Sujet de la discussionPosté le 05/09/2003 à 14:25:01Les conneries on stage
Alors voila.. ici , c est pour expliquer a la populazione de Back/on stage toute les conneries qui vous etes arrive... Faites peter !
Une par exemple : tonton chouboudou monte sur scene et commence a souffler dans le bignou....bizard, on dirait qui sors rien... discretement je sors de la scene et change les piles de mon HF. Je me rends compte alors que j avais pas mis en route mon emeteur... Quel con qd j y repense ...
J'aimerais bien repondre ( dumoins affiner le fond de ma pensée) mais on est hors sujet. Si un modo peut nous orienter vers un sujet en rapport avec le theme " qualité/prix du matos, exigence d'utilistion" ,je lui en sera reconnaissant.
Cordialement
Sympa ce post'!!
jsuis un peu dur genre a tout le temps faire des conneries sur scéne...mais il a fallut qu'un jour le public s'en méle...j'éxplique:
concert en plein air avec sono+retour,lights, backline et tt e tt (premier concert "pro" en quelque sortes),ambiance de folie (les potes y contribué!),kan une petite voie cris "a poil!!!" pendant un speech de merde ke jfaisais pr comblé un pti vide....hé la!!pris dans un hélant de folie...je m'éxécute,étant guitariste ma pelle couvrait les bijoux de famille...jusque ici me diré vous, rien de bien méchant mais quand un type du public grimpe sur scéne pr piqué mes fringues bah du coup je rigole moins!!!bref,un set d'une heure et demi a poil,blanc comme un cul,suant (avec un sangle en cuir!!hum...)
Mais le pire dans cette histoire...je n'ais jamais récupéré mes affaires...volatilisées!!!!
Il y a deux moyens d’oublier les tracas de la vie : la musique et les chats. Albert Schweitzer
Will Zégal
75587
Will Zégal
Membre depuis 22 ans
6500Posté le 06/08/2008 à 16:13:29
Le chanteur de Java avait fait presque la même chose sur la scène des Vieilles Charrues il y a quelques années. Devant probablement 35 000 personnes, faut oser.
Bon, si ma mémoire est bonne, il avait conservé son caleçon et je crois ses chaussettes.
Et vu la scène, là, personne risquait de venir lui piquer ses fringues.