique..
Tout est politique. (et écologique aussi ;) )
Oui, politique et écologique. Mais tout s'efface devant l'aspect économique, surtout quand il s'agit de donner du taf, et donc des revenus a des millions de gens.


Et c'est là que c'est un choix politique ;) Rien n'est obligatoire (1)
De plus en plus de personnes (pas beaucoup, et surtout des jeunes) se détournent de cette approche.

(1) mais toi comme moi resteront sans doute dans ce paradigme.
11444
Citation :
Personnellement je me fous de cette dette si on ne peut rien y changer, autant que je me fous des choses sur lesquelles je n'ai aucune prise.

+1 Trop de gens pensent qu'on gère un Etat comme le budget d'une famille.

 "Les gens d'en bas qu'il faut respecter". M. Barnier

11445
Guillaume Peltier rejoint Z ! en espérant que ça le grille définitivement de la droite classique qu'il n'a fait qu'infiltrer pour la déporter vers l'extrême.
11446
A t'il seulement quitté l'extrême droite ?
11447
c'est ce que je dis.
11448
Citation de Berzin :
Citation :
Personnellement je me fous de cette dette si on ne peut rien y changer, autant que je me fous des choses sur lesquelles je n'ai aucune prise.

+1 Trop de gens pensent qu'on gère un Etat comme le budget d'une famille.

Comment ça se passe ? Développe.
11449
Citation de sublime :
c'est ce que je dis.

Je m'en doute :clin:
Mais même quand il avait sa carte LR il ne me trompait pas..
11450
Citation de Gulistan :
Citation de Berzin :
Citation :
Personnellement je me fous de cette dette si on ne peut rien y changer, autant que je me fous des choses sur lesquelles je n'ai aucune prise.

+1 Trop de gens pensent qu'on gère un Etat comme le budget d'une famille.

Comment ça se passe ? Développe.


Citation :
Contrairement à un ménage ou à une entreprise, un État ne fait pas faillite : il peut faire défaut – cesser de payer ses obligations – sans voir un huissier saisir ses biens ou subir une liquidation judiciaire. Ce fut par exemple le cas de l’Argentine en 2001. La situation n’a rien d’une panacée, mais elle offre à l’État la possibilité – interdite aux ménages – de « se refaire », par exemple en augmentant les prélèvements obligatoires. [...] Deuxième différence majeure : alors que ménages et entreprises disposent de recettes limitées (le niveau des salaires pour les premiers, le niveau de la demande pour les secondes), l’État et les administrations publiques contribuent à façonner l’environnement dans lequel ils évoluent. Autrement dit : le montant de leurs dépenses conditionne, au moins en partie, celui de leurs recettes.


https://www.monde-diplomatique.fr/publications/manuel_d_economie_critique/a57207

 "Les gens d'en bas qu'il faut respecter". M. Barnier