Sujet Config Discomobile et tarif associé
- 718 réponses
- 100 participants
- 96 748 vues
- 96 followers
YannImmersion
4804
Squatteur·euse d’AF
Membre depuis 20 ans
Sujet de la discussion Posté le 28/06/2006 à 09:27:37Config Discomobile et tarif associé
Un petit tread pour évalué le matos que vous déplacez en discomobile et le tarif que vous demandez.
La question subsidiaire étant, comment avez vous démarré ? Comment avez vous géré la transition entre le moment ou avez débuté sans expérience et sans matos et le moment ou vous avez pu stabiliser votre tarif avec une config materiel interessante?
La question subsidiaire étant, comment avez vous démarré ? Comment avez vous géré la transition entre le moment ou avez débuté sans expérience et sans matos et le moment ou vous avez pu stabiliser votre tarif avec une config materiel interessante?
Good lights.
Adjnino
2372
AFicionado·a
Membre depuis 18 ans
301 Posté le 26/09/2007 à 21:53:29
J'en sais rien pour la belgique... Pour la france suffit de faire une mini recherche sur internet pour avoir tous les details...
dj-38
594
Posteur·euse AFfolé·e
Membre depuis 19 ans
303 Posté le 26/09/2007 à 22:37:02
Sauf qu'une asso ne peut pas avoir comme but "animer des soirées", ce n'est pas un but non lucratif et, pour avoir un activité commerciale, elle doit être fiscalisée
Il suffit d'aller voir n'importe quel expert comptable qui vous confirmera tout ca.
Il suffit d'aller voir n'importe quel expert comptable qui vous confirmera tout ca.
jeromjp
2244
AFicionado·a
Membre depuis 19 ans
304 Posté le 26/09/2007 à 22:44:11
Faut paraphraser
et tout ça devient légal
et tout ça devient légal
dj-38
594
Posteur·euse AFfolé·e
Membre depuis 19 ans
305 Posté le 27/09/2007 à 08:33:57
La répression des fraudes n'aime pas bien les paraphrases.
Il faut savoir que depuis 2005 toutes les associations sont repertoriées par le fisc, et petit à petit ils étudient la situation fiscale de ces associations.
Si les choses ont bien été faite pas de problème, par contre si on a une activité commerciale non déclarée attention aux conséquences.
Il faut savoir que depuis 2005 toutes les associations sont repertoriées par le fisc, et petit à petit ils étudient la situation fiscale de ces associations.
Si les choses ont bien été faite pas de problème, par contre si on a une activité commerciale non déclarée attention aux conséquences.
Locki
354
Posteur·euse AFfamé·e
Membre depuis 20 ans
306 Posté le 27/09/2007 à 20:25:58
Monter une assoc pour faire des soirées privées, c'est une absurdité...
par contre, si vous voulez vous attaquer aux "marchés publiques", (mairies, lycées etc), alors là bien sur l'assoc devient incontournable.
Nivau controle, perso le but de notre assoc est non lucratif, et c'est un truc pompeux du genre "proposer une culture musicale accessible à tous"...c'est vaste!
Après niveaux controles, franchement ne vous faites pas de souci...une assoc ouvre d'énormes possibilitées....!
par contre, si vous voulez vous attaquer aux "marchés publiques", (mairies, lycées etc), alors là bien sur l'assoc devient incontournable.
Nivau controle, perso le but de notre assoc est non lucratif, et c'est un truc pompeux du genre "proposer une culture musicale accessible à tous"...c'est vaste!
Après niveaux controles, franchement ne vous faites pas de souci...une assoc ouvre d'énormes possibilitées....!
VENDS MATOS SON LIGHT https://fr.audiofanzine.com/membres/index,idmembre,85066,page,contributions.html
jeromjp
2244
AFicionado·a
Membre depuis 19 ans
307 Posté le 27/09/2007 à 21:05:10
Les bénéficent ne vont pas dans nos poches, mai servent à racheter du matériel.
dj-38
594
Posteur·euse AFfolé·e
Membre depuis 19 ans
308 Posté le 27/09/2007 à 22:25:50
Je le répète, avoir un but non lucratif et/ou ne pas se payer ne change rien au fait qu'une association qui a une activité commerciale DOIT être fiscalisée, c'est ce qu'on appelle la règle des 4P.
Une solution simple pour être tranquille, appelez le centre des impots d'où vous dépendez, demandez leur d'examiner votre situation fiscale, étant donnée que la démarche est volontaire si vous n'êtes pas en règle vous serez fiscalisés mais pas rattrapé sur les années précédentes, dans le cas où c'est eux qui vous trouve attention aux conséquences.
Si vous êtes si sures de votre situation rien ne vous coute de le faire pour avoir un papier noir sur blanc qui prouve votre légalité.
Ceux qui n'osent pas le faire ont forcément quelque chose à se reprocher.
Pour info je suis en asso loi 1901, je sais de quoi je parle.
Une solution simple pour être tranquille, appelez le centre des impots d'où vous dépendez, demandez leur d'examiner votre situation fiscale, étant donnée que la démarche est volontaire si vous n'êtes pas en règle vous serez fiscalisés mais pas rattrapé sur les années précédentes, dans le cas où c'est eux qui vous trouve attention aux conséquences.
Si vous êtes si sures de votre situation rien ne vous coute de le faire pour avoir un papier noir sur blanc qui prouve votre légalité.
Ceux qui n'osent pas le faire ont forcément quelque chose à se reprocher.
Pour info je suis en asso loi 1901, je sais de quoi je parle.
à Chaud
2296
AFicionado·a
Membre depuis 19 ans
309 Posté le 27/09/2007 à 23:28:23
Entièrement d'accord avec dj-38.
Lors d'un contrôle, le Fisc ne regarde pas les mots mais les faits réels.
S'il s'agit tant soit peu d'une activité pouvant avoir un aspect (même partiellement) commercial, l'association doit être fiscalisée.
Une association non fiscalisée doit uniquement exercer une action gratuite dans l'intérêt de ses membres, et doit vivre uniquement à partir des cotisations de ses membres.
Tout ce qui peut ressembler de près ou de loin à une vente, surtout à des non membres, mais même au profit de ses propres membres, de quelqu'objet ou service que ce soit est considéré comme une activité commerciale.
Et par conséquent doit rendre des comptes au Fisc.
Même l'abonnement à la revue de l'Association est considéré comme un acte commercial et doit être fiscalisé.
C'est pour cela que de très nombreuses associations qui vendaient de menus objets, de la documentation propre à l'association, des livres ou services, etc. ont été obligées de créer 2 entités séparée:
-l'une à but entièrement non lucratif, par exemple la défense d'intérêts communs, non fiscalisée
-et l'autre pour l'action commerciale commercial et forcément fiscalisée.
Une association qui organise des spectacles payants ou qui loue/prête son matériel avec contre-partie financière doit être fiscalisée.
Je ne vise personne en particulier, mais suivez mon regard
Lors d'un contrôle, le Fisc ne regarde pas les mots mais les faits réels.
S'il s'agit tant soit peu d'une activité pouvant avoir un aspect (même partiellement) commercial, l'association doit être fiscalisée.
Une association non fiscalisée doit uniquement exercer une action gratuite dans l'intérêt de ses membres, et doit vivre uniquement à partir des cotisations de ses membres.
Tout ce qui peut ressembler de près ou de loin à une vente, surtout à des non membres, mais même au profit de ses propres membres, de quelqu'objet ou service que ce soit est considéré comme une activité commerciale.
Et par conséquent doit rendre des comptes au Fisc.
Même l'abonnement à la revue de l'Association est considéré comme un acte commercial et doit être fiscalisé.
C'est pour cela que de très nombreuses associations qui vendaient de menus objets, de la documentation propre à l'association, des livres ou services, etc. ont été obligées de créer 2 entités séparée:
-l'une à but entièrement non lucratif, par exemple la défense d'intérêts communs, non fiscalisée
-et l'autre pour l'action commerciale commercial et forcément fiscalisée.
Une association qui organise des spectacles payants ou qui loue/prête son matériel avec contre-partie financière doit être fiscalisée.
Je ne vise personne en particulier, mais suivez mon regard
Bemel
1167
AFicionado·a
Membre depuis 20 ans
310 Posté le 28/09/2007 à 09:33:07
Bon, j'en profite pour exposer ma situation. Tout d'abord, je suis belge et cela ne concerne donc que la Belgique, je ne sais pas si cela serait la même chose en France.
Je fais de la sono pour le fun. J'ai investi des milliers d'euros dans du matériel sur fond propre. Ca peut sans doute paraître ridicule pour un professionel, mais, du point de vue du passionné, ça n'est pas plus risible que d'investir dans d'autres passions qui coûtent parfois également très cher. J'ai un boulot qui me permet de vivre et qui n'a rien à voir avec la sonorisation.
Afin de travailler dans un cadre légal, j'ai opté pour un "registre de commerce après journée". En Belgique, nous avons le choix entre deux options : en étant assujeti à la TVA ou non !
Celui qui choisi de ne pas être assujeti à la TVA peut facturer une prestassion SANS devoir compter de la TVA au client. En contrepartie, il ne peut évidement pas récupérer la TVA sur ses achats. De plus, cette formule à une limite en ce qui concerne les rentrées annuelles.
Personnellement, j'ai choisi la formule ou j'ai un numéro de TVA. Cela peut paraître bizard, mais cette formule est, dans mon cas, nettement plus intéressante d'un point de vue financier. En effet, la majorité de mes clients sont également assujeti à la TVA et peuvent donc récupérer la TVA que je leur compte. De plus, le fait d'avoir une facture en bonne et due forme leur permet de mettre cela dans leur frais généraux.
L'avantage pour moi est que je peux récupérer la TVA sur tout ce que j'achète comme matériel de sono depuis que j'ai mon registre de commerce.
A partir du moment ou je réinvesti la grande majorité de mes rentrées, je ne dois payer, à la TVA que quelques euros. Et, pour les impôts, j'ai une société qui ne génère presque pas de bénéfices, donc, vraiment très peu d'impôt.
Ên ce qui concerne les démarches pour obtenir ce genre de registre de commerce, c'est très simple : j'ai pris rendez-vous à l'UCM. J'ai payé 121 euros pour mon affiliation, ce qui me donne droit à des conseils juridiques, financier, etc gratuitement. J'ai également payé 71 euros pour obtenir mon numéro de TVA. Mon entretient à l'UCM à duré une petite heure et ils se sont occupés de tous les papiers. En ressortant de là, j'avais mon registre de commerce et, dès le lendemain, j'établissais ma première facture.
Voilà, s'il y en a que cette démarche intéresse, vous pouvez toujours me contacter.
Je fais de la sono pour le fun. J'ai investi des milliers d'euros dans du matériel sur fond propre. Ca peut sans doute paraître ridicule pour un professionel, mais, du point de vue du passionné, ça n'est pas plus risible que d'investir dans d'autres passions qui coûtent parfois également très cher. J'ai un boulot qui me permet de vivre et qui n'a rien à voir avec la sonorisation.
Afin de travailler dans un cadre légal, j'ai opté pour un "registre de commerce après journée". En Belgique, nous avons le choix entre deux options : en étant assujeti à la TVA ou non !
Celui qui choisi de ne pas être assujeti à la TVA peut facturer une prestassion SANS devoir compter de la TVA au client. En contrepartie, il ne peut évidement pas récupérer la TVA sur ses achats. De plus, cette formule à une limite en ce qui concerne les rentrées annuelles.
Personnellement, j'ai choisi la formule ou j'ai un numéro de TVA. Cela peut paraître bizard, mais cette formule est, dans mon cas, nettement plus intéressante d'un point de vue financier. En effet, la majorité de mes clients sont également assujeti à la TVA et peuvent donc récupérer la TVA que je leur compte. De plus, le fait d'avoir une facture en bonne et due forme leur permet de mettre cela dans leur frais généraux.
L'avantage pour moi est que je peux récupérer la TVA sur tout ce que j'achète comme matériel de sono depuis que j'ai mon registre de commerce.
A partir du moment ou je réinvesti la grande majorité de mes rentrées, je ne dois payer, à la TVA que quelques euros. Et, pour les impôts, j'ai une société qui ne génère presque pas de bénéfices, donc, vraiment très peu d'impôt.
Ên ce qui concerne les démarches pour obtenir ce genre de registre de commerce, c'est très simple : j'ai pris rendez-vous à l'UCM. J'ai payé 121 euros pour mon affiliation, ce qui me donne droit à des conseils juridiques, financier, etc gratuitement. J'ai également payé 71 euros pour obtenir mon numéro de TVA. Mon entretient à l'UCM à duré une petite heure et ils se sont occupés de tous les papiers. En ressortant de là, j'avais mon registre de commerce et, dès le lendemain, j'établissais ma première facture.
Voilà, s'il y en a que cette démarche intéresse, vous pouvez toujours me contacter.
- < Liste des sujets
- Charte