Les conneries on stage
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Chouby

Une par exemple : tonton chouboudou monte sur scene et commence a souffler dans le bignou....bizard, on dirait qui sors rien... discretement je sors de la scene et change les piles de mon HF. Je me rends compte alors que j avais pas mis en route mon emeteur... Quel con qd j y repense


Ptipois

Le mec va alors à la DI et enclenche le groundlift. Miracle ! Plus de bruit !

Et la lumière fut.
Chevalier du fer à souder...

Monsieur le Comte


Will Zégal

Sur scène, je suis sensé être musicien, pas tekos, et donc m'occuper des problèmes et questions musicales et non techniques. Or, des problèmes musicaux, il y en avait un paquet compte tenu de ce que j'ai raconté et qui n'est qu'un échantillon pour vous donner une idée du niveau.
Avec des gugus pareils, je vous laisse imaginer l'ampleur des dégâts pour le reste.

Si j'avais été tech de plateau, le ground lift est surement le premier truc que j'aurais essayé.
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[ Dernière édition du message le 06/06/2017 à 15:25:16 ]

Monsieur le Comte


Will Zégal

Et 98 % du public par la même occasion.

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Nick Zefish

je groundlift ma DI sans rien demander à personne
Par contre, avant de désactiver le PAD -20dB, c'est sympa de prévenir.
Enfin moi j'dis ça, c'est aussi pour toi, hein.

OK je...

Monsieur le Comte


Hit !

Ca m'est arrivé une fois d'interrompre carrément mon tour-de-chant.
Il faut bien avouer qu'en trio, principalement acoustique (+ sporadiquement bandes-orchestre pour les orchestrations studio), c'est à la fois + vite réglé et + vite euh... réglé


C'était littéralement cauchemardesque : on avait là un sur-incompétent qui n'en finissait pas de faire joujou avec tous les potards dispo du son-plateau (du style "à quoi il sert celui-là; on va essayer tiens, vlan ! en plein direct !) et, côté façade, là dans l'herbage, le public qui se bouchait les oreilles, protestait, gueulait (à notre endroit, bien-sûr, vu qu'on jouait trop fort !

On était là pour un set d'une heure 15, j''ai tout replié au bout de 2 chansons 1/2 : stop au massacre.
Le + fort c'est que, une fois dépluggés, ces abrutis continuaient à faire siffler ces micros dans tous les sens comme pour procéder à des essais, avec un public toujours présent qui attendait la suite des numéros...
Et pourtant ça avait bien commencé; à la balance ça avait été, tranquille. Mais le soir c'était pas la même équipe, j'ai jamais su pourquoi et je ne suis pas encore prêt de me le demander. Y'a pourtant même pas prescription tellement c'était affligeant, lourd de chez super-lourd.

Will Zégal

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Magnus Hammersmith


ATTENTION !!! Ce post peut contenir des doses significatives de second degré, d'ironie, d'hyperboles, ou de langage volontairement familier.
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