Les conneries on stage
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Chouby
Une par exemple : tonton chouboudou monte sur scene et commence a souffler dans le bignou....bizard, on dirait qui sors rien... discretement je sors de la scene et change les piles de mon HF. Je me rends compte alors que j avais pas mis en route mon emeteur... Quel con qd j y repense
Chouby
pulvonium
Hors sujet : On veut voir la voir !
KoalaMan

On ne voit bien qu'avec les yeux. Le cœur est invisible pour l'essentiel.
Vince_B
J’y vais donc de mes ptites anecdotes de la loose…
Fête de la musique 2005. On est contents : première scène depuis l’arrivée du batteur, doubles corps tout neufs, c’est la fête du slip. Le truc est organisé par le café-concert / locaux de répètes où on officie. Sympa, il y a deux scènes en extérieur espacées d’une centaine de mètres qui alternent et nous, on clôture la 1ère scène.
1ère surprise, je vois en arrivant qu’ils ont installé les tables du café en extérieur. Ça fait terrasse sous le soleil, il y a du monde, c’est cool, ambiance vacances. Mais en me rapprochant, je vois que la moitié de la foule est constituée d’un car de trisomiques ou paraplégiques en fauteuils roulants à qui ont fait prendre l’air ! Le groupe à ce moment là étant « grô bourrin », la scène était assez surréaliste : une bande de triso en fauteuils devant un groupe de métal, ça aurait mérité une photo…
Bon, ensuite, le truc con, mais qui m’a ruiné. On passe backstage pour prendre notre matos qui est constamment stocké dans le local et on l’amène derrière la scène pendant que le groupe de métal finit son set. Un détail, un des techos des locaux avais mis auparavant des ptits autocollants sur ma tête et sur mon baffle avec le nom du groupe. Faut aussi savoir que ce matos est stocké dans un local où seuls les techos ont accès. Même moi je vais pas chercher mon ampli, c’est eux qui me l’amène. Et donc là, que vois-je ? Sous le nom du groupe, quelqu’un a rajouté « ENCULES » !!! Oooh putain sa mère la chienne du Gévaudan
Je gueule un peu (« mais putain, qui est le connard qui a écris ça ?») et c’est le gros batteur de métal en marcel et tout musculeux qui répond en descendant de scène : « c’est moi »… bien sûr il déconnais, mais pendant une seconde ou deux, je me suis demandé s’il fallait qu’on se mette sur la gueule tout de suite ou après le set…
Bref. On monte pendant qu’un autre groupe enchaîne sur l’autre plateau. On fais pas de balances because ça va s’entendre depuis l’autre scène et on va les gêner. Alors tout ce qu’on fait c’est : un accord de gratte, une note de basse et un « un deux test » dans les cromics juste avant de jouer (c’était le deal, on avait été prévenus). Donc dès la fin de l’autre groupe faut qu’on enchaîne vite vite vite pour que le public rapplique. On commence par une ptite musique d’intro un peu bonne ambiance. Je lance deux mesures tout seul à la gratte et là, l’hallucination, les deux autres (batteur et bassiste) balancent les pêches exactement N’IMPORTE COMMENT ! La 5ème dimension. Moi, avec la bouche béante, je les vois partir complètement à côté de ce que je fais, comme si rien n’était. En fait, ils entendaient rien de la gratte (qu’un seul retour, devant mon micro de chant, et avec ma voix dedans). Ils me font piger le problème, et je dois donc lâcher des accords pour tourner les potards et arriver à un truc potable. Mais moi, ça y est : on m’a ruiné mon groove (Kuzco inside)… A partir de là, c’est parti pour un set coincé du cul où tu t’évades dans ta tête en attendant que ça s’arrête. Tu rajoutes à ça quelques pains (un pur moment de solitude : moi qui chantes avec des bêtes croches à la grattes sur les temps au charley… comme on s’entendait pas et que j’ai tendance à speeder avec le stress, j’ai fait deux ou trois gros décalages bien audibles, la pure humiliation), le fait qu’il y avait personne devant nous à moins de 3 mètres sauf un mec bourré qui pogotait tout seul (ils avaient rentré les trisos au bercail, les enfoirés), et tu sens bien la loose.
On a vu la vidéo après : en plus, le seul spot qui m’éclairait était braqué sur mon buste avec donc ma tronche dans le noir. Le bassiste, n’entendant rien et déjà pas à l’aise sur les chœurs en temps normal était faux de chez faux (un truc qui donne envie de se suicider sur place). Bref, le genre de fête de la musique où tu rentres chez toi et tu revends tout ton matos sur audiofanzine dans la soirée.
Et bizarrement, alors que j’essayais d’oublier cette pure merde en bouffant une part de pizza froide dans la partie « catling » (c’est une vraie salle de concert normalement, ils savent y faire les salauds), une bande de djeuns me demande si j’ai un stylo. Je cherche un stylo dans mon sac avec ma pizza entre les dents en me demandant s’ils pouvaient pas demander ça à quelqu’un d’autre, j’ai besoin d’être seul là… et surprise totale : ils veulent en fait que je me serve du stylo pour leur signer des autographes ! N’IMPORTE QUOI
Bon. J’ai le moral qui remonte un peu. Mais la semaine suivante, en sortant de répète, je me fais interpeller par un grateux qui me gueule de l’autre côté du parking : « pas mal votre concert à la fête de la zic. Mais t’es vachement influencé années 80 toi hein ? ».
Putain se mère en slip de force, cette fois ci, il y en a un qui va payer pour les autres
Et pour le tag « ENCULES » sur mon matos, il suffisait de passer le doigt, le feutre partait tout seul. Et on a appris que c’était un des techos qui aime régulièrement faire cette blague. Humour de merde, moi je dis…
La vie de zicos amateur = beaucoup de naïveté, une bonne dose de foi (ou d’obstination aveugle) et un moral en béton.
Bertrant
Citation : « pas mal votre concert à la fête de la zic. Mais t’es vachement influencé années 80 toi hein ? »
Yoga, bains à bulles, derrick à la télé... Bref, à tout prix faire baisser son stress...
T'inquiètes, grosbeuh, des gens qui ont la phrase ultime pour te pêter le moral, il y en a plus qu'on le croie. Ca veut pas dire que c'est justifié !!!
Tiens, un pote m'a raconté une phrase culte, qu'un sosie de johnny a dit après avoir massacré son idole dans le cadre d'un karaoké :
"Ils m'ont pas applaudit..........mais presque !!!! "
Mais si, mais si, on va y arriver...
Bertrant
Mais si, mais si, on va y arriver...
Will Zégal

Vince_B
Je continue dans ma série loose : en 1999 / 2000, on avait un bon batteur des familles, bien bourrin. Problème, on l’a pas su tout de suite, un mec totally alcoolized aussi. Quand on s’est rencontré il devait peut être sortir de cure de désintox, je sais pas. Mais la rock n roll life l’a vite rappelé à ses vieux démons. Le problème, c’est qu’il était vraiment gravement atteint. Et il tapait sa meuf aussi. Ça a marqué la fin de notre collaboration d’ailleurs. M’enfin à l’époque où on savait pas tout ça, on commençait à pas mal tourner sur les scènes amateurs, et on dégote une ptite interview pour un fanzine. On devait rejoindre les deux gars (journaliste et photographe) sur Paname, à la Luna Rossa (pour ceux qui connaissent… Spirou inside…). Je dois passer prendre le batteur (lui et moi, on habite à 50 bornes de Paris) et ensuite le bassiste. J’arrive au RDV, le batteur se pointe pas. J’attends. Ça dure longtemps. J’appelle chez lui. Ça décroche pas. J’appelle sur son portable. Queue dalle. Je me pointe chez lui, je tambourine à la porte, je relaisse des messages. Toujours queue dalle. L’heure tourne et je vais être à la bourre. Je décide de récupérer le bassiste et de foncer pour faire l’interview, parce que les deux autres nous attendent et j’ai pas leur phone. Le problème, c’est que les mecs voulaient à la base nous écouter pour faire une chronique. Hun hun ! Imaginez du punk rock normalement joué en trio, mais sans batterie ! Hein ? Imaginez le rendu bien bouse du truc. Et comme les deux gars (photographe et journaleux) se faisaient chier (ça se comprend…et on avait réserver deux heures je crois.. deux TRES longues heures), et ben ils se sont mis à déconner pendant qu’on tentait de leur montrer à quoi peut ressembler nos morceaux. Ils se sont mis à faire la pornstar qui fait sa séance pour Penthouse. Donc il y en a un qui taillait une pipe à une banane en écartant les cuisses (toujours avec son baggy, je vous rassure), assis sur le siège de la batterie, pendant que l’autre prenait des tofs. Et toi, t’es là, en train de jouer de la gratte en te disant que c’est un des pires moments de ta life…
Hit !
Je vous dispenserais volontiers du reste (passsez au post suivant), sinon, ça commence comme ça -mais y'a rien de particulièrement "drôle"...- :
En vrac: totalement coincé sur le périph' avec une radio que j'ai à faire en direct et qui m'attend maintenant dans moins de 12 minutes et sans moyen évidemment de les prévenir;
passer chercher un pote qui, comme tu étais sur le trajet, n'a pas pu te prévenir qu'il se rendait finalement sur le taff par ses "propres moyens" (juste parce qu'il voulait épater en coulisses une voisine qui, pour une fois, s'était décidée à venir le voir jouer -c'est te dire si elle était emballée-);
une autre fois arriver avec 20 minutes de retard après (encore) des embouteillages -grêve surprise Métro- le coeur battant tout ce qu'il peut tellement t'as habitué les gens à être maladivement ponctuel (donc, sur le coup, se basant sur l' "expérience" précédente, forcément tu flippes et tu te dis "ne me voyant pas arriver, il a du se barrer", ce qui rajoute au stress des embouteillages -d'ailleurs, dans ces circonstances, on oublie ABSOLUMENT le tour de chant du soir-), et puis, ben finalement non: tu te pointes, et, plutôt que de te faire engueuler (en +) pour être à la bourre, tu vois le gars en slip en train de passer tranquile le fer à repasser sur ses chemises et prendre tout son temps à choisir le pantalon qu'il allait mettre le soir...
Tu crois à un gag; mais t'as pas trop le coeur de plaisanter, là; d'autant qu'il faut passer prendre aussi une chanteuse qui, voyant qu'il y a traffic inhabituel -et n'est pas joignable non plus- a pu, elle aussi, prendre la solution "bis" et se rendre seule sur le set...
Enfin bref; moi, j'vous l'dis: ça coûte certes cher les portables; ça fait des accidents on ne peut plus stupides (y aurait-il des accidents "intelligents" ?) -je ne m'en sers d'ailleurs QUE comme d'une cabine téléphonique dans la poche et seules trois personnes au monde ont mon numéro + éventuellement les "orgas" ponctuels de l'étape-, mais ce qu'il y a de certain, c'est qu'on doit assurément déplorer moins de crises cardiaques...
Chouby
Djardin
1ere scene, on est jeunes, on balise un max.
L'aprem, installation du matos, balance, ok.
Et le soir, je vais manger en ville ac des potes, le batteur ac les siens, le clavier, le bassite et la chanteuse rentre chez eux.
Bon, début du concert théorique à 9h, nous (batteur et moi), on arrive vers 8h (dernieres balances, re-visite de la salle, stress, derniere verification), la chanteuse et le clavier arrivent vers 8h15-8h30.
Mais pas de bassiste.
Le public arrive, comence à remplir la salle, le concert va bientôt comencer, et toujours pas de bassiste !
Et v'là pas qu'il arrive, tout detendu, à 9h, sa basse sur le dos, en marchant tranquillos !
(ba ouais, concert à 9h, faut donc arriver à 9 h !)
Pour un tout 1er concert, y a franchement de quoi flipper!
Sinon, un autre :
Fête de la musique, on joue avec des groupes fabriqué par l'ecole de musique.
Je remplca un guitariste dans un groupe de jeunes (jeunes, même pas encore collegiens, donc jeunes quoi!), j'ai du faire 2 repets avec eux.
Y a pleins de groupes qui doivent jouer sur le même matos, on comence, et on fait des (rapides) balances.
Hop, le morceau, nickel, apres, pont psychedeliques, improvisation d'un superbe solo de guitare (tout pleins de notes, qui sonnent super bien, avec un bon son, bref, un bon solo, et, qui plus est, en impro, devant un public nombreux!).
Apres le morceau, pendant les changements de groupes, bain de foules :
"alors, mon solo, il était comment ?"
"- ton solo ? bah, je sais pas, on voyais tes doigts bouger, mais on a pas entendus la guitare du morceau!"
ralala ! pourquoi les meilleurs solos sont fait quand le matos foire, ou quand il n'y a personne ?
Référence en matière de bon gout capillaire et vestimentaire.
homme à tête de zizi.
Mo The Black Cat
pulvonium
Je suis bassiste et je joue en HF. Il y a deux morceaux où j'ai l'habitude d'aller jouer dans le public.
Un soir dans un bar, je suis en train de jouer en me balladant donc, et je vois à une table une femme qui me regarde fixement. Je m'approche et elle me fait :
"Tu joues pas vraiment, en fait, tu fais semblant !
En rigolant et en jouant, je lui fais "non" de la tête et alors elle en remet une couche :
"Arrête un peu pour voir si c'est vrai !"
Goum Le Chat
honlo
pulvonium
Paraît que quand les premiers micros HF sont sortis, pas mal de gens dans le public étaient scandalisés, persuadés que c'était du play-back...
Hors sujet :
Ca m'en rappelle une autre dans le même genre (mais c'est pas on-stage, d'où le HS)
J'habitais encore chez mes parents quand je m'étais offert mon HF.
Mon ampli était donc dans ma chambre, je branche mon HF tout neuf, et je joue.
Pour voir si ça tient la distance, je descend jouer dans le jardin, la cuisine... Ca marche impec.
Tout fier, alors que mon ampli hurle dans ma chambre, je passe devant ma chère Maman en jouant, et je lui dis :"C'est vraiment génial ce truc".
Et elle, candide, me répond : "Ben oui, mais là, qui-est-ce qui joue ?"
On se moque pas trop SVP...
Anonyme
Hit !
Hors sujet : Au même rayon : ma pauvre grand-mère, désespérée au passage d'avoir à élever un môme ((moi)) dont seule la musique comptait pour lui, n'a jamais pu se souvenir le nom de cet instrument pourtant pas si extravagant : harmonica !
Ainsi, on l'entendait plusieurs fois dans la semaine tancer un : "Christophe ((c'est re-moi)), encore avec ta musique à bouche", disait-elle du ton sermonant...
Pareil, pour ma première guitare, elle a appelé ça pendant des années "une mandoline"...
Sacrée Mamy; elle ne m'aura jamais entendu "dans le poste" de son vivant; et je suis tout-attendri à repenser à ces doux moments de mon enfance...
S'lut !
Hit !
Citation : j'ai déjà raconté ici l'histoire du chanteur
oui-oui, "c'est fait", Ô Druide.
Note bien, c'est arrivé à plein de monde.
Sophie Forte racontait un jour publiquement (sinon, je ne me permettrait pas) que ça lui était arrivé au début de l'éxistence de ces engins, à un gala fort select (style les Award du rire) à Montréal.
On lui a raconté qu'en façade (devant un parterre avec tous les staffs de ce que toute la profession comptait comme humoristes -époque Gagnon, Courtemanche, Lamy...-)on ne perdit rien des détails de la prestation backstage de l'amie Sophie, arrachage de pq et tirage de chasse en plein dans les façades de l'immense salle trosi minutes avant son numéro, cependant que l'animateur, croyant à un gag de dernière minute, couvrait comme il pouvait pour continuer à présenter les candidats en lisse...
Et tout ça in situ, en direct !
Comme quoi le rire est une affaire... bigrement sérieuse !
pek
Une petite qui m'est arrive il y a quelques annees deja...
Un concert dans une salle a la cool, lumieres d'ambiences tres sympathiques, on avait decide de commencer par un morceau assez mystique genre on rentre sur scene et on dit rien pof on joue.
Avant le concert, balances ok, on reprends les instrus pour les accorder avant le debut. J'avais pris la precaution de debrancher mon pedalier pour eviter le coup de chaud.
Un peu plus tard on revient sur scene, et chacun vaque a ses occupations de branchement. J'ai a peine le temps de brancher le jack dans ma basse que le gratteux commence a jouer et la je le regarde pour lui faire des signes: mon pedalier n'est pas branche et l'intro de ce morceau se basant sur 2 notes de guitares puis une ligne de basse et batterie ca aurait pu faire desordre. Mais lui, la tete rivee sur sa guitare ne me voit pas. Le stress monte, et je me mets a gueuler "attends attends !!!" un peu trop fort. Toute la salle explose de rire...
Super l'intro un peu mystique...
pulvonium
J'avais vu un (excellent) power-trio en première partie de FFF à l'Aéronef de Lille il y a quelques années. (je sais pu le nom...)
A un moment, le guitariste chanteur, tout inspiré dans son solo, se plie en deux et fait décrire à son manche un demi-cercle complet hyper-rapide (genre geste de faucheur) :WOOOOOUCH....
Eh ben le photographe qui était juste devant lui n'a évité la décapitation que d'extrême justesse...
Après, il prenait les photos accroupi avec un zoom...
Dans le même gig, quelques minutes plus tard, le même chanteur-guitariste actionne son pédalier. Et là, je le vois se jeter à 4 pattes sur le sol, son Ibanez toujours en bandoulière, pendant que la basse et la batterie continuent à bastonner sévère.
J'ai cru à un jeu de scène et en fait non : En changeant de programme, il avait accidentellement débranché son pédalier et était en train de le ré-initialiser fébrilement à la main....
Et il a fini le concert les doigts dans le nez, la grande classe...
pek
pulvonium
Hors sujet : Par contre, après, pour FFF, Marco Prince avait une laryngite, et moi j'ai pris un spectateur indélicat en pleine tronche (le gars s'est jeté de scène version "bombe" droit sur moi...
)
Et là j'ai moins rigolé
booz
Docteurnon
Citation : ma pauvre grand-mère, désespérée d'avoir à élever un môme dont seule la musique comptait pour lui, n'a jamais pu se souvenir le nom de cet instrument pourtant pas si extravagant : harmonica ! [...] on l'entendait plusieurs fois dans la semaine tancer un : "Christophe ! encore avec ta musique à bouche !"
Hors sujet : dans le genre, les bassistes, dont je suis, ont un mal fou à faire comprendre au grand public qu'ils ne jouent pas d'une guitare avec moins de corde
Hors sujet : bon sang, un Christophe, harmoniciste, professionnel de la musique, en région parisienne ! serait-tu le Christophe, dans le sud-77 limite 91, qui officie dans le PAB/what ?
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