Sujet Les conneries on stage
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Chouby
Une par exemple : tonton chouboudou monte sur scene et commence a souffler dans le bignou....bizard, on dirait qui sors rien... discretement je sors de la scene et change les piles de mon HF. Je me rends compte alors que j avais pas mis en route mon emeteur... Quel con qd j y repense ...
lala-lala
Bazar visuel et musical : www.legrandboris.com
lala-lala
Hors sujet : Citation : Dans la série, j'en connais un fort médiatisé qui a une sainte horreur de la couleur verte, maudite dit-on.
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Hit !
Hors sujet : J'ai entendu bien des versions différentes à ce sujet. La plus probable est celle d'un théâtre londonien entièrement refait en vert qui, effectivement aurait grillé AVEC une partie du public et des grandes vedettes de l'époque... Ajoutons que la couleur verte dans notre époque moderne donne un côté plutôt blaf', froid, même "cadavérique" en lights et finalement peu de relief et autres inconvénients techniques en téloche. (Tu remarqueras que même les "Verts" sont toujours excessivement mal sapés, Wouaf !)... Bref, quand on ajoute à ça que plein de gens sont superstitieux dans ce milieu, bah ça insite pas trop...
micro >
Citation : Sisi, surtout que ca concerne que les fringue des personne sur scene
Hors sujet : Absolument pas -à moins qu'on ne parle pas du même- : tu penses évidemment bien que la première exigence est celle-là. Et ne figure donc pas dans le contrat avec l'organisateur.
Je te confirme que ce Nanar fait signer aux zorgas qu'il interdit qu'on serve salade, petits pois, épinards (et tout le reste, qui fait l'objet d'une longue liste détaillée !).
microwAves
Tagadobudoire
microwAves
Njxt
On m'aurait menti ?
(amis théatreux et théatreuses ... je plaisante).
marssu
Hors sujet : en même temps à part ceux qui jouent en costume d'époque, un tutu en lycra vert n'est pas dangereux? (à part pour le bon gout...)
Hit !
Hors sujet : P'tit point-culture sur nos origines : c'est précisément pour éviter la "connerie on stage" de prendre feu sur scène -car "à l'époque", on éclairait à la bougie puis au gaz, que l'on plaçait évidemment sur la scène (à l'endroit, d'ailleurs, de nos actuels... bains de pieds !)- que l'on inventa tout simplement le tutu court.
Il y avait en effet de nombreux accidents, mortels parfois, dûs aux flammes que nos futurs "projos" dégageaient et se propageaient sur le tulle qui ne demandait qu'à s'embraser comme une torche...
De là, avec le raccourcicement du vêtement, les moeurs et la clientèle évoluèrent elles aussi, en se scindant : les uns conservèrent le côté classique (on développa les pas, qui étaient autrefois masqués), les autres se dirigèrent vers une forme + populaire de "théâtre" un peu décadant où un seul musicien (vu l'exiguïté) accompagnait une fille qui se déshabillait quelque peu, donnant naissance petit à petit au music-hall à caractère chansonnier, protestataire, humoristique : le music-hall d'où l'on vient tous lorsque l'on met de nos jours un pied sur scène.
Mais ceci est une autre histoire, charlesdickenserais-je.
Je suis allé voir hier au théâtre du Gymnase la comédie musicale VIRULLA où une connaissance pour qui j'écris tient le rôle principal.
La troupe compte une vingtaine de danseurs-chanteurs âgés de 13 à 17 ans.
Spectacle hyper carré, du grand art magique, tout ce qu'on aime...
Mais comme on a dans le coin un tantinet l'oeil critique aiguisé, on remarque évidemment toujours "ce qui ne va pas". Là, y'avait une fille -une danseuse- et ce qui n'allait pas, c'est que ce n'était visiblement pas son jour, la pauvre.
Premier tableau :
Le gars qui doit emmener sa danseuse en coulisses en la maintenant sur l'épaule (un peu comme au patinage artistique, quoi) la choppe au sol, mais en lui soulevant carrément la jupe à deux bras, qui lui arrivait du coup presque à la tête... Et voici ma première sortie, les fesses à l'air dans la féérie d'un compte, le gars aveuglé par le tissus qui ne sait pas trop où se trouve la sortie de secours...
Deuxième acte :
Ladite danseuse exécute en troupe une danse énergiquement moderne... et vas-y que j'te perds carrément ma godasse droite au milieu de tout ce beau monde, qui l'évite comme il peut en tournoyant autour...
Troisième passage :
Cette fois, elle file dans les bras d'un autre, qui la raccompagne en la hissant aussi à l'épaule, mais côté jardin pour changer... Pas d'accroc de jupe cette fois, mais le gars, déséquilibré par je ne sais quoi -peut-être bien la godasse de tout à l'heure ?-, a bien failli lui faire manger le décor (des barres d'alu) de la tête. La gonzesse l'a vraiment esquivé en redressant le tronc au tout dernier moment de quelques centimètres, voire moins... Sinon, y'aurait eu K.O technique, façon Zidane.
Triomphe Rappel :
Et vas-y qu'on te bisse et qu'on te reprend la scène décrite au premier tableau...
Aïe...
Je me dis... "ils ne vont pas refaire le coup de la jupe qui se barre en tulipe"...
Bah non !
Seulement, le porteur, tétanisé par la promesse qu'il avait dû se faire que l'expérience précédente ne se reproduirait jamais de sa vie, prend cette fois si mal ses marques au sol pour soulever sa partenaire que c'est... à deux qu'ils se retrouvent le cul par terre...
Rideau !
Ayant + l'habitude ici de narrer mes propres déconvenues scéniques, j'ai bien sûr un peu honte de balancer une pauvre fille que je ne connais pas et de ne parler que de cette seule danseuse, au regard des deux années de travail qu'aura pris le montage de cette fabuleuse comédie, par ailleurs parfaitement inattaquable.
Mais y'a vraiment des soirs; j'te jure...
Negens
Mais bon, cette petite review m'aura bien fait rire
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